Poème n°21 de Nilknarf99

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Le périple des dunes

Ce matin, pour s'évader du monde urbain

Mes deux poumons partent respirer un air pur.

Remplis d'une bonne humeur je prend la voiture

Pour dormir dans l'océan, pouvoir prendre un bain.

Voyant la forêt sur le côté de la route,

Mes nerfs fragiles n'ont pas envie de lâcher.

Malgrés les voitures vers le chemin, entassés

Je me gare sur le coté, coute que coute.

Les cheveux au vent, je rentre dans la forêt.

Afin de ne pas devenir rouge écrevisse

Un sac pesant sur ma main droite à été fait :

Serviette, lunettes et crème solaire jadis

Oubliés, sont confinés sans aucun travail.

Le soleil chaud commencant à bruler ma peau

Je mets ma casquette sur mes cheveux de paille

Ainsi que ma serviette au cou tel un drapeau.

Depuis que le sable a dominé le jour,

Les moustiques mise à part me sucer le sang

Me chuchotent en bourdonnant ce discours : << Et toi l'humain, fin le gros gamin ignorant.

Tu ne verras rien. Pourquoi pars-tu dans ce lieu ?

A part pour pouvoir récolter des coquillages

Eclatés sur le sable marron, très boueux. >>

J'avance tout de même, je crois aux mirages.

Dans l'eau j'approche la créature, la sirène;

Aux yeux noisettes qui brillent tel des étincelles

Et à la chevelure claire due au sel.

Elle me gicle de l'eau sans aucune gène.

Je réplique, en étant désolé sans raison.

Il est temps de partir, revenir à la maison.

J'enfile mes chaussures de sécurité

Maintenant dans mon coeur, c'est toute l'année l'été

Concours de Poésie [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant