Chapitre 1

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C'est une nuit comme les autres à Central City. Les lampadaires éclairaient les rues, les derniers restaurants commençaient à fermer et les dernières personnes présente commençaient à rentrer chez eux. Un moment de calme parfait pour que les criminelles soit de sortie. Deux ombres sautaient de toit en toit. Le duo d'ombre s'arretèrent à côté d'un grand immeuble ressemblant à une des plus grandes banque de Central City. Les ombres s'approcherènt de la vitre et une des deux joigna sa main à la vitre et celle-ci se brisa en milles morceaux. Les silouhettes s'introduit à l'intérieur en sautant agilement. Elles se mirent à courir dans les longs couloirs et les lumières éclairèrent les ombres. Les silouhettes se trouvaient être des femmes. Une était vêtu d'un costume noir plutôt moulant à capuché bordeaux et un masque de la même couleur recouvrait la moitié de son visage. L'autre était vêtu de la même façon mais sa couleur était bleue. Les criminelles étaient indidentifiables. Leurs jambes les menèrent devant un coffre-fort. Celle au costume bleu sortit un gadget de son sac et le posa sur la porte pour la faire exploser. Les jeunes femmes reculèrent et la mini bombe explosa. L'alarme retentit et les criminelles se dépêchèrent de rentrer pour remplir leur sac d'argent. Des bruits de course se firent entendre dans le couloir et les jeunes femme se regardèrent.

« Il va falloir modifier la façon d'entrer dans les coffres-forts, souffla celle au costume rouge.
– Roh ça va. Et puis si il y a aucune action c'est pas marrant. »

La rouge laissa échapper un soupire et les policiers pénétrèrent dans le coffre-fort en lâchant la fameuse phrase ''Restez où vous êtes les mains en l'airs.''

« Blablabla..., lâcha la bleue. »

Celle au costume rouge soupira encore une fois et d'un geste rapide sortit ses pistolets et tira sur les policiers en pleine tête. L'autre cambrioleuse lâcha une boule de fumée devant les policiers et elles en profitèrent pour s'échapper avec les sacs remplit. Pendant qu'elles couraient un éclair rouge passa devant les deux jeunes femmes et s'arrêta devant elle pour laisser un homme en costume rouge. Un symbole d'éclair se trouvait sur sa poitrine.

« Hey salut Flash tu viens rigoler avec nous? C'est sympathique de ta part mais bon désolé on te passera pas nos 06, la rouge haussa les sourcils et le justicier semblait surpris mais sans plus.
– Vous êtes des criminelles mais vous êtes plutôt marrante c'est dommage, bon et bien... Désolé pour vous mais maintenant va falloir séjourner en prison et il n'y aura pas de réseau dommage. »

L'éclair se mit à courir sur la rouge et celle-ci ne paniqua pas et donna un coup de pied dans la côte du supersonique. Elle avait réussit à anticiper à quel moment exacte il sera là. Celui au costume rouge s'écrasa au sol. La jeune femme posa sa main sur le torse de l'éclair rouge tout en le regardant dans les yeux. Ses yeux bleus devinrent rouges et l'expression du supersonique changea et se transforma en peur ainsi qu'en colère. Les deux jeunes femmes profitèrent de son état pour partir de la banque.

 Les deux jeunes femmes profitèrent de son état pour partir de la banque

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Le soleil se leva doucement. Le matin arrivait et les premières boutiques ouvraient. Les premières personnes s'activèrent pour rejoindre leur lieu de travail et d'autres étaient là pour faire simplement les boutiques ou boire un simple café. Une brune se rendit devant un café se nommant jitters et y pénétra un peu stressée. À peine elle eut le temps de rentrer qu'une métisse assise sur une table l'interpella.

« Hey, Lune ! Par ici. »

La brune sourit et s'approcha de la caisse pour commander un milkshake à la vanille avec un donuts incontournable chez jitters. Lune se dirigea ensuite à la table de son amie et lui sourit.

« Salut Iris. Alors comment tu vas aujourd'hui ?
– Ça va bien. Tu sais qu'aujourd'hui mon patron m'a demandé de faire un article sur le cambriolage d'hier soir. Attends... Tu as vu aux infos ce qu'il s'est passé c'est dingue ! La brune lâcha un rire à l'enthousiasme de son amie. Elle allait toujours trop vite quand elle parlait.
– Non pas du tout, je n'ai même pas eu le temps d'allumer la télé depuis ce matin, Iris esquissa un sourire et s'apprêta à tout raconter à sa meilleure amie mais elle remarqua vite un jeune homme qui rentrait tout juste dans le café.
– Barry ! On est ici. »

Voilà la raison de la venue de cette chère Lune. Barry Allen ce scientifique qui est meilleur ami avec sa meilleure amie. Elle se rappellerait toujours de ce jour où elle l'avait vu sur son lit d'hôpital neuf mois plus tôt.

Lune partit après voir sa mère à l'hôpital. En marchant dans le couloir elle remarqua un patient faire une crise cardiaque qui fit sauter l'électricité. Elle cria lorsque une lumière sauta juste au-dessus de sa tête et posa ses mains sur sa tête. Quelques secondes plus tard elle la releva et remarqua deux jeunes gens paniqués. Une personne âgé noir de peau et une jeune femme d'à peu près son âge métisse. La métahumaine s'approcha de la vitre retenant le patient et découvrit un homme au cheveux châtain. Il semblait plutôt charmant et la brune se demandait de quelle couleur était ses yeux. Bizarrement le jeune homme l'intriguait fortement. La métisse sortit en première de la chambre et la jeune femme décida de lui parler.

« Il va bien? La métisse se retourna pour la détailler surprise.
– Oui, oui il va mieux. Mais qui êtes-vous? Elle semblait plutôt méfiante et la blonde sourit légèrement.
– Je suis Lune Miller. Je m'inquiétais juste pour l'état de votre ami, je suppose? La concernée hocha la tête et sourit timidement.
– Il est tombé dans le coma. Une victime de l'accélérateur de particules, je lui souria d'un air réconfortant.
– On a détecté une tumeur au cerveau à ma mère, hier, mais en fait je ne connais pas ton prénom. Tu t'appelles comment? la métisse prit un air désolé.
– Désolé pour ta mère. Iris, Iris West. On sera amené à se rencontrer presque tout les jours alors. »

Voilà comment elle avait rencontré sa meilleure amie d'aujourd'hui. Et maintenant elle l'avait invité au jitters pour lui présenter son meilleur ami : Barry Allen.

𝐀𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐞𝐧𝐬𝐨𝐧𝐠𝐞𝐫 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant