Tata Maïssa est une femme pleine de vie, toujours joyeuse le fait de la voir entrain de pleurer ça m'avait étonner.
Tata Maïssa : J'aurais du écouter Lyes et Youssef quand il me disait de me méfier de lui.
Maman faisait les gros yeux.
Tata Maïssa : J'ai 4 gosses comment je vais faire maintenant seul !
Maman la consolait, moi je restais spectateur de la scène, je n'ai jamais su comment consoler quelqu'un.
Moi : Je vais le chercher.
Tata Maïssa : Nan je t'assure c'est pas la peine, laisse tomber.
Je met mes baskets et me dirige vers la porte.
Tata Maïssa : Ilyes ! Tu perds ton temps.
Maman me sourit, j'ai compris qu'elle était de mon côté et qu'elle m'encourageait à aller le chercher.
Moi : Désolé allez à toute à l'heure !
Je sors et je vais chercher Yasser, il va goûter à mon poing lui ! Il a fait pleurer tata Maïssa et si y a un truc que je déteste plus que tout c'est qu'on fasse pleurer une femme. Elle ne mérite pas de pleurer pour un homme, enfaite personne ne mérite de pleurer pour un homme.
J'avais chercher Yasser de partout mais je ne le trouvais pas, je suis reparti chez lui au cas où mais il n y avait personne. J'appel ma mère pour la prévenir que je ne l'ai pas trouvé.
En retournant chez moi, y avais un homme face à moi son visage était près du mien, il m'avait fait tellement peur, je recule. C'était l'homme qui était à l'enterrement de Loubna.
Moi : Encore toi !
Il me regardait de haute en bas.
Moi : Qu'est ce que t'as ?
On voyait que ses yeux, ça me perturber tellement.
Il s'en va. Je comptais bien le suivre, j'ai besoin de savoir qui c'est.
Je l'avais suivi sans même qui sans rend compte. Il était au cimetière. Qu'est ce qui fait là bas ? Je me cache vers le portail du cimetière.
Il était devant la tombe de papa, il prend les fleurs qu'on lui avait déposé et les jette. Puis il va devant la tombe de Loubna et fait de même. Mais qu'est ce qu'il fait ? Pourquoi il fait ça ?! J'avais la haine je voulais le défoncé mais je préfère rester cacher et continuer de savoir ce qui fait.
Il était resté plusieurs minutes devant leur tombe puis il sort du cimetière.
Lui : Dis moi, tu te sens discret ?
Mon coeur battait fort.
Lui : Tu devrais éviter de me suivre avant que je deviens mauvais envers toi. Les gamins de ton genre m'insupportent.
Je sors de ma cachette. Sa voix était grave mais elle était aussi douce, exactement comme celle de Yasser.
Moi : T'as fais pleurer tata Maïssa sale chien ! Tu devrais juste avoir honte de toi.
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[2] Ilyes- « À Bout De Souffle » [TERMINÉE]
General FictionC'est dur mais parfois faut accepter de laisser certaine chose devenir des souvenirs. Y a des paroles qu'on oubliera jamais, "𝐌𝐞𝐫𝐜𝐢 𝐈𝐥𝐲𝐞𝐬 𝐝'𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐥𝐚̀ 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐛𝐮𝐭 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐦'𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧...