[...] = Début ou fin d'un flashback. N'oubliez pas ça vous servira sûrement pour les autres parties
Je vais voir Ismaïl, mon grand garçon !
Il était de dos à moi, je tapote son épaule pour qu'il se retourne. Mais il sursaute et se met à courir.
Moi : Nan ! Ismaïl, reviens..
Il s'arrête.
Ismaïl : Je t'ai vu parlé avec Ilyes tout à l'heure, tu penses que je suis assez débile pour tomber dans ton piège ! Et comment connais-tu mon prénom d'abord ? Et qui es tu ?
J'avance vers lui et lui pince la joue.
Moi : Je trouve que ce n'est pas une manière d'accueillir sa mère !
Ismaïl : Aïe ! Aïe désolé maman ! ATTENDS ?! QUOI ?!
Je me met à rire, leur réaction sont tellement drôle.
Ismaïl : T'as dis d'accueillir sa mère ?
Moi : *En riant* Oui !
Ismaïl : Maman, c'est toi ?
Moi : Oui ma vie, je suis de retour !
Il me sert fort contre lui.
Ismaïl : Maman pardonne moi, je n'ai jamais voulu tué papa, c'est un malentendu, je ne sais pas ce que Ilyes t'as raconté mais je suis pas mauvais, promis !
Je le serre à mon tour dans mes bras.
Moi : Je n'ai jamais douté une seul seconde de toi mon fils, je sais à quel point t'as souffert ces deux dernières années. T'es courageux ma vie, je suis très très fière de toi, je t'en voudrais jamais, au contraire je suis fière de toi t'as sû protéger ton frère et ta soeur comme tu l'as promis à ton père.
Ismaïl : J'aurais jamais dû écouter papa ! Toute la France me recherche maintenant !
Moi : Je sais, je sais. Je suis là maintenant et rien ne peut t'arriver. C'est promis, maman est là. J'ai tout expliquer à Ilyes la situation, vous devirez faire la paix. Et Loubna n'a jamais douté de toi.
Ismaïl : Loubna a toujours cru en moi..?
Moi : Toujours !
Ismaïl : Et toi aussi ?
Moi : Je n'ai jamais douté une seule seconde de toi Ismaïl. Jamais.
Ismaïl : Merci beaucoup Maman.. Je suis content de te revoir.
?? : On a des traces de lui !! Il n'est pas loin !
On entend des chiens aboyaient.
Ismaïl : Je t'aime maman, je dois partir.
Il s'en va en courant. Ma pauvre petite vie, il ne mérite pas tout ça.
Un policier : Bonsoir ma petite dame, vous n'auriez pas vu un homme assez grand environ 1m87, des cheveux châtain ? Il vous ressemble comme deux gouttes d'eau ! Il se promenait ici y a environ 5 minutes.
Je monte mes manches.
Moi : Il est innocent, laissez le tranquille.
Un autre policier : Regardez ces bras !!
Mes bras étaient rempli de brûlure, de bleu et de coup de couteau, c'était ce que Adam m'infligeait pendant tout ce temps
Je baisse le regard. Je baisse mes manches, ils se sont mis à se moquer de moi à cause de mes blessures. Je me laisserais plus faire.
Je prends le policier face à moi et je le gifle de toute mes forces.
Y a eu un long silence.
Moi : Malheur à celui qui se moque de la souffrance des autres, malheur à lui, malheur à lui. Y'en a pas un pour rattraper l'autre ! Et vous vous faites parti de la police ? Laissez moi rire. Osez seulement toucher un seul cheveu de mon fils, osez seulement..
Je vous avoue que je me suis senti mal après ça, mais je l'ai fais pour Ismaïl. Ils repartent en fermant leur bouche. C'est mâlin ils ont fais fuir Ismaïl. Je retourne voir Imran.
Imran : Qu'est ce qui y a ? T'as l'air déprimé.
Moi : *En lui souriant* Rien t'inquiète
Imran : Loubna sait que t'es là, elle t'attend.
Je refais un câlin à Imran avant d'aller voir Loubna. Même si on se reverra après avec ce qui s'est passé j'ai peur de quitter la personne en face de moi et peut-être ne jamais plus jamais la revoir, comme avec Lyes.
Imran : Je vais rester un peu dehors je te rejoins après.
Je rentre à l'intérieur, je vais voir Loubna.
Dans La Peau D'Imran :
Je me rappellerai toujours d'elle, je l'oublierais jamais, c'est mon petit moi quoi ! C'était ma raison de vivre, sans elle j'étais perdu. Je n'ai pas dormi une nuit entière sans rêver d'elle, je ne voulais pas rendre visite à Lyes et à mes propres neveux et nièces parce que ça me rappelait des mauvais souvenirs, elle hantait mes nuits et mes journées.
Je baisse mon regard.
Je n'ai pas été un bon grand frère, les autres et moi nous avons fais une promesse à maman, prendre soin d'elle. Depuis la mort de maman nous avons pas tenu cette promesse. Je m'en veux énormément. Dans mes rêves elle criait à l'aide, elle répétait sans cesse "Imran me laisse pas mourir, sauve moi je t'en prie" en hurlant et en pleurant. Même si elle est revenu, je l'entends crier à l'aide je comprends pas pourtant elle est là et elle a l'air heureuse.
?? : T'es un mauvais frère Imran ! T'as pas honte de laisser ta soeur enfermer pendant 18 ans ?! La seule chose que tu penses à faire c'est de te marier et faire des enfants. T'as tout fais pour essayer de la remplacer mais je serais toujours là pour te faire rappeler à quel point elle est mal, elle crie au secours depuis une vingtaine d'années et tu ne l'entends même pas. Haha Imran t'es vraiment un incapable.
Depuis la mort de maman, cette voix me hante, je ne sais pas si je suis devenu fou mais cette voix je suis le seul à l'entendre pourtant j'en suis sûr qu'elle vient pas de ma tête, c'était comme si une personne face à moi me parler.
Moi : Ferme là, tu n'as rien à me dire.
?? : Ne prends pas tout pour acquis, dans quelque mois une chose horrible va se passer, profitez tant qu'il en ait encore temps.
Moi : Dans quelque mois ? Que va-t-il se passait ?
?? : Tu m'as dis de la fermer !
Moi : Si tu serais sous mes yeux je t'aurais déjà tuer depuis un bon moment, tu me casses les couilles !
Je baisse les yeux.
Moi : Ines..
𝐅𝐢𝐧 𝐃𝐞 𝐋𝐚 𝐏𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞 𝟐𝟐.
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[2] Ilyes- « À Bout De Souffle » [TERMINÉE]
Tiểu Thuyết ChungC'est dur mais parfois faut accepter de laisser certaine chose devenir des souvenirs. Y a des paroles qu'on oubliera jamais, "𝐌𝐞𝐫𝐜𝐢 𝐈𝐥𝐲𝐞𝐬 𝐝'𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐥𝐚̀ 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐛𝐮𝐭 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐦'𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧...