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𝐒𝐈𝐌𝐏𝐋𝐄 𝐏𝐀𝐑𝐈
𝐄𝐫𝐢𝐧 𝐌𝐮𝐫𝐩𝐡𝐲

Le sourire aux lèvres, je repensais aux chants des garçons pour célébrer leur qualifications pour les huitièmes de finales

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Le sourire aux lèvres, je repensais aux chants des garçons pour célébrer leur qualifications pour les huitièmes de finales. On ne savait pas encore contre qui ils allaient tomber mais peu importait, ils étaient vraiment euphoriques à l'idée de continuer la compétition. Et moi même, j'étais contente de bosser encore un peu.

Les clichés que j'avais pris lors des trois matchs de poule avaient plu à Didier et à Guillaume, je faisais bien mon taff quoi.

- Salut Cendrillon.

La porte de la buanderie se refermait derrière moi et je détournais le regard de ma machine pour me tourner, tombant alors sur Kylian qui venait de se faufiler. Sans m'en rendre compte, mon sourire devenait un peu plus grand et je finissais par rouler mes bras autour de son cou. Pratiquement dix jours que l'on se côtoyait sans mettre de nom sur le relation et ça me faisait bizarre de l'embrasser comme ça, à l'abri des regards.

- J'ai toqué à ta porte, t'étais pas dans ta chambre. me glissait-il à l'oreille tandis que ses mains se glissaient sur mon ventre, vu qu'il était dans mon dos.

- Normal, nous on fait nos machines comme des grandes personnes. me moquais-je en posant mon bac vide au-dessus du lave-linge, prête à retirer tous mes vêtements propres du tambour.

- Je pourrais le faire mais des gens sont payés pour le faire et ça a pas l'air de les déranger, pourquoi ne pas profiter ?

- C'est pas faux. Allez maintenant bouge, faut que je range. riais-je en sentant ses bisous me parsemer le cou alors que j'essayais de le bouger. Kylian... Imagine que quelqu'un rentre.

- Y a jamais personne dans la buanderie, détends-toi Erin.

Sa voix suave dans mon oreille compliquait mes mouvements et je me retenais de ne pas tout envoyer balader pour me pendre à nouveau à ses lèvres. Ses doigts caressaient mon tee-shirt et je retenais carrément ma respiration quand la sensation de ses pulpes atteignait ma peau nue, après qu'il ait légèrement relevé mon haut.

Sous mes plaintes mélangées à mon envie qu'il continue, j'essayais de me concentrer mais c'était largement peine perdue.

- C'est pas une bonne idée. déclarais-je finalement en me décalant totalement de son toucher.

Ma peau me brûlait aux endroits où les souvenirs de ses doigts étaient présents mais je me devais de stopper court à ses initiatives avant que ça ne parte trop loin.

- Je comprends que tu sois possiblement en manque mais, pas ici. plaisantais-je en réussissant à me tourner pour être face à lui, nos bassins étant donc collés. Déjà qu'on joue avec le feu en se faisant des bisous tous les jours mais si... On franchit la ligne et qu'on se fait griller, je vais me faire incendier sur la place publique.

𝘴𝘪𝘮𝘱𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘪Où les histoires vivent. Découvrez maintenant