Chapitre 9 : Une rencontre givrée

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Sept ans et demi auparavant

Depuis hier, j'étais partie sur la Terre. Timoté n'avait emmené que moi pour la simple raison que j'étais une des seule à connaître l'existence de sa famille et que je connaissais un peu ce monde. Avec nous était venus la famille d'Isobella et Leslie. Klaus était resté là-bas car il avait un travail et il ne faisait pas partie de ce monde. Lina et ses enfants aller rester dans leur maison quant à nous, nous allions chercher les gardiens. Il y a une semaine, notre professeur avait ramené trois autres gardiens d'un autre monde. Ils étaient étranges mais j'étais contente d'enrichir mes connaissances. Il n'y avait pas le quatrième car pendant le trajet il avait décidé de se tuer car il ne voulait pas suivre sa destinée.

Timoté avait localisé un gardiens au Groenland et en Amazonie. Nous avions décidé pour être discret de se transformer en oiseau pour passer inaperçue et ce n'était pas très difficile pour nous qui étions les rois du camouflage. Nous sommes allés d'abord dans le pays des glaçons car déjà il y avait moins de population et en plus le signale était plus fort. Pendant notre vol nous avions dut changer plusieurs fois d'espèce pour être plus adapté. Parfois nous nous incrustions dans une formation d'oiseaux migrateurs. Vers la fin nous allions dans l'eau en pingouin. Cette expérience était très enrichissante, c'était ma transformation préférée de tout le trajet. Nous avions mis cinq jours pour traverser l'océan Atlantique sans pause. Imaginez vous sous l'eau, dans une eau très froide, en pingouin, avec un corps allongé presque sans articulation, j'adorais aller à une vitesse fulgurante, peut-être que sur terre cette espèce était très pataude mais dans l'eau c'étaient les rois de la vitesse. Ils étaient des fusée sous-marine et ils avaient la chance d'avoir presque l'eau que pour eux. Nous arrivions pile à la bonne saison celle où les femelles sortaient de l'eau après plusieurs mois dans l'Atlantique pour se nourrir, pour rejoindre leur mâles qui couvaient leur petits. Et oui ces animaux étaient étranges quand même, pendant l'hiver tous les mâles se regroupaient pour couver leur petits et les femelles partaient sous la banquise pour se nourrirent et après elles revenaient avec le ventre bien remplit pour nourrirent leur petit et ainsi les mâles partaient à leur tour pour se nourrir. Nous dévions vers un village et nous nous transformons en eskimo pour rentrer dans le village. Le froid était saisissant, dans mon monde, je ne connaissait aucun endroit où il faisait aussi froid. Il s'était mis ensuite à neiger ce qui était horrible pour marcher. Au bout d'une demi-heure de torture nous arrivions à un village. Évidement personne était dehors sauf deux ou trois passant qui ne s'attardaient pas. Nous allions nous dirigé vers un igloo lorsque quelqu'un nous interpella. Au début je ne compris rien mais ensuite je comprenais la plupart des mots. Heureusement Timoté avait compris dés le départ.

«Excusez nous mais nous ne sommes pas d'ici et on cherchait un village car nous nous sommes perdus.

-Vous venez d'où?

-De l'Alaska.

-Très bien, venez. Comment vous appelez-vous?

-Merci. Timoté et voici Amalia.

-Enchanté. Moi je suis Tristan.»

Nous traversâmes plusieurs allées et nous arrêtâmes devant un igloo qui était assez imposant. Pour rentrer nous descendions pour remonter, d'après Tristan c'était pour que l'aire froid ne rentre pas. Il nous expliqua comment construire un igloo et je trouvais ça très intelligent. Ils coupaient les morceaux de glaces en rectangle, les polissait et les faisait tenir grâce à de la neige fraîche. Ils devaient faire des trous pour aérer. Et effectivement il faisait bon dans l'habitacle. Ils y avait six personnes. Nous nous asseyons avec eux par terre pour prendre un dîner. Le plitsik était du poisson, de l'omble chevalier qui se trouvait facilement là bas. C'était bon, j'aimais bien surtout que ça changeait du poissons crus juste pêché avec les écailles. Pour la nuit, tout le monde s'enroula dans des peaux de bêtes, et nous nous rassemblons tous pour nous tenir chaud. La nuit la température devait chutait d'une dizaine de degrés.

Le Secret des Mondes 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant