Encore un de ces foutus soirs ou le chaos règne en maître sur mon esprit , on mes pulsions les plus assassines surgissent de la pénombre de me yeux noyés par les ténèbres , dans lesquels j'ai envies qu'on cesse de regarder dans le flou et qu'on admire ce farouche être qui m'anime hurler aux désespoirs , que personne n'a vu , que tout le monde à préférer masqués en autres choses , un mal , une souffrance , une douleur , une blessure , une coupure , une plaie. Admirez mon sang coagulés au liquides infectieux qui jonchent ma peau dorée. Admirez mes cernes qui sont le reflets de la noirceur du malaise qui relit mon être à la réalité.
Confiance : Probablement un mensonge créer pour satisfaire les esprits d'un manque troublant. Une confiance entre amis , qui est sûr de cet stabilité ? Une confiance entre enfant et ses parents , qui est réellement sûr de la m(p)aternité de ce sentiment illusoire ? A quand ces regards qui ne disent que la légitimité des choses ? C'est devenu si rares que ça que de pouvoir se noyer dans la puissance d'un être auxquels on pourrait léguer , espace , temps , vie , besoins ? Pourquoi encore pleurer sur un coup de gueule et des paroles trop lourdes ? Trop lourde pour un ami qui prend la mauvaise décision , une mère qui ne laisse plus vivre ? Par des "je ne te crois pas." , "je ne crois plus." , "je ne te fais pas confiance." et des sinistres "je ne te fais plus confiance." ? Pourquoi encore subir le fardeau qu'est les cris implorant mes paroles alors que personne ne m'a jamais appris à communiquer pour m'exprimer ?
Pourquoi jusqu'à personne n'a essayer de me croire ?
Pourquoi ne veux jamais comprendre ?
Pourquoi ne pense que ce que je dis , fais ou vis est faux ?
Pourquoi me dire qu'au fond , ils partiront tous ?
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Lettres aux suicidés.
Non-FictionQuelque part , j'ai tout oublié. Je ne sais plus. Dans une certaine manière , je ne veux pas me souvenir.