C'est lui ... [Tome 2]

Je vais exploser

Je me réveillais ce matin avec un mal de dos. Antoine dormait toujours, il avait sa main posé sur mon ventre. Je changeais de côté pour me retrouver face à lui. Le fait d'avoir bouger l'avait réveiller. Je regardais l'heure sur l'horloge. Il était 9:30. Il m'embrassait puis se levait pour allait dans la salle de bain. Je me levais avec du mal et allait regarder dans la penderie ce que je pourrais mettre. Je pris les première chose qui venait.

Le temps qu'Antoine se lavait je m'étais habillée et j'étais descendu en bas pour prendre le petit déjeuné parce que j'avais une faim de loup. Là je mange vraiment pour deux, je passe tout mon temps à manger et à aller au toilette parce que le bébé appui sur ma vessie.
Antoine arrivait, il sentait bon comme à son habitude et il s'installait en face de moi.

Antoine : T'es la plus belle des femmes enceintes.
Moi : Merci mais je vais exploser aussi surtout.
Antoine : Mais non !
Moi : Si t'étais aussi énorme que moi tu dirais pas ça.
Antoine : Oui mais regarde le bon côté des choses, tu vas donner naissance à notre enfant.

Je lui souriais et finissait de manger. Pour le moment mon bébé dort parce qu'il ne donne pas de coups. Mais par contre quand il est réveillé, il donne des sacrés coups, heureusement qu'Antoine est la à chaque fois pour parler devant mon ventre parce qu'après je sens quasiment plus rien. J'espère qu'aujourd'hui je ne sentirai pas trop parce que mon homme va s'entraîner. Super ! Il me laisse dans la galère ! Mais bon je vais sortir un peu à mon cours prénatal. J'y vais toute les semaines et ça aide énormément pour connaître ce qu'il faut sur l'accouchement et la suite avec le bébé à la maison.
Mais il n'est que en plein milieu de l'après à 15:30. Je ne sais pas vraiment ce que je vais faire avant. Je vais peut être aller voir Antoine a l'entraînement vu qu'aujourd'hui les tribunes sont ouvertes pour les visiteurs. Je passerai avant mon cours.

J'allais m'installer dans le canapé et j'allumais la télé. Antoine vont s'installer à côté de moi. C'est comme si le petit être à l'intérieur sentait la présence de son père car il commençait à me donner des coups. Je pris la main d'Antoine et la posais sur mon ventre pour qu'il sente les coups que j'avais.
Il souriait. Ça me faisais sourire également car je savais qu'il avait hâte que j'accouche et il était fière de devenir papa. Il commençait à parler.

Antoine : Coucou petit footballeur, ou petite princesse, tu sais on a tous très hâte que tu sorte du ventre de ta maman, mais faut être gentil avec elle. Tu pourras très bientôt sortir mais pas tout de suite. Tu es bien au chaud et il faut y rester encore.
Moi : C'est bon je sens quasiment plus rien. C'est incroyable l'effet que ça fait.
Antoine : Normal, je suis fait pour être un père !

Je rigolais puis il me rejoignait dans mon rire. Il ne faut absolument pas que j'oublie d'aller essayer des robes de mariée parce qu'il est temps quand même, c'est bientôt le mariage. Isabelle et Maud viennent quelques temps à la maison pour l'occasion et nous aider à préparer.

Antoine : Ma mère et ma sœur arrivent aujourd'hui je vais les chercher à l'aéroport après l'entraînement tu n'a pas oublié ?
Moi : Mon cerveau de femme enceinte fait que j'avais zappé que c'était aujourd'hui on va dire. Mais ça va tranquille les chambres sont propres la maison aussi et par contre j'ai mon cours donc je ne pourrais pas venir avec toi à moins que tu passe me prendre avant ?
Antoine : Je viendrai te chercher bébé.
Moi : Merci !
Antoine : T'a appelé tes parents ?
Moi : Non, s'il te plaît parlons pas des sujets qui fâchent.
Antoine : Ça serait peut être bien que tu leur dise que tu es très enceinte et que tu va te marier avec moi.
Moi : Je sais.
Antoine : Tu crois que ton frère leur a dit ?
Moi : J'espère pas.

