chapitre 14

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Il serrait mon visage dans ses mains, comme pour m'empêcher de m'en aller, ses lèvres étaient tremblantes, il avance les hanches vers les miennes et me serre contre lui avec une de ses mains..

Il me serre encore plus et descends ses bras vers l'arrière de mes cuisses pour me porter..je sursaut et mes lèvres se décolle ses siennes.. je frissonnais mais ne voulais pourtant pas me débattre à quitter dans ses bras..

Il me fixe du regard, ses mains sur mes fesses, son rythme cardiaque avait accéléré.. je ne pû m'empêcher de passer me pieds et de les serrés autour de sa taille.

C'était un moment intense, je ne connaissais pas l'homme que j'embrassais mais pourtant c'était comme si on était des amis d'enfance.

Lorsque je reprends ma lucidité, mes lèvres toujours collées aux siennes, et ses mains faisant des va-et-vient sur mon dos, je me rappelle que nous sommes seul.. et Eliot me remonte à l'esprit..

Pourquoi ma t-il demandé si on était seul? Je ferai mieux de quitter sur lui, avant de regretter mes gestes..je détache lentement mes bras que j'avais serré sur son cou.. et décoller ma poitrine de ses pectoraux en acier..

Mais une force m'en empêche, il avait posé sa main sur mon dos et le moindres mouvements me serrait douloureux.. il avance vers le canapé et me mordille le cou.. sa respiration est chaude et me stimule une sensation forte au niveau du bas ventre... je n'avais jamais eu autant envie avec Eliot..

Je me lâche, emporté par l'excitation et lorsqu'il s'assoit avec moi sur le canapé, et décroche mes pieds autour de sa taille et prends une position plus adéquat.. l'envie de fuir m'est passée, j'apprécie le moment..ça m'avait manqué!

Il ne cesse les va-et-vient de ses mains mais ses mouvements deviennent plus précis, plus..., il sait où toucher pour m'avoir.. sa langue caresse avec délicatesse la mienne, putains il embrasse divinement bien.. il me mordille un peu lèvres à chaque fois qu'il passe de la supérieure à l'inférieure..

Lorsqu'il entre ses mains dans mon short.. c'est comme si mon cerveau avait eu un choc, avant qu'il atteint son objectif, je les retire poliment, il continue ses caresses et prends direction vers mon short,, j'ai une envie folle de continuer mais je suis stoppée à chaque fois dans ma tête..

J'avance mes hanches encore plus sur la bosse qui s'était formé sur son pantalon, il mets ses mains une seconde fois et je les retire.. il rejoint mon cou et me chuchote des "laisse toi faire nel, laisse toi faire" et redescend ses mains en faisant des petits bisous sur mon cou..

Putain.. il n'aurait pas dû me dire ça.. instantanément j'active mon autodéfense et me retire brusquement du canapé, essoufflée! Je passe mes mains sur mon visage et cherche une excuse..

-(je le gifle ) tu..tu es malade.. tu cherchais avec qui coucher? Connard. Dis-je un peu effrayé de sa réaction en reculant à chaque mot.

Qu'est-ce que j'ai fait ... merde!

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