🎧Je vais sûrement perdre ma vie, ce mec est un psychopathe je compte sur vous si meurs priez pour moi.🎧
Bonjour mes lectrices bonne lecture 😊📖
Je n'arrive pas à détourner les yeux du linceul qu'il tient dans ses mains. Mon cœur s'emballe à une vitesse incontrôlable, chaque battement résonne douloureusement dans ma poitrine.
Un linceul. Pour moi.
Mes pensées tourbillonnent.
Est-ce la fin ? Est-ce aujourd'hui que je vais mourir ?
Les larmes me montent aux yeux, mais je tente de les ravaler. Je ne veux pas lui donner cette satisfaction.Bileil, son complice, entre enfin dans la pièce, l'air légèrement essoufflé.
— Bileil : C'est bon, patron. La fosse est prête. Qu'est-ce que je fais avec le linceul ?
— Niyaad (d'un ton glacial) : Mets-le dans la fosse. Ensuite, casse-toi. Et emmène Snyna avec toi.J'entends la porte d'entrée se refermer après leur départ. La maison est maintenant silencieuse. Je suis seule avec lui.
Il me fixe intensément, et dans ce regard, je lis une multitude de choses : de la rage, du mépris, mais aussi quelque chose que je ne parviens pas à déchiffrer. Une part de lui semble me haïr, mais une autre hésite.
— Niyaad : Alors ? Toujours convaincue que je ne suis rien pour toi, hein ?
Sa voix est calme, presque moqueuse. Ce ton m'effraie plus que ses colères.
Il s'éloigne, marmonnant quelque chose d'incompréhensible, puis revient avec un objet qui me fait littéralement fondre en larmes.
C'est mon doudou.➰Flash-back ➰
Je revois le petit garçon qu'il était. Son sourire innocent, ses joues rebondies.
— Moi (à 8 ans) : Panda, c'est bientôt ton anniversaire ! Tu veux quoi comme cadeau ?
— Panda (souriant) : Un truc que tu aimes beaucoup, beaucoup. Comme ça, je saurai que tu m'aimes aussi beaucoup.Je lui avais offert ma peluche préférée, mon trésor d'enfant. Je savais combien elle comptait pour moi.
— Panda : Je te promets, Natie. Je la garderai pour toujours.
➰Fin du flash-back.➰
Je le regarde, les yeux brouillés de larmes. Il tient encore cette peluche. Malgré tout ce qu'il a dit, il ne s'en est jamais débarrassé.
— Niyaad (sarcastique) : Je ne suis rien pour toi, hein ? Mais regarde ce doudou. Ce truc que tu aimais tant et que tu m'as donné. Je l'ai gardé toutes ces années. Pendant que toi, tu jouais les starlettes, moi, je m'accrochais à ce souvenir.
Ses paroles sont comme des coups de poignard. Je suffoque sous le poids de la culpabilité.
— Moi (en pleurant) : Je ne t'ai jamais oublié ! Je te le jure, sur ce que j'ai de plus cher au monde. J'ai essayé de te retrouver. Je t'ai cherché !
— Niyaad (haussant la voix) : Tu m'as cherché ? Tu veux dire entre deux soirées, entre deux couvertures de magazines, hein ? Pendant que toi, tu t'amusais, moi, j'étais seul ! J'ai enterré ma mère tout seul, Natie. Pendant que tu brillais, moi, je m'enfonçais dans les ténèbres.Sa voix tremble légèrement. Il détourne les yeux un instant, mais je sens que la colère monte en lui comme un volcan prêt à exploser.
— Moi : Ta mère ?... Elle est morte ? Niyaad, je... je suis tellement désolée.
— Niyaad (furieux, me giflant) : Tais-toi ! T'as pas le droit de parler d'elle. Elle t'aimait. Elle voulait te revoir avant de partir, mais toi, tu faisais la pute à l'autre bout du monde.Je pleure à chaudes larmes. Ces mots sont comme des lames qui me transpercent.
— Moi : Je ne savais pas... Je suis désolée, je suis désolée.
— Niyaad (riant nerveusement) : Trop tard pour ça. Tu vas bientôt la rejoindre.Il me soulève brutalement, comme un vulgaire sac à patates. Je hurle, me débats, mais c'est inutile. Il est plus fort que moi.
— Moi (criant) : LÂCHE-MOI, NIYAAD ! S'IL TE PLAÎT, JE T'EN SUPPLIE !
— Niyaad (sarcastique) : Supplie, pleure, crie autant que tu veux. Personne ne viendra te sauver.Il m'amène dehors, dans la nuit froide. Les étoiles brillent au-dessus de ma tête, comme pour se moquer de moi. Il me dépose brutalement au bord de la fosse.
Je regarde le trou béant, noir, comme une porte vers l'enfer.
— Niyaad (me regardant dans les yeux) : À jamais, bébé.
Et sans hésitation, il me pousse.
Je tombe lourdement au fond de la fosse. La douleur est insupportable. Mes poignets et chevilles toujours liés, je ne peux même pas me relever.
— Moi (pleurant, hurlant) : NIYAAD ! S'IL TE PLAÎT ! NE ME LAISSE PAS ICI !
Il me regarde d'en haut, souriant.
— Niyaad : Tiens, pour te tenir compagnie.
Il jette le doudou dans le trou.
— Niyaad : J'espère que demain matin, tu seras morte. Ça me fera des vacances.
Il crache dans ma direction, tourne les talons, et s'éloigne.
Je suis seule. Seule au fond de ce trou. La douleur, le froid, la peur. Tout s'abat sur moi comme une vague.
Je ferme les yeux, des larmes roulant sur mes joues. Je pense à ma mère. À tout ce que j'ai perdu. À tout ce que j'aurais voulu lui dire.
Et là...
Quelque chose ? Quelqu'un ? Une silhouette.
Qui ou quoi est là ? Natie va-t-elle être sauvée ou est-ce une nouvelle menace ?
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Il m'a kidnappé car nos cœurs sont liés
Ficção GeralC'est ma première histoire, alors je vous demande d'être indulgents, s'il vous plaît. Cette histoire est différente des autres, venez la lire et vous verrez par vous-mêmes... Laissez-moi partager avec vous le fruit de mon imagination. Cependant, ell...