chapitre 36

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Normani m'a parlé des agents qui me surveillent.
Ainsi donc le FBI est après moi.

Avec Normani nous avons eu une bonne idée, je vais rendre visite à Lauren en prison. Je jouerai la copine effondré et sa passera comme une lettre à la poste !

Je suis donc devant mon armoire, et oui je suis retourner à l'appartement, bien que sans Lauren il me semble  anormalement grand, je cherche quoi me mettre. Il faut que ma tenu colle à mon personnage. Je prends donc un jean, un simple t-shirt, une vieille veste en jean et des baskets. Une fois prête je rejoin Normani qui m'attend au salon. Elle se lève du canapé et me tends une paire de clé.

-N'oublie pas, leur voiture est une vieille BM gris.

-Okay, j'y vais.

-Courage, n'oublie pas de pleurer sa donne plus de crédibilité !

-T'inquiète pas.

Trente minutes plus tard je me gare sur un parking suivie par une BM gris. Normani ne c'est pas trompé, je suis bien suivie. Je descend de la voiture, et claque ma portière.
D'un pas mal assurer, plutôt réussi je l'avoue, j'arrive à l'accueil.
Un officiers maigrichon me fixe de ses yeux d'un marrons banale.

-C'est pourquoi ? Me demande il.

-Heu... bonjour, je viens rendre visite à ma copine.

L'officier baisse ses yeux sur un registre, avant de me demander.

-Nom et prénom.

-Camila... Camila Cabello.

L'officier relève la tête brusquement et me fixe.

-Il y a un problème ? Je demande.

-Non, aucun. Nous allons procéder à votre fouille, entré.

Je m'execute et entre dans le bâtiment. L'officier s'approche de moi, je l'arrêt d'un geste net.

-C'est vous qui faites la fouille ?

-Oui.

-Non, vous n'avez pas le droit. La loi dit que toutes les femmes doivent être fouillé par une personne féminine. C'est pas ma faute c'est la loi.

-Mais...

-Hien hien hien.

-Allez y.

C'est un autre officier qui m'a conduit à la salle où se trouve Lauren.
Je la vois enfin, mon cœur fait un bon.
Ses cheveux on poussé, et ses magnifique yeux verts pétille, je remarque néanmoins une griffure sur sa joue. Je fronce les sourcils et m'assois sur une chaise face à elle.

-Je suis juste devant la porte si vous avez besoin.

L'officier sort, nous laissant seules. Enfin pas si seule, j'ai repéré plusieurs micro dans la salle. Mais je fais comme si de rien était.

-Tu m'as manqué, me dit Lauren.

Quand je vois la tristesse qui émane de sa voix j'ai envie de lui dire, de lui dire qu'on va venir la chercher ! Que bientôt nous serons ensemble.
Mais je peux pas, je ne dois pas.

-Toi aussi, une larme coule le long de ma joue.

Ses doigts la suive.

-Ne pleure pas mon ange, je t'aime c'est tout ce qui compte.

J'avale avec difficulté ma salive, se n'est plus de la comédie c'est vraiment sincère.

-Quand est le jugement ? Je demande.

-Dans deux semaines...

Lauren tourne la tête.
Elle est si triste ! Je leur en veux à tous !

-Et le bébé ? Me demande Lauren, son visage s'illumine. Il est beau ? Quel nom lui a tu donné ?

Sans est trop, j'eclate sanglots.

-Que se passe t-il ? Il est arrivé quelques chose ? Ils.. ils m'ont dit qu'il allait bien !

Je me reprend, et sèche quelques larmes.

-Il va bien Lauren, je... je ne sais pas à quoi il ressemble.

Des nouveaux sanglots me nouent la gorge.

-Comment ça ? Je vois de l'inquiétude passer sur le visage de Lauren.

Je la regarde droit dans les yeux.

-Ils me l'ont enlever! c'est une famille d'accueil qui la.

Je vois le visage de Lauren se décomposer, puis la colère prend place dans ces yeux qui s'assombrissent.

-Oh ma chérie, elle se lève et me sert dans ses bras. On ira le chercher, me glisse t-elle au creux de l'oreille.

-Pas de contact physique ! Abois l'officier derrière la porte.

Lauren ne me lâche pas, elle se tourne vers la porte.

-Je fais que je veux avec ma copine !

J'ouvre de grand yeux quand l'officier entre dans la salle, il attrape Lauren, qui pert  l'équilibre et tombe au sol. Il lui met deux grande baffes, Lauren éclate de rire, du sang dégouline de la lèvre inférieure.
Je me jette sur l'officier, mais il me pousse d'un geste brusque et deux de ses collègues débarque dans la salle.
L'un d'eux m'attrape le bras.

-Je t'aime Camila ! Me cris Lauren.

Je suis jeté sur le parking de la prison comme une mal propre.
C'est décidé, je mettrai toute mon âme, Lauren sortira de cette endroit.

Fin du chapitre 36.
Merci à vous de suivre autant ma fiction j'en reviens pas d'être 56 ème dans la catégorie merci merci merci :)

jeux malsains.(camren)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant