J'oserai jamais

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Un bruit sourd se faisait entendre dans la chambre. J'ai vraiment l'impression que je ne vais pas pouvoir dormir aussi longtemps que ce que je pensais... il y eu comme un bruit de claquement ce qui provoquait mon réveil et celui d'Antoine en sursaut. On se regardait dans l'incompréhension totale et on portait notre regard en face de nous. Ils ont vraiment osé nous réveiller. Je cite : Paul et Patrice. Je mettais ma main sur ma poitrine pour tenir le drap qui recouvrait mon corps dénudé. Je regardais les deux idiots l'un après l'autre qui nous regardaient en faisant la danse des sourcils... ils sont vraiment pas bien dans leur tête. Je regardais Antoine, qui lui était complètement désespéré de ses deux amis.

Paul : Vous vous êtes bien envoyés en l'air hier soir.
Patrice : Je pensais pas que t'étais un aussi bon coup Antoine.

Je me mettais à rougir et laissais tomber mon dos sur le lit. Ma main tenait toujours le drap. Antoine attrapait son oreiller et le lançait sur Paul et Patrice. Ils s'en allaient finalement et fermaient la porte après eux. Anto' se rallongeait et me fixait.

Moi : Qu'est-ce qui a ?
Antoine : T'es belle.

Je pouffais de rire et me mettait sur lui. J'avais bien évidemment garder le drap sur moi.

Antoine : Bah quoi ?
Moi : Tu dis n'importe quoi.

Je m'approchais de son visage et lui faisait un bisou esquimau.

Je le regardais dans les yeux puis finalement dérivais sur ses lèvres

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Je le regardais dans les yeux puis finalement dérivais sur ses lèvres. C'était comme si elles m'appelaient. Et surtout à cette distance c'était compliqué de résister. Je sentais qu'il se rapprochait, juste pour l'embêter, je me reculais. J'aime ce genre de jeu, le laisser me courir après. C'est une grande passion. Je ne pouvais pas aller plus loin que la ou j'étais, il avait entouré ses bras à ma taille et il s'approchait de mon visage. Il m'embrassait passionnément et à bout de souffle on se séparait. Je m'enlevais de ses bras et je prenais des vêtements pour me changer. J'allais à la salle de bain toujours enroulée dans mon drap. Je me lavais rapidement et m'habillais. Je laissais mes cheveux naturels et me maquillais pas trop.

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C'est lui ... [Tome 2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant