Le rêve

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Cette sensation.....
La sensation du rêve réel alors qu'on sais très bien que nous sommes dans notre lits dans nos couvertures, entrain de dormir.... Mais que justement, le rêve semble juste plus effrayant, tu veux te réveiller mais t'en es incapable......... cette sensation, je l'a déteste et j'ai fait un rêve comme celui-ci.....

*flash black*
J'étais dans une forêt, sombre, lugubre et pas accueillante, mais pas du tout. Je marchais à pas lents, pour ne pas déchirer mon pyjama, dans les branches épineuses sur le sol. Mes pantoufles rilakkuma étaient trempés, ce qui fesait que j'avais très froid aux pieds. Mes épaules n'étaient pas couvertes, mais au moins j'avais des pantalons longs et chauds. Mais le froid m'attaquait tout de même. Je marchais sans raison ,mais avec une peur ancrée dans mon être, avec la firme impression que quelqu'un me suivait sans arrêt. Les branches épineuses disparurent et prît place un interminable sentier avec des racines d'arbres, encombrantes, sortant du sol.

Soudain, j'entendis un bruit de craquement sourd. Puis un autre, deux autres, trois autres. Ma peur grandissait à mesure que j'entendais les ces bruits de pas. Mon instinct de survie me donna une poussée d'adrénaline et je décida de courir le plus vite que je pouvais. Mes jambes et mes poumons n'avaient pas du tout la même idée pendant cette course pour ma survie. Mes jambes me disaient de courir le plus loins possible, alors que mes poumons me disaient d'arrêter un peu pour respirer. J'écouta mes jambes de peur que mon poursuivant me rattrape.

Malheureusement pour moi, mon poursuivant me sauta dessus, m'attrapant par les côtes du côté gauche. Je criât de peurs et de mal. Mes côtes étaient soit brisées, soit foulées, mais c'était terriblement douloureux. Ma respiration haletante me semblait comme des millions des petits couteaux mis dans ma chair et enlevés le plus doucement possible. Ma vue se fesait de plus en plus trouble, puis trou noir...
*fin du flashback*

Je me réveilla en sursaut, en m'assurant d'être dans ma chambre. J'étais bel et bien chez moi, dans mon lit, blottie contre mon ours en peluche géant, que m'avait offert Adriana à mon treizième anniversaire. J'étais en sueur, la respiration haletante, mais sans douleurs au côtes. Je regarda l'heure. 12:37, Lyra fait sûrement ses promenades nocturnes, je ne peut donc pas l'appeler. Dès que je fais ce genre de rêves, je l'appelle toujours mais là, je peut pas. C'est pas le genre de fille à apporter son cellulaire partout avec elle. Je décide donc d'aller en bas, si Lyra a ses promenades nocturnes, et bien moi, j'ai des fringales nocturnes.

Je descends sans faire de bruits. Vas dans la cuisine et me fait un des seuls met non asiatique que j'adore manger. Des reste de pizzas d'avant hier, mon père avait décidé de faire différent en achetant de la pizza, ce qui avait plue à toute la famille. Je me mis deux pointes dans une assiette, que je mets au micro ondes. Une minute plus tard, je remonte avec mon assiette en mains. Je mis mon film (japonais) préféré, Ponyo, dans mon lecteur DVD et m'installa confortablement dans mon lit. Je mangea mes pointes tout au long du film. Je n'avais aucune envie d'aller me coucher avec l'épisode qui venais de se passer. À la fin de Ponyo je me convaincue d'aller dormir, demain j'avais de l'école et il était quand même 1:13... Je me rendormis 15 secondes après avoir posé la tête sur mon oreiller. Je vécue le même rêve mais cette fois au lieux d'un trou noir, il y avait une "suite".

*2ième flashback*
[...], puis ma vue repris son contrôle. Je pue voir mon asseyant; grand, baraquer, cheveux brun-noir. Il avait un manteau de cuire jaune tirant sur le beige. Un masque cachais son visage en entier. Je ne vit même pas ses yeux. À cheval sur moi, me tenant les poignets, il était donc impossible pour moi de me libérer. Mon attaquant eu un rire démoniaque et pris la parole.
-T'a mal? Où? Là? Il frappa son genoux sur mes côtes gauches, me fesant crier de souffrance. Je pleurais, le suppliant d'arrêter cette torture mais il continua encore et encore. Jusqu'à ce que son genoux soit couvert de sang. Je criât de plus en plus fort.
-Un conseil ma beauté. Ne pense plus à moi en dormant~! Il se leva, se dirigea vers ma gauche et s'élança et donna des coups de pieds à répétition sur mes blessures. Je me tordis de douleurs, criant suppliant d'arrêter. Jusqu'à ce qu'un autre individu arriva.
-Masky, jte l'ai déjà dis, arrête de jouer comme ça avec tes victimes. Même le maître te l'as déjà dit! L'individu portait un cotton ouaté orange avec un masque noir. Il avait la même musculature que mon bourreaux, je ne pue voir ses cheveux, ils étaient cachés par son capuchon rabattit sur sa tête.
-Hey! Laisse moi m'amuser! Il riait nerveusement mais de façon folle. Moi, j'viens pas te déranger avec tes "proies", Hoody!
-D'accord.....*soupir* au moins fait la t-
*fin du 2ieme flashback*

C'est okaasan qui me réveilla en pleure et paniquée. Elle me secouait dans tout les sens pour me réveiller ce qui fonctionna amplement.
-MIKUUUUU!!!! J'ÉTAIS SÛRE QUE T'ALLAIS Y PASSER!!!! Maman pleurait en me serrant dans ses bras.
-Okaas-... je n'ue pas finir de parler que je compris immédiatement, je criais dans mon sommeil. La dernière fois que ça c'était passé, j'avais été transporté à l'hôpital, c'était au Japon. Depuis, mes sommeils sont surveillés et c'est pour cette raison qu'Okaasan avait eu peur. Je lui expliqua que tout allait bien.

Bizarrement, j'avais super mal aux côtes..........

Double VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant