Partie 12 #IMKCNCSL"✨

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🎧Bienvenue en enfer t'inquiètes Akhy il y a des choses à faire ! Je surveille mes arrières, et la nuit je m'évade en faisant ma prière.🎧

•Salam Aleykoum, Bonjour, Holà bonne lecture 📖

- Moi (le regardant dans les yeux) : Vas-y. Tente ta chance. Mais je te promets que si tu fais ça, je te détruirai. Tu ne seras plus le grand patron, tu ne seras plus rien. Et sache le, il faudrait déjà avoir des couilles... et surtout être un homme. M'bon.

Un silence lourd s'abat sur la pièce. Son sourire disparaît. Il me fixe, son regard devenant plus sombre, presque bestial. Je sais que je viens de faire une énorme erreur, mais je ne peux pas m'en empêcher.

La colère a pris le dessus.
Puis, calmement, avec un sourire glacé, il murmure :
- Lui: Welcome to hell, little slut. (Bienvenue en enfer, petite s*ope.)

Il me fixe un instant de plus, ses yeux rivés aux miens, puis il s'avance brusquement et m'attrape par le bras.
Sa poigne est de fer, implacable.

- Moi (suppliant) : S'il te plaît... lâche-moi ! Tu m'emmènes où ?
- Lui: Ne t'inquiète pas. Tu vas aimer ce que je vais te faire. Je t'avais prévenu.

Sa voix est anormalement calme. Trop calme. Cela me fait encore plus peur que ses menaces.

Je tente de me débattre, mais c'est inutile. Il me traîne à travers les couloirs de la maison, jusqu'à une porte fermée. Là, il me pousse violemment contre la porte, son visage à quelques centimètres du mien.

- Lui : Ouvre-la.

Je tremble en obéissant. Mes mains hésitent. Quand j'ouvre enfin la porte, mon souffle se coupe.
La pièce ressemble à une salle de torture.
Une chaise métallique trône au centre, des chaînes pendent des murs, et un étal d'outils se trouve dans un coin.

Mon esprit s'emballe.
Non. Non, non, non. Ce n'est pas possible.

Ses mots résonnent dans ma tête, comme une boucle infernale :
Welcome to hell, little slut.
Welcome to hell, little slut.
Welcome to hell, little slut.

Je sens mes jambes flancher. Mais il ne me laisse pas le temps de réfléchir. Une gifle claque violemment contre ma joue, me sortant de ma torpeur.

- Moi (hurlant, furieuse) : AIllIEEEUH ! Mais ça ne va pas, espèce de connard ?!
- Lui (calmement, un sourire sadique aux lèvres) : Continue. Tu ne fais qu'aggraver ton cas, mon cœur.
- Moi (criant à nouveau) : Arrête de m'appeler mon cœur ! Je ne t'appartiens pas, espèce de taré. Tu crois que tes gifles, ce sont des chatouilles ?!

Il éclate de rire. Mais son rire est tout sauf chaleureux. Il est cruel, dément, presque inhumain.

- Lui (s'approchant, ses yeux brûlant de colère) : Ahahah, mais si, Natie. Tu m'appartiens. Que tu le veuilles ou non, TU M'APPARTIENS.

Avant même que je puisse répondre, il m'attrape violemment et commence à m'enchaîner à la chaise métallique au centre de la pièce.

- Moi (me débattant) : Lâche-moi ! Tu es complètement taré, tu sais ça ?!

Mais c'est inutile.
Il est beaucoup plus fort que moi.
Une fois attachée, il s'éloigne légèrement, me fixant avec satisfaction, comme s'il admirait une œuvre qu'il venait de terminer.
Puis il se dirige vers un coin de la pièce et sort une chaîne-hifi que je n'avais pas remarquée.
Il met une musique en marche.
De la musique classique.
Une mélodie lente, sinistre, emplit la pièce. Elle rend l'atmosphère encore plus oppressante.
Je commence à transpirer.

Il quitte la pièce un instant. Mon cœur s'emballe. J'essaie de me libérer, mais les chaînes sont trop serrées.

Je suis piégée.

Quand il revient, il tient un objet entre ses mains.
Un chalumeau.
Mon esprit bascule dans la panique.

- Moi (suppliant, les larmes aux yeux) : Tu vas faire quoi avec ça ? S'il te plaît... excuse-moi. Je te promets, je vais t'écouter. Je vais faire tout ce que tu veux, mais arrête ça. S'il te plaît.

Il s'approche, un sourire cruel sur les lèvres.

- Lui (chuchotant) : Chuuut. Ne pleure pas. Je ne vais pas te faire de mal, mon cœur. Je vais juste te montrer que tu m'appartiens.

Il me met un bandeau sur les yeux.
Je commence à hyper ventiler.
Je ne vois rien. Mais j'entends tout.
La musique qui devient de plus en plus forte, le son de ses pas qui résonnent dans la pièce, le sifflement du chalumeau qu'il allume.
Mes sens sont en alerte maximale.

Puis je le sens. Il est proche. Son souffle chaud caresse mon cou. Sa voix douce murmure à mon oreille :
- Lui : Chuuut.

Je sens le pull que je porte être doucement relevé.

- Moi (hurlant) : Non ! Arrête ! Ne me touche pas, espèce de malade !

Mais il ne répond pas. Et soudain, je ressens une douleur brûlante sur mon ventre.
Une chaleur intense, insupportable.

Je pousse un cri strident, un hurlement qui vient du plus profond de mon être. La douleur est insoutenable.
Je pleure, je suffoque, incapable de comprendre ce qui vient de se passer.

Quand il enlève enfin le bandeau, je baisse les yeux.
Et là, je vois.
Sur mon ventre... une marque.
Un symbole brûlé dans ma peau.
Mon corps tremble de douleur, mais c'est la signification de ce qu'il vient de faire qui m'écrase encore plus.

- Lui (souriant, satisfait) : Maintenant, tu m'appartiens vraiment, mon cœur. Et tu ne pourras plus jamais le nier.

Je baisse la tête, incapable de retenir mes larmes.

Qu'a-t-il fait ?
Pourquoi ?
Que vais-je devenir ?
Que représente la marque sur le ventre de Natie ?
Peut-elle encore espérer s'échapper de cet enfer ?

•N'oubliez pas de voter ⭐️ commenter 💬 partager bisous ✨💋

Il m'a kidnappé car nos cœurs sont liés Où les histoires vivent. Découvrez maintenant