Chapitre 26

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Ils discutèrent jusqu'à leur arrivée à Poudlard.

Tous le long du repas les Gryffondor les fusillaient du regard. Les Weasleys et Granger n'avaient toujours récupéré leur baguettes. Ils ne l'auraient que lors du premier cours avec Tom. Harry et Gabriel semblaient se moquer d'eux quand ils posaient leur regard sur les rouges et or.

Ronald devenait de plus en plus rouge, comme une bombe à retardement et les deux filles gardaient la tête basse, honteuses de s'être faites humilier devant les autres élèves à l'arrivée dans l'école par Mcgonagall à cause de leur comportements.

Après le repas les deux fiancés se rendirent dans leur salle commune avec leurs amis. Ils commencèrent à parler du plan d'attaque. Tous les Serpentard avaient hâte que le grand jour arrive. Évidemment ils étaient sous serment pour éviter la moindre fuite.

La première semaine de cours passa rapidement bien que certaines personnes leur cherchaient des ennuis. Ronald venait toujours insulter Gabriel qui répondait calmement même si ses propos étaient violents. Cela faisait beaucoup rire ses amis et rager les Gryffondor.

D'ailleurs à cause de cette rage ils avaient fait perdre tous les points de leur maison.

Flashback:

Gabriel marchait seul dans le couloir pour se rendre dans le bureau de son père avec qui il n'avait pas beaucoup parler depuis un moment. Malheureusement pour le groupe d'élèves qui le suivait depuis quelques minutes, il était très méfiant de la moindre attaques.

Évidemment les élèves étaient tellement sûr de ne pas s'être faits remarqué qu'ils ne virent pas leur cible sortir sa baguette et lancer un informulé pour alerter son père. Le jeune homme rangea discrètement sa baguette et continua sa marche. Il s'attendait à la moindre agression.

Ce qui arriva rapidement. Il se fit attraper par le bras et trainer dans une salle désaffectée après s'être prit un coup dans le ventre qui l'avait plié en deux.

-Alors elle traîne toute seule dans les couloirs, la petite pute ? ricana Ronald.

-Et toi toujours pas capable de te promener sans tes chiens ? En même temps je comprend ils sont perdu sans toi... Alala que c'est pitoyable.

-Ferme-la !! hurla le rouquin en lui donnant un coup au visage. Tu peux parler, toujours à écarter les cuisses pour Potter comme la petite pute que tu es. Remarque je me ferais bien ton petit cul, hein les mecs ? Vous en pensez quoi ?

-Ah pourquoi pas. Il a l'air d'avoir un cul étroit. Hey et si on se le faisait maintenant, dit l'un des Gryffondor en s'approchant dangereusement de Gabriel.

-Pourquoi tu retournerai pas sucer ton maître au lieu de venir me faire chier, dit le Serpentard en se relevant d'un coup. Franchement vous êtes d'une lâcheté sans pareille. Je comprend mieux pourquoi votre directrice de maison à honte de vous. Un contre 10, quel courage ! Bravo ! applaudit-il.

-Toi tu vas me le payer. Nous sommes les plus dignes de notre maison ! Nous ne sommes pas des tapettes comme toi !!

-Pourtant tu te laisse sucer par tes chiens et vous êtes à deux doigts de me violer. Je pense qu'il serait grand temps que vous revoyez la définition de ce que Gryffondor veut dire. 

Les Gryffondor sortirent leur baguette et la pointèrent sur Gabriel qui se tendit.

-On va t'apprendre ce que ça fait de se moquer des maîtres de Poudlard !!

-Ah vraiment ? Vous, les maîtres de Poudlard, il éclata de rire. C'est totalement ridicule. Seul les héritiers des fondateurs peuvent se permettre de dire ça. Hors aucune personne dans cette pièce ne descend des fondateurs.

Il s'était gardé de dire qu'il descendait de Salazar Serpentard. Il se doutait de ce qui allait se passer si il le disait.

-Et alors, on s'en moque des fondateurs ! Ils sont morts !

-Par Merlin, tu nous apprend quelque chose de nouveau, dit donc, se moqua le Serpentard.

-Tout le monde sait que les Gryffondor sont les meilleurs. C'est évident.

-Ce qui est évident est que vous allez avoir beaucoup de problèmes, jeunes gens, coupa une voix glaciale.

Ils se tournèrent pour tomber nez à nez avec le professeur Tardvil, qui leur souriait froidement, une aura noir qui l'entourait dangereusement.

-Pro-professeur, balbutia Ronald.

-Surprise, répondit le plus âgé. J'imagine que cela ne faisait pas partit de votre plan.

Aucun ne répondit, cherchant un moyen de s'enfuir.

-Ne pensez même pas à partir. J'ai verrouillé magiquement les issues de l'intérieur. Elles ne peuvent s'ouvrir de que l'extérieur. Évidemment d'autres professeurs ont été prévenus et arrivent.

-Vous n'avez pas le droit ! cria un Gryffondor. C'est de la séquestration.

-Cela ne me pose aucun problème. Mais à ce que je vois agresser un élève tout seul ne semble pas vous déranger. Vous n'avez donc encore moins le droit d'agresser un élève qui ne vous à rien fait.

Un autre Gryffondor allait répliquer quand la porte s'ouvrit d'un coup sur une Minerva extrêmement en colère.

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