jeux malsains.(camren)

chapitre 33

Pdv Camila.

Je ne me souviens que de très peu de choses.
Il y a eu l'attestation de Lauren, les cris, les hommes qui s'affole partout, l'ambulance, le long trajet interminable.
Puis l'hôpital, les lumières dans les yeux, les médecin inquiet, du sang. Ce mal qui ne me quitte pas, cette sensation de vide m'oppresse.
Je ne me souviens plus de son nom, l'homme qui m'a frapper. Je suis dans une sorte de brouillard confortable, mais il me manque des souvenirs.
Quelques chose ne va pas, mais je ne sais pas quoi.
Je ne me sent pas à l'aise ! Quelques chose manque. Je me souviens d'une douleur vive au ventre. Quelques chose d'important,  je ne sais quoi mais c'est très important. Mon malaise grandit, sa a quelques chose à voir avec un bébé.

-MON BÉBÉ !

Pdv Lauren.

Je suis dans ma cellule, allongée sur le vieux lit miteux quelle contient. Je regarde le plafond pourri par la moisissure.

Tout ça est ma faute. Je suis qu'une pauvre conne ! Si j'avais été plus intelligente rien de tout cela ne se serait passer.
J'aurais du attendre que Camila accouche pour aller la chercher. J'aurais du mieux travailler mon plan ! Et maintenant à cause de mes erreurs, ma vie est foutue. Celle de Camila, le bébé aussi, les procédures qui vont être lancée à son égard.

Ma mort proche. C'est sur et certain, la mort m'attend. Je me rasseoi sur le lit et donne un violent coup de poing dans le mur en béton. Je m'ouvre la main.
La peine de mort voilà se qui m'attend, meurtre, trafique d'armes et de drogue. Même avec les meilleurs avocats j'aurais du mal à m'en tirer. Peut-être la prison à vie des le meilleur des cas.

J'ai tout gâcher...

Pdv Camila.

Je me réveille d'un seul coup. De la sueur me coule dans le dos. Je suis dans une chambre d'hôpital, seule. Complètement seule. J'ai peur, peur de baisser les yeux. Peur de se que je risque de découvrir. Pourtant je veux savoir. Lentement je baisse les yeux, je reste choquer.
Je ne suis plus enceinte...
Des centaines de questions se bouscule dans ma tête. Où est mon bébé ? Est il en vie ? Est-ce que j'ai fait une fausse couche ?
Je souffle un bon coup pour me calmer, mais visiblement sa ne marche pas.

Chose complètement débile, j'arrache ma perfusion, se qui me fais un mal de chien. Après avoir enlevé les couvertures, je pose mes pieds nus sur le sol froid de la chambre.
Par grand bonheur j'arrive jusqu'à la porte sans  tomber, chancelante certes.
Je pris pour que la porte soit ouverte. Et bien évidemment elle est fermer. je tape du poing contre le plastique froid.

-Ouvrez moi ! Il faux que je vois mon bébé.

J'attends quelques minutes, rien. Personne ne vient m'ouvrir.

-Ho hé ! S'il vous plaît ! Ouvrez moi.

Toujours rien.
S'en est assez ! Je me tourne dans la chambre à la recherche d'une idée. Quand l'inspiration travers mon esprit.
Je m'approche de la table situé près de la fenêtre, la pousse au prix d'un grand effort. J'attrape l'une des chaises et  dans un mouvement brusque je la lance contre la fenêtre.
Fenêtre qui se fracasse dans un bruit assourdissant de verre brisé. Toujours ma chaise à la main, j'entends de l'agitation dernière la porte.
Je m'en fou, au point où j'en suis une vitre n'est que le cadet de mes soucis. Je prends la chaise, la pose au sol et m'assois dessus au moment où la porte s'ouvre sur deux officiers de police.

-C'est pas trop tôt ! Je murmure entre mes dents.

-Tout va bien ?! Demande le premier homme.

-Non, je répond.

-C'est vous qui avez.... Me demande le second.

Je prends mon air innocent.

-Ho non ! C'est ma copine qui a cassé cette vitre. Vous savez celle que vous avez jeter en prison.

Les deux officiers se regarde.

-Mais vous ...

Je lève la main.

-Stop! Je ne suis pas la pour faire la cosette. Je veux voir mon bébé.

Le second adresse un regard septique à son collègue.

-Sa ne va pas être possible...

J'ouvre de grande yeux la peur au ventre.

-Il va bien au moins ?!

-Oui, répond le premier officier. Il est sous couveuse dans un autre hôpital.

Je vois à sa tête qu'il regrette. Attendez quoi ?

-Quel autre hôpital ?! Pourquoi ?

Le second hésite et regarde son collègue qui l'encourage par un hochement de tête.

-Votre fils, à était... confié à une famille d'accueil.

Je suis sous le choc, la pièce se met à tanger autour de moi.
Une famille d'accueil ?

-Quoi ? Pourquoi ?! C'est mon fils ! Je veux voir mon bébé. J'ai le droit de le voir !

-D'après la loi non, cet enfant cour un danger en restant avec vous, de plus vous êtes une prisonnière juridique en attente d'un jugement. Vous n'avez aucun droit sur cette enfant.

C'en est trop, j'ai mal au crâne, la pièce se met à tourner autour de moi.

-Ça va madame ?

-Ho parfaitement bien ! Ma copine est en prison et mon bébé quelques par avec des inconnus ! Tout va bien !  Magnifiquement bien !

Les deux flics me fixent abasourdis.

-Sortez d'ici, je leur ordonne.

Ils ne bouge pas, je leur hurle après.

-Dégagez ! Cassez vous !

Ils sortent enfin, me laissant seule dans mon chagrin.
J'ai l'impression que tout s'effondre.

Voilà pour le chapitre 33. J'essaie de poster la suite rapidement. J'espère qu'il vous ce chapitre vous a plus. Merci de me lire ;)