22.

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Eléonore.





Un sourire mesquin se niche sur mes lèvres tandis que je suis assise sur un banc dans le parc.

Trois semaines que j'ai été chercher ces espions bidons et étrangement je me sentais mal, très mal.

Alessio souffle tandis qu'il s'allume une énième clope sous le regard envieux des garçons.




Ils vont arrivés un jour ou je dois me les gelés encore longtemps ?

Ma question est sèche et mes frères me sourient en me montrant un groupe qui arrive. C'est eux. Accompagnés de Sana et des filles suivit par une bande de musulmans que je ne connaît pas.

Lorsqu'enfin ils sont face à nous, Paolo me fait me levée et j'avance vers lui. Mon sourire méchant ne quittes mes lèvres et pourtant, j'aimerai dire que je souffre.



Ça te fais quoi, Schistad ?

— Ça devrais me faire quoi, Fernandez ?

Tu souffres hein ? Voir ton ex dans une tenue aussi sexy sans pouvoir la touchée.


Ça devient gênant, vous trouvez pas ?

Je m'en branle.

— Mais Oui, on y crois tous.

Mes frères rigolent tandis que Chris les fixes méchamment. Diego se lève et s'approche, je le sent. C'est ce qui me vaux d'ailleurs un regard noir de leur part à tous.

Dommage pour toi, elle est fiancée à présent.


Joachim rit en prenant ma main et montrant la bague que je porte à mon annulaire droit.

Si ils savaient que c'était une bague en toc, uniquement posé pour les forcés à se battre.


Elle n'as pas perdue de temps, alors.

— Un Fernandez ne perds jamais son temps, rit Alessio.




Décidant que ce n'était pas assez gênant, Diego en rajouta une couche.



Mais alors dans le lit, Oooh. Dit-il en imitant son état d'extase lorsqu'il fumaitUne tigresse.



Les poings de Chris se contractèrent et avant même que Diego puisse rajouter un mot, Chris fonça dedans. J'eu le droit d'être expulsé du chemin, en me retrouvant quelques secondes parterre, aux pieds de Leah qui me souriait gentiment. Je me releva et souffla en voyant l'ampleur que la bagarre prenait.


Je soupira en voyant Vilde s'approcher de Moi et Leah la stopper.

Tout ça, c'est de ta faute !

— Ah Ouais ?

— Ouais. T'es une pute, Eléonore.

— Pourtant ce n'est pas elle qui as offert sa virginité à William, juste pour avoir une cote de popularité élevée !

— Toi je t'ai pas parler !


Leah rit amèrement avant de frapper Vilde et de me tirer vers la voiture.


Ce n'est que lorsque les flics débarquèrent que la guerre s'arrêta.



04:30.



Alors que je lisais calmement un livre sur mon lit, la porte s'ouvrit sur Carl, le meilleur ami de mon frère. Un petit sourire sur son visage et sa posture m'informe qu'il est bourré.

C'est pas Chris qui t'a largué.

— Bah Si..

— C'est Parce que je lui ai demander de le faire qu'il l'a fait.

— D'accord.

— Soit pas bornée Elly.

— Eléonore.

— Ouais je sais, Mais je t'ai toujours appelé Elly.

— D'accord.

Il souffle et me tends un bloc de feuille tandis que je referme mon lit.


C'était une dette envers ton frere que Chris a résous à ma place. Il t'aime.

— Oui pour me larguer un jour de festivité c'est sur !

— Ouais j'avoue, ce coup là il a pas géré mais il t'aime.

— C'est bon Carl, arrête toi là.

— Nan, je m'arrêterai quand tu auras repris mon frère.

— Décidément !

— Tu vas le reprendre hein ?

— Non.

— Mais siiiiiiiiiii, dit-il en pleurnichant.

Seigneur sauvez Moi.



[ Nda]

HEYYYYYYYY!

Déjà je tenais à vous remercier pour les 2K, j'imaginais pas qu'en écrivant cette histoire j'aurais autant de vues, c'est incroyable et grâce à vous.

Je tenais aussi à vous dire qu'au vu de la fin d'année scolaire qui se rapproche à grands pas, je n'aurais pas la possibilité d'être sur mon téléphone tout le temps et donc, de vous postez des chapitres longs et réguliers.

Bisouuuuuuuuuuus 😘

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