Je me levais du canapé et j'allais au toilettes encore une fois. C'est horrible. Je me lavais les mains et je regardais Antoine. Je pris mon portable et composait le numéro de la maison de mes parents qui sont en France.
Ça répondait au bout de trois sonneries.

•Conversation téléphonique•

Maman : Allo ?
Moi : Allo maman ? C'est moi.
Maman : Comment vas-tu ?
Moi : Ça va ça va et toi ?
Maman : Ça va aussi...
Moi : Papa est la ?
Maman : Oui. Pourquoi ?
Moi : Je dois vous parler.
Maman : Que se passe-t-il ?
Moi : Je vais me marier ! Et ce n'est pas tout. Tu vas être une nouvelle fois grand mère !
Maman : Ho mais c'est génial ma fille ! Quand est le mariage ?
Moi : Dans 1 mois.
Maman : Ce n'est que maintenant que tu nous préviens ?
Moi : Je suis désolée mais tu aurais débarquer en Espagne sans prévenir. Et j'accouche dans un mois et demi.
Maman : Tu te moques de moi j'espère ?
Moi : Est-ce que j'ai l'air ?! Tu as de la chance que je vous laisse venir à mon mariage.
Maman : Encore heureux.
Moi : Bon je dois te laisser. Antoine m'attend. On se rappelle plus tard. Et je vous enverrai un faire part pour l'invitation au mariage. Salut.

•Fin de la conversation téléphonique•

Je ne lui avais pas laisser le temps de répondre parce que je savais que j'en aurais pour plus d'une heure avec elle au téléphone.
Je retournais m'assoir au près d'Antoine qui avait entendu la conversation.

Moi : Tu es content maintenant ?
Antoine : C'est déjà mieux que rien.

Il m'embrassait puis il se levait. Il prit son sac de sport et s'en allait à l'entraînement. Je regardais l'heure une nouvelle fois et il était pas loin de onze heures moins le quart.
Je décidais de sortir un peu faire du lèche-vitrines. Pas pour moi. Pour mon bébé. Je mis ma veste et sortait. Je fermais la maison à clé puis je m'en allais.
J'étais dans les rues de Madrid à regarder les vêtements pour bébé. J'avais pris dès body et des pyjamas au final parce que prendre des habits c'est compliqué. Alors que les body et les pyjamas ça reste mixte.
Je m'arrêtais dans une petite supérette prendre un sandwich puis j'allais jusqu'au Stade Vicente Calderón. J'entrais dans le Stade et me dirigeais vers les tribunes basses. Je voyais mon homme et son équipe entrain de faire des petits matchs entre eux. Ça me manque tellement de ne plus être sur le terrain. J'ai hâte de reprendre le foot.
Dès qu'Antoine m'avait vu, il était venu en courant vers moi. Je m'étais levée et rapprochée de la barrière. Il avait pris mon visage entre ses mains et m'avait embrassé. Il retournait à ses occupations alors que je m'asseyais et l'observait. Ils ont des entraînements vraiment intense. À côté de ce que je faisais c'est énorme ce qu'ils font.
Il était l'heure pour moi de partir pour mon cours. J'y étais arrivée et je me mettais en place à côté d'une femme qui devait être enceinte de 5 ou 6 mois.

Ellipse

Antoine était venu me chercher comme prévu. Nous prenions la direction de l'aéroport. L'avion de sa mère et de sa sœur avait atterri depuis longtemps je pense puisqu'elles étaient entrain de nous attendre sur des sièges. Elles venaient vers nous en souriant.

Maud : He ben dis donc ! Ça a bien poussé !

Elle l'avait dis en prenant dans ses bras et en touchant mon ventre après m'avoir lâcher. Je lui souriais. Et vint le tour de sa mère qui me prit à son tour dans ses bras.
Nous sortons de l'aéroport afin de rejoindre la voiture puis nous rentrons à la maison. Je suis contente de ne plus passer mes journées toute seule à partir de demain, enfin je suis pas tout les jours toute seule, ça arrive que 3 fois par semaines mais bon quand même. J'aime bien être entourée.

La fin de la soirée était arrivée vite. Nous avions bien mangé et j'étais dans mon lit fatiguée. Antoine m'avait vite rejoins. Je me mis sur le côté droit et il se collait à mon dos en posant toujours sa main sur mon ventre. J'aime bien quand il le fait.
Les bras de Morphée m'accueillaient grand ouvert.