Ta fille va être footballeuse

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Ellipse de quelques semaines

Je me suis réveillée ce matin à 11:20. Antoine était partit à l'entraînement et j'étais avec la mère et la sœur d'Antoine. Elles sont restées en Espagne pour nous aider. Alain et Théo arrivent aujourd'hui de Mâcon. Comme je suis très restreinte dans ce que je fais car j'accouche bientôt. Très bientôt. À mon dernier rendez vous à l'échographie prénatal la sage femme m'a dis que le col était bien ouvert. Je sens que c'est la fin. J'ai quelques contraction mais rien de trop important. Du moment que la poche des eaux ne se rompt pas pendant le mariage tout ira bien pour moi.
Le mariage est après demain et aujourd'hui je vais réessayer et récupérer ma robe de mariée avec Maud.
D'ailleurs la petite famille de mon frère arrive aujourd'hui aussi.
Je sortais du lit avec du mal. J'ai attrapé une sacrée démarche, je marche les jambes légèrement écartée et le dos légèrement courbé.
Je descendais en bas et le petit déjeuné était toujours servi. Depuis quelques jours tout le monde est aux petits soins avec moi. Je m'arrêtais dans le salon et vu qu'Antoine était la et Alain et Théo aussi. Mais pourquoi il n'est pas à l'entraînement ?

Moi : Mais qu'est-ce que tu fais la ?
Antoine : J'ai pris ma journée. Je préfère passer la journée avec toi et ma famille.

Il m'embrassait puis j'allais dire bonjour à son père et à son frère. Je n'étais pas très présentable vu que j'étais toujours en pyjama. Je m'excusais auprès d'eux puis je montais pour me changer. Je pris des vêtements au hasard.

Je redescendais en bas

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Je redescendais en bas. Je ne savais pas si c'était une contraction que j'avais ou des coups que le bébé donnait.

Moi : Antoine, je crois que ta fille va être footballeuse. Il se mit à rire
Antoine : Ha bon ? Pourquoi tu dis ça ?
Moi : Touche.

Il mettait sa main sur mon ventre et je voyais qu'à sa tête il sentait bien les coups.

Antoine : Une vraie attaquante.
Alain : Comme ses parents.

Je souriais. Je m'installais sur le canapé à côté de Théo. Maintenant que je suis assise, je reste assise la pendant un long moment. Parce que je vais devoir demandé à quelqu'un de m'aider à me lever sinon.

Isabelle : Est-ce qu'on peut faire une photo tous ensemble ? Ça sera un beau souvenir.
Moi : Oui bien sur. Antoine mon appareil et le pied sont dans la chambre, tu peux aller chercher s'il te plaît ?
Antoine : C'est comme si c'était fait.

Il revenu quelques minutes plus tard et je me redressais pour pouvoir faire tous les réglages de l'appareil photo et mettre un retardateur. J'installais mon appareil sur le pied et Antoine allait le déposais devant nous. Il appuyait sur le bouton puis revenait rapidement vers nous. On pris la pose puis la photo était faite. Antoine me ramena l'appareil et je l'enlevais du pied. Je regardais le cliché. J'ai vraiment un ventre énorme. Je faisais passer l'appareil et tout le monde était satisfait. Je la ferai développer.

C'est lui ... [Tome 2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant