Les Gargouilles

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France, Bordeaux, cirque Rubis
Le lendemain matin
Point de vue de Jocelin Rubis

- Jocelin, tu veux bien installé le matériel de ta tante près du chapiteau s'il te plait ?
- Bien sûr m'man !

J'en ai marre, plus que marre, archi marre !!! Je veux pouvoir montrer mon numéro, mais non comme d'habitude, le petit Jocelin n'a pas le droit de monté en haut du chapiteau ! Pourquoi est-ce que je n'aurai pas le droit de faire des enchaînements au trapèze, mon père le fait....

Ma mère ne veut pas que je monte parce que la première fois que je suis monté, j'ai commencer mes figures sans difficulté, jusqu'au moment où mes doigts on légèrement glissé, je n'ai pas rattraper la barre d'en face et j'ai atterrit dans le filet... malgré cela, les spectateurs avait applaudi de voir un enfant de huit ans trapéziste, et maintenant que j'ai vingt ans, je m'entraîne tout les jours, je pourrais faire cette enchaînements les yeux fermés, mais je ne me suis toujours pas reproduis devant les spectateurs...

Je sais parfaitement que ma mère ne veut pas que je meurs à cause de ça, elle redoute sûrement une nouvelle chute. Qu'est ce que ce serai si elle savait pour mon dos... Depuis un ans maintenant, la peau de mon dos est recouverte d'un genre de minerai noir, genre caillou. Je ne sais pas ce que c'est, mais ce n'ai pas naturel, et je sais que ma mère se ferait un sang d'encre pour ma santé si elle savait.

J'ai l'intention de monté et de faire se que je préfère, du trapèze ! Peut importe ce que ma mère dira !!!

- Jocelin ! Le matériel de ta tante ! Hurle ma mère.

Je récupère les cerceaux de "oulahop" de ma tante, il y en a vingt-cinq exactement, tous colorés et paillettés. C'est déprimant de voir un t'elle numéro et ne pas pouvoir faire le sien... Je dépose les cerceaux au pied de la table, où ma tante attend patiemment son tour.

- Mon petit Jocelin, il n'y a plus d'eau dans le stand, tu veux bien en remettre, et aussi rapporte moi une bouteille... me demande t'elle en faisant trop pour avoir l'aire gentille, ce qu'elle n'est pas du tout.

Je me dirige vers le stand à l'entrée du chapiteau, un énorme paque de bouteille dans les bras. Je le dépose à ma cousine, qui révise pour son bac tout en vendant des pop corn et des bouteille d'eau... Je ressort du stand et j'aperçois des spectateurs tout juste arrivé alors que le spectacle à commencer...

- Bonjour, vous savez que le spectacle à commencer ? Vous ne pouvez plus rentrée ! je dis le plus gentiment possible.
- Oui, nous le savons, mais nous ne sommes pas ici pour le spectacle... répond l'homme (sûrement le père des deux autres).
- Dommage, murmure la fille à côté.
- On a pas le temps Lee, lui chuchote son frère.
- Qui êtes vous alors, pas des jongleur déjà... Je demande un peu agacé.
- Si moi je le suis, répond "Lee". J'était jongleuse de feu dans le parc d'attraction familial...
- À bon ? demande surpris le garçon.
- Et oui Pierre, je ne me tournait pas les pousses moi, lui répond t'elle pour le provoquer.
- Donc vous êtes ? je redemande.
- Je m'appel Esteban Saphir, voici mon fils, Pierre, et son amie, Lee.
- Et bien M.Saphir, vous devait bien avoir un motif de présence, je demande calmement.
- Oui, nous aimerions rencontrer la famille Rubis qui a fondé se cirque... me répond t'il.
- Euh, et bien, c'est ma famille mais je ne pense pas que vous puissiez les voir maintenant puisque le spectacle à commencer, vous pouvez toujours rentré regarder le spectacle en attendant , je propose en regardant la fille qui me souris derrière ses lunette de soleil.
- Génial ! S'écrit t'elle. Ça fait super longtemps que je n'avais pas vu le cirque Rubis !
- Lee, on t'a déjà dit que tu ressemblait à une gamine quand tu fais ça ?  lui demande Pierre.
- Je suis une gamine de 19 ans dans ce cas, répond t'elle.
- Et moi je suis Dark Vador.... lui lance Pierre.
- Si tu veux, mais t'es pas mon père... et elle éclate de rire toute seule, mais elle rit noire et s'arrête très vite...
- Rentrons attendre les parents de... leur dis M.Saphir attendant la suite.
- Jocelin... Je répond avant de repartir vers les loges.