La Sous-Estimée

Chapitre 14.

MULTIMÉDIA : Farah.

Point de vue d'Isaiah.

C'est vrai que lorsqu'on regarde Cindy, on a directement envie de faire des choses tellement pas catholiques !

La première fois que je l'ai vu en boîte, je voulais absolument me la faire, mais DeSean a été plus rapide que moi et comme monsieur est blindé d'oseille, il a réussi à l'attirer avec ce seul moyen.

C'est la que j'ai comprit que Cindy n'en voulait qu'à son fric. Je l'ai longuement observé et j'ai vu comment Walid et elle se regardaient et un regard ne trompe jamais.

Aujourd'hui, DeSean et moi on ne se parle plus, c'est fini et si cette c*nnasse ne serait pas entrée dans sa malheureuse vie, rien de tout cela ne serait arrivé.

Ma belle Cindy, tu as inventé des choses incrédules sur moi ? Et bien les choses que tu as inventé se réaliseront maintenant et je m'en frotte les mains ...

CINDY.

Il me fait entrer de force dans une caisse qui est probablement la sienne. Je résistais comme je pouvais avec ma force de moustique.

Isaiah est très grand de taille alors que moi je suis toute petite du haut de mon mètre cinquante neuf. Il m'a porté tel un sac à patate en me faisant entrer brusquement dans la voiture.

– «Tu fais moins la maligne la hein ?

Ce fils de timpe il en riait sadiquement. Moi ça m'avait énervé donc je lui ai craché au visage. Mon geste l'avait tellement surpris qu'il me regardait, la bouche entre ouverte puis il me mit la tarte du siècle.

– Et en plus tu me craches au visage ? »

– «Laisse-moi sortir ou bien tu vas le regretter ! »

– «Ouuuh ! J'ai peur !!! »

Il avait verrouillé toutes les portières de la voiture en mettant de la musique à fond. Personne ne pouvait nous voir dedans puisque les vitres sont entièrement teintées.

– «LAISSE-MOI PARTIR ! »

Isaiah ne m'écoutait pas, alors il commença à m'embrasser tel un gros pervers sauvage en manque. Quand on regarde bien, Isaiah n'est pas moche ! Donc avec mes mains, j'ai prit sa tête, je l'ai regardé puis j'ai continué à l'embrasser.

– «Mmh, se stoppait-il, tu joues à quoi la ? Normalement tu n'es pas censé te laisser faire ! »

– «J'aime bien, mordais-je ma lèvre. »

– «P*tain t'es une de ses salopes toi ! »

Dit-il en m'embrassant. Il retirait déjà ses hauts et moi je déboutonnais ma chemise en laissant apparaître mon de-colté qu'il couvrait entièrement de baiser avec une de ses douceurs qui me fit frissonner.

Nous étions sur la banquette arrière et il était juste au-dessus de moi mais je le retourna en me plaçant à califourchon sur lui.

D'un coup, quelqu'un frappa d'une force sur la vitre de la voiture, au début nous n'y prêtons pas attention mais ceci devenait de plus en plus persistant. Alors Isaiah baissa le son de la musique en baissant la vitre.

C'était un homme blanc d'une quarantaine voir cinquantaine d'années qui nous regardait avec une tête de ronchon.

– «Vous faîtes trop de bruit la oh ! Vous vous croyez où ? Sortez de mon parking et de la voiture sinon j'appelle la police ! »