Chapitre 21

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Je n'arrivais plus à croire mes oreilles, il venait juste de repousser la demande de cette fille, et cette occupation qu'elle a interrompu était notre discussion? J'étais un peu désolée pour cette fille mais je ne pouvais cacher ma satisfaction pour la réponse du patron, peut-être que c'était juste une façon pour qu'il l'évite alors il ne fallait pas que j'en fasse toute une histoire. Puis la concernée pris la parole en laissant librement paraître son dégoût pour je ne savais quelle raison.

Linda:" Ne me dis pas que tu ne veux pas m'aider pour causer avec cette...servante?"(en me montrant du doigt tout en me regardent de haut en bas)

Le boss: " Oh Oh depuis quand je dois m'expliquer? J'aime bien lui parler et je vais lui parler! D'ailleurs on ira s'asseoir et discuter! Tu as trop pris confiance toi! Allé dégage! Et la prochaine fois apprends de réfléchir avant de parler! S'il y a de prochaine fois"

Elle sembla choquée, je l'étais aussi, je n'avais jamais vu le patron agir ainsi, c'est vrai qu'elle avait un peu tord, mais un simple "fait attention à ce que tu dis" aurait largement suffit, cela paraissait comme la goutte qui a fait déborder la coupe, la fille partit vers la chambre, je décida alors de m'excuser pour le problème dont j'étais la cause mais le patron parla avant moi.

Le patron: " Et si on continua notre discussion au bureau, (en voyant ma stupéfaction il continua). J'étais sérieux quand je disais que j'appréciais le fait de te parler"

Sur cette phrase il commença à marcher en direction de son bureau. Il prit place sur un fauteuil en face du bureau et me demanda de faire de même, il me demanda ou notre conversation c'est arrêtée et je me suis sentie gênée de lui redire sa dernière phrase "Je veux retrouver Shérazade que je connais", alors je répondis par

Moi:" Je ne m'en souviens plus monsieur"

Le patron:" Ah oui c'est ça! Tes répliques froides où monsieur remplacé le point final. Sérieusement, oublié que je suis ton patron et réponds moi, pourquoi tu agis ainsi?"

Moi:" Parce que vous aviez raison monsieur, je dois rester à la place de servante, et me limiter à suivre vos ordres, et ne plus m'infiltrer dans la vie du monsieur Emilio, ainsi que la vôtre monsieur"

Le patron:" Mais je viens de te dire que je retire ce que j'ai dis, j'avais tort, c'est mieux de sentir une présence humaine, crois moi si je voulais juste un service professionnel j'aurai engagé des robots, mais je préfère les humains, je préfère quand tu es toi même, d'accord?"

Moi(en souriant):"D'accord monsieur"

Le patron:" En plus comment ça se fait que tu as accepté d'appeler Emilio par son prénom? Ne me dis pas que tu ne connais pas le mien?"

Moi:" Si monsieur bien sure que je le connais, mais ce n'est pas ça la raison, Emilio est un des demeurant dans cette maison, mais vous êtes le propriétaire, c'est différent. "

Le patron:" Ouais c'est ça! Je parie que tu ne connais pas mon prenom"

Moi:" Mais si monsieur!"

Le patron:" Ah ouais alors c'est quoi?"

J'allais répondre rapidement mais je m'arrêta en pensant à une chose; je n'avais jamais prononcer son prénom, jamais! Même en réfléchissant à lui j'employais toujours ces mots "le Boss" et "le patron", et même ces mots là me faisais de l'effet, alors comment dire son prénom, alors qu'il est devant moi. Je décida alors de faire semblant de ne pas le savoir, mais ça n'allait pas être crédible car mon air certain que j'avais auparavant montrait que je connaissais la réponse. Juste au moment où je m'apprêtais à répondre mon téléphone sonna: Amir m'a sauvé la vie, je refusa son appel sous le regard du patron qui changea subtilement en un regard que je ne su déchiffrer, et lui envoya un message disant que je l'appelerais plus tard, en remettant mon téléphone dans ma poche j'entendis

La servanteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant