My New Life /NJR/

Chapitre 19

Note de l'auteur: j'ai décidé finalement de changer quelque chose. Jade attends une fille mais plus des jumeaux. J'ai donc changer aussi sur les autres chapitres.

***
-C'est magnifique ce que tu viens de dire.

Je me retourne pour faire face à un Neymar subjugué. Il a du entendre ma conversation avec Luis.

-C'est difficile pour moi de parler de mes sentiments à quelqu'un. J'ai eu quelques relations auparavant mais jamais je n'ai été comme je suis avec toi avec qui que ce soit.
-Je comprend. Et j'attendrais le temps qu'il faudra pour que tu me dise tout ce que tu ressens pour moi en face. Cela dit, je ressens exactement ce que tu as expliquer à ton frère.
-Il n'accepte pas notre relation. Ça me fais de la peine.
-Je suis sûr qu'il va se faire à l'idée que nous sommes fait l'un pour l'autre.
-J'espère tellement.

Je me réfugie dans ses bras et le serre fort contre moi. A deux, nous sommes plus fort. Et je le suis grâce à lui comme il l'est grâce à moi.

***

Le match contre l'Irak viens de se terminer. 0-0. C'est un Neymar dépité que je part retrouver dans les vestiaires. Même si d'habitude il est le dernier à sortir car il prend soin de lui, c'est pour une toute autre raison qu'il reste seul sur le banc aujourd'hui. 
J'ai assister au match. Et je peut assurer à tout le monde que ce que le public lui a fait endurer a était horrible. Il a été huée. Pas la peine de vous expliquer. Il suffit d'aller voir les journaux pour comprendre. Le peuple brésilien met trop de poids sur les épaules de Neymar. Ce qui lui fait perdre confiance en lui. Il rentre doucement mais sûrement d'as la compétition. Seulement les brésiliens ne comprennent pas cela. Ils veulent qu'il gagne. Ce qu'ils ne savant pas c'est que Neymar ne doit pas être le seul à jouer. Si ses coéquipiers ne l'aident pas, ils perdront forcément.
Seul dans les vestiaires, je rentre pour le rassurer. Il est en pleur. J'aimerais tellement pouvoir l'aider. Seulement je ne suis que sa petite amie et appart m'occuper de sa fille et de Davi, je ne peux rien faire. C'est dommage mais c'est comme ça. Ça me fais tant de peine de le voir comme ça. Je m'installe s'ouvrent à côté de lui et passe ma main sur sa nuque en la massant doucement. Tous les miches de son dos se détendent sous mon geste. Comme après chaque marché nous allons rentrer tout les deux.
Aucun de nous ne parlent. Nous sommes seulement ensemble, l'un à côté de l'autre. A nous regarder dans les yeux. Moi essayant désespérément de percevoir une lueur de joie dans ses larmes et lui tentant tant bien que mal de me rassurée du regard. Évidemment ça ne marche pas. Il ne me rassure pas vraiment. Je suis certaine qu'il ne sait même s'il essaie de me rassurer moi ou de se rassurer lui.
Après cinq minutes sans ouvrir la bouche, je me décide enfin à émaner quelques mots.

-Tu n'as pas à t'an vouloir Ney'. Tu as fait ce que tu peux. Et ils ne peuvent pas te reprocher ça. Je suis sûre que vous aller gagner votre prochain match.
-Jade ! Mon propre pays me hue, il ne crois plus en moi. Tu te rends compte !? J'ai beau essayer de tout faire pour ça me marche pas !
-Il n'y a pas que toi qui doit jouer. Toute l'équipe doit le faire. Tu est peu être le pilier de la Selecao mais tu n'est pas le seul joueur. Et quand le Brésil entier le comprendra, c'est là que vous gagnerez tous. J'en suis persuadée. Aller viens il fait qu'on rentre, les gardiens vont bientôt fermer les portes.

Je lui pris la main et le tira doucement vers la porte des vestiaires. Il semble aller un peu mieux. Enfin je l'espère. Je n'ai jamais été très douée pour rassurer ou même pour consoler les gens. Mais j'espère tout de même que ça aura pu lui faire prendre confiance en lui.
Nous rentrons dans notre chambre mais' dans là mains toujours. Il ne m'a lâché la main depuis que je lui a donnée pour sortir des vestiaires. Je finis par prendre son t-shirt qu'il a porté avant le match et nous nous couchons dans la  position cuillère qu'on adore pour s'il puisse caresser mon ventre.