Je me réveil en sursaut, je suis en panique, je suis en sueur, ce n'était qu'un rêve.
Je regarde l'heure 18:45.
Je prend mon téléphone j'ai 6 appelles manquer d'Eliotte.
J'ai tout gâcher entre lui et moi, j'ai réagis un peu trop vite et je le regrette déjà.
Je lui envoie un message.
"Pourquoi tu m'a appeler ?"
Aussitôt il me repond:
"Je m'inquiéter tu vas bien?"
"Je pense pas que je vais bien..et toi?"
"Je ne pense pas non plus que je vais bien, il faut qu'on parle."
Je ne sais pas quoi répondre. Je regarde sont message sans avoir répondu encore.
Trois minutes après il m'appelle. J'hésite à décrocher mais je finis quand même par prendre l'appelle.
-Oui?
-Tu ne me répondais pas..
-Tu ne m'a pas laisser le temps.
-Il faut qu'on parle, que je te vois, j'ai pas envie que sa se finis comme sa, j'ai pas envie que sa se finis tout simplement."
Je réfléchie.
-Je suis chez toi dans 10 minutes, il faut qu'on parle. Dit il en voyant que je ne répond pas.
Puis il raccroche.
Je me lève en vitesse et je vais dans la salle de bain.
J'ai les yeux tout noir de mascara à force de pleurer et ont dirais que mes cheveux ont passer dans un sèche cheveux.
J'attache mes cheveux en chignon décoiffer et je me démaquille complètement.
Au moment où je rentre dans ma chambre Eliotte est assis sur mon lit les yeux baisser vers le sol.
-Eliotte ?
Il lève ces yeux vers moi.
-Leilou..souffle t'il
Il s'approche de moi doucement, sans doute pour voir ma réaction.
-Stop, Eliotte qu'est-ce qu'il y'a ?
Il ce stop.
-Leilou j'ai pas envie que sa ce finisse, je t'aime d'accord ? Et je sais que tu m'aime et je sais aussi que toi tout comme moi ont sera malheureux séparément et je préfère qu'on soit heureux ensemble plutôt qu'être malheureux séparément.
Je rigole.
-Tu sors sa de quel film ?
-Une série je crois, mais elle est vrai cette phrase Leilou.
Je souris et je me précipite dans ces bras.
Il en tours mes épaules,
-Qu'es ce que je dois comprendre?
-Je suis désolée d'avoir réagis comme sa, et je sais que tu a raison, je t'aime Eliotte, tellement que sa me bouffe de l'intérieure.
Il prend mon visage entre ses mains.
-Je t'aime Leilou.
Je l'embrasse comme si c'était la dernière fois.
Je recule manquant de souffle et je le vois sourire.
-J'aime beaucoup. Dit il
Je lui sourit.
-Mes parents ne sont pas la, il sont en déplacement ma mère est partit avec mon père c'est sont employer qui gère le magasin, Tu veux dormir ici ce soir ?
Il sourit et m'embrasse.
-il fallait le dire plus tôt.
Il me pousse légèrement jusqu'à mon lit.
Il me force délicatement à m'assoir puis il viens s'allonger sur moi.
Il m'embrasse dans le coup puis sur ma clavicule et reviens sur mes lèvres.
-Eliotte, j'ai mes règles.
Il ce stop net et ce rassois
-Je suis désolé.
Je rigole et me jet sur lui, je me retrouve à califourchon sur lui. Je bouge doucement mon bassin contre sont érection déjà bien gonfler.
-Leilou...ne me chauffe pas..
Je m'approche de son oreille et je lui souffle doucement:
-C'était une boutade.
Il me regarde et me bascule en dessous de lui.
-C'est vraiment pas drôle comme blague tu sais ?
Il commence à passer sa main dans mon jeans et à me caresser doucement.
Je bascule la tête en arrière.
-Tu es déjà tout mouillée pour moi j'aime beaucoup.
-Hum..
Il insère un doigt dans mon intimité.
-Eliotte...
-Oui tu a raison tu es bien trop habillé. Tu sais que ce jeans te fait un cul d'enfer et j'aime pas du tout que les autres regarde ce qui est à moi. Dit il en enfonçant sont doigt d'un coup.
-Ha!
Il retire sa main, et déboutonne mon jeans avant de le faire passer sur mes jambes.
-hum j'aime beaucoup la culotte en dentelle rouge, sa me rend fous.
-Encore tu n'a pas vue le haut. Dis je pour le chauffer.
-Tu es diabolique. Dit il en ce mordant la lèvre
Il m'enlève doucement mon teeshirt et je me retrouve en sous vêtements assortit.
Il m'embrasse sur le haut de mes seins puis descend sur mon ventre. Il me fait frissonner, j'ai tellement envie de lui.
Il continue de descendre ces lèvres jusqu'à mon intimité, il écarte de ses doigts ma culotte, et il commence à me lécher. Je me cambre.
-Eliotte...dis je en appuyant doucement sur sa tête pour qu'il continue.
-J'aime beaucoup te goûter. Souffle t'il sur mon pubis.
-Continue s'il te plaît. Lui dis je en lui tirant les cheveux.
-Si gentiment demander.
Il accentue et insert deux doigt en moi.
-Putain.. Soufflais je.
Il continue mais je le stop et lui remonte la tête.
-À moi.
Il ce relève et ce met au dessus de moi.
Je le fait basculer en dessous et je lui déboutonne son jeans puis lui passe sur les jambes.
J'enlève sont teeshirt et je lui suce le coup puis les pectoraux.
Qu'est-ce que je l'aime ce garçons!
J'enlève sont caleçons et je le prend dans ma bouche. Je fait dès mouvement avec ma main et je suce le haut de sa queue.
-Leilou...dit il en appuyant sur ma tête comme j'ai fait avant pour lui.
Je le suce et je vois qu'il commence à perdre pied. Je le regarde droit dans les yeux et je bats des cils.
S'en ai trop pour lui et je sent deux jets liquide dans ma bouche.
J'avale et je me relève je ne le laisse pas parler que je m'empale sur sont érection.
-Leilou tu vas m'achever la.
Je sourit et je continue de faire des vas et viens au dessus de lui.
Il me retourne sur le vente et il me claque les fesses.
-Leilou...
-Je veux essayer de nouvelle chose dis je.
-Pas aujourd'hui dit il en me soulevant les fesses, il écartes mes cuisses et rentre d'un coup en moi.
-Putain... criais je.
Je ne m'y attendais pas.
Il continue c'est vas et viens en moi de plus en plus rapide.
-Eliotte...
-Je sais..jouis pour bébé.
Il passe sa mains sur mon clitoris et commence à me le caresser.
S'en ai trop je jouis et il ce vide en moi.
-Putain...Eliotte je t'aime...
Il s'effondre sur moi.
Il bascule sur le côté et me prend dans ces bras.
-Moi aussi mon coeur je t'aime pour toujours et à jamais c'est promis. Dit il en m'embrassant sur le front...
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Sur plus d'amour (Tome 3)
RomanceLeilou Allen 18ans en dernière année de lycée et qui passe son bac à la fin de celle ci. Elle est drôle pétillante et proche de sa famille, mais elle est aussi réservée et complexée. Eliotte parks 19 ans redoublant ça dernière année de lycée, il dém...