Chapitre 31

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Lorsque nous passions les portes du laboratoire. Personne. Je dis bien personne. Ne s'attendait à ce qui nous faisait face actuellement.

Acacia et... Cette foutue sardine d'Ariel la petite sirène en train de s'embrasser timidement. Les deux coupables prit sur le fait, ne cacha pas leurs gêne.

Je croyais rêver. Oui. C'était ça. Un cauchemar. Mon père ne réagissait plus non plus. Se fût Stella et Ohara qui entrèrent simultanément dans la pièce qui mit un terme à ce silence, pour le moins gênant.

- Vous allez bien vous deux ? Demanda Ohara. On dirait que vous avez vus un fantôme.

Acacia et ARIEL étaient tous les deux rouges de honte et n'osait même pas ouvrir la bouche. Je serrais les poings et me promis de mettre les choses aux clairs avec cette foutue poisscaille plus tard. Pour le moment, le cas Laffy était la priorité.

- Oui, pardon, repris mon père. Cassandre peux peut-être venir en aide à Laffy, laissez la l'examiner.

Monnet approuva sans réfléchir et fis signe à dame Cassandre de la suivre. J'allais avançait quand Stella me bloqua le passage.

- Désolée, dit-elle, ma mère m'a dit de ne laisser personne entrer ici tant qu'on auras pas identifier avec exactitude le poison.

Je soupirais et rejoignis ma sœur, Ariel et mon père autour d'une table. Les enfants de mon frère étaient là également. Des petites merveilles.

- Où est maman ? Lançai-je de façon désinvolte.

- Dans une autre pièce à côté, répondit Acacia. Elle s'est endormie, elle avait besoin de se reposer. Je lui ai préparée le truc vert qu'on avait donner à Kyle une fois, tu te souviens ?...

Oh oui. Ce fameux soir. Le soir où je suis devenu accroc à son sang et indirectement à lui. La première fois que je l'avais goûté et accessoirement faillis le tuer. Quand je pense à tout le chemin que l'on avait fait depuis cette nuit, je ne pouvait qu'être fière de nous. De lui.

Mes pensées furent interrompues par l'arrivée de Sylas par la porte principale. Il s'approcha de moi silencieusement avant de craqué dans mes bras.

-Excuse-moi ! Pleurnicha-t-il. Je... Je ne voulais pas te frapper, mais j'étais tellement en colère contre toi... J'ai.. Je suis désolé.

Je me sentais tellement léger à présent. Une part de moi avait eu vraiment peur que pour une fois, que Sylas ne me pardonne pas. Mais... Nous étions jumeaux. Ce lien invisible entre nous allait nous souder l'un à l'autre pour toujours.

Je refermait mes bras autour de lui en lui tapotant le dos doucement.

- C'est rien Sylas, je comprends. Et tu a dûs accumuler une tension en plus avec toutes ces histoires de trahisons, de Laffy qui ne se réveille plus ect... Et entre nous... Je l'avais mériter ce coup de poing.

Il leva la tête vers moi l'air penaud avant d'éclater de rire en essuyant ses larmes.

- T'es vraiment con, putain, lâcha-t-il plus joyeusement.

- Attends, Sylas t'a frappé ? Fis Acacia en ouvrant grand la bouche d'un air outré.

Je fronçais les sourcils avant de lui répondre très sérieusement de la même façon.

- Tu vois le choc que tu ressens actuellement ? Et bien augmente le au centuple et tu sentiras exactement ce qu'ont à ressenti en arrivant ici en te voyant embrasser la petite sirène.

Elle prit un air encore plus choqué. Avant de commencer à bégayer des explications.

- Mais... Je... Non... Mais... Oh et puis mince ! J'ai 16 ans Lazarre ! Je fais ce que je veux quand même je ne suis plus une enfant !

Sol Lucet Omnibus : Part II - LazarreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant