La Sous-Estimée

Chapitre 29.

Cover de 123Soleil123Soleil 💕💞

Point de vue de Solange.

Sa troquait à la porte au moment où les lèvres d'Abdoulaye avait faillit se poser sur les miennes.

Je l'ai tout de suite poussé en baissant les yeux, la situation était si embarrassante.

« Entrez ! »

La personne qui entra était une femme qui devait être un peu plus âgée que moi d'environ deux années. Elle devait mesuré un petit mètre soixante-huit et elle avait de vrai formes.

Si mes souvenirs son bon, je crois bien l'avoir déjà vu quelque part.

« Salut chérie !  »

Cette femme avança vers Abdoulaye qui l'avait prit dans ses bras plutôt, il l'a prit ses fesses dans les bras hein.

Je crois bien que c'est elle sa femme, en la voyant j'ai eu un petit pincement au coeur. Abdoulaye faisait bien attention afin que je le regarde faire des bisous à sa petite femme.

Que cherche t-il ? Attiré ma jalousie ? Non, ça il ne l'a pas réussi. Mais savoir le fait qu'il a voulu m'embrasser et qu'il aille embrasser sa femme maintenant me dégoûte.

« Merci pour les unes semaine de congés Monsieur Mendy. Au revoir, fis-je en partant.

- Non, attendez ... »

Trop tard, j'étais déjà partie et malgré son désaccord, je compte quand même prendre ma semaine pour mon voyage à Kinshasa.

LYNDA.

Une semaine plus tard ...

Le grand jour est enfin arrivé, je viens d'atterir sur le sol congolais, le sol zaïrois qui cache plus de mille et un diamant sous terre. La chaleur était accablante mais en inspirant un bon coup, je me suis étrangement sentie chez moi, pour de vrai.

Avec ma mère, accompagné de nos bagages, nous venions à peine de sortir de l'aéroport de Ndjili que je vus une énorme foule de personne dehors, criant mon nom.

C'est de la folie ! Je n'ai prévenu personne que j'allais passer des vacances dans mon pays d'origine et la, il y a tout le quartier de Matonge qui crie mon nom, chante mon nom et danse pour moi.

J'étais obligée de faire un petit snap !

« Hé Lynda, mwasi kitoko, chantaient-ils. »

*Hé Lynda, jolie fille.

On faisait des photos avec moi, je leurs saluaient et j'étais en contact avec ma patrie, mais la police m'a escorté jusqu'à mon hôtel vu qu'il y avait trop de monde.

« Maman comment est-ce qu'ils savent que je suis ici ?

- Toi aussi, tout le temps tu fais des snapages, des Incramgram la ! Beaucoup de personnes te suivent à cause des réseaux, donc ils sauront forcément où tu es et où tu vas.

- Ah oui, tu as raison... »

Il y avait même des journalistes français qui sont venus pour me filmer et me demander ma réaction par rapport à l'accueil que j'ai reçu de la part de mes compatriotes.

Vu que les policiers à Kinshasa sont durs, j'ai dû abandonné les journalistes pour enfin regagner l'hôtel où je voyais des photos de moi de ma campagne affiché partout.