chapitre 9

57 5 0
                                    

Trois heures qu'il était parti le duc ne semblait nullement fatigué continuant sa chevaucher sous le clair de lune désireux de parcourir le plus de km possible. Nessa n'était pas habitué à monter en amazone ces fesses était en compote elle n'arrêtait pas de se demander quand pourra s'achever la torture, pour faire abstraction de la douleur elle se mit a penser a sa vie dans la colonie. Son père était un pasteur Irlandais venu dans la colonie pour bâtir une communauté de croyant sa mère vendait des légumes quant elle entendit sa voie de baryton au marché elle tomba immédiatement amoureuse de lui. Elle se mit rapidement a fréquenter l'église elle du attendre deux ans avant que mon père la remarques et que son voeu sois exaucé, William est arrivé en premier cinq ans après je suis née puis il eu ma soeur Sarah deux ans après moi, père nous apprenait à lire et mère comment tenir une maison l'harmonie dans le couple n'as pas duré longtemps père est tombé amoureux à son tour mais pas de mère. Anéantie elle a commencé à nous délaissé à boire elle perdait rapidement patience et elle a commencé à nous frappé, Willy faisait tout pour nous protéger père fatigué des disputes aveuglé par son idylle tout neuf ne se rendait pas compte de la situation, il  a fini à rentrer que rarement à la maison surtout les dimanches pour sauver les apparences,  il ne voulait pas perdre ces privilèges au sein de la communauté chrétienne... Peux être c'est de la viens ma fascination pour les moeurs païenne... C'est un dimanche qu'on s'est fait attaqué Willy et moi on s'est caché Sarah dans son manteau bleu jouait dehors après la messe, on a pas eu le temps de la mettre en sécurité. Les indiens ont tué nos parents et emmené Sarah. William m'as caché et porter dans ces bras pour que je ne puisse pas voir leur corp sans vie. Aujourd'hui encore je me souviens de sa voix seul rempart dans un monde remplie de ténèbres ce jour là on à brusquement muri. Il devait retrouver Sarah âgé de sept ans elle avait peut de chance de survivre

- Princesse je dois partir a la recherche de Sarah il le faut je vais te laisser à l'orphelinat je promets de revenir te chercher

- Non ne me laisse pas je ne veux pas rester seule

- Princesse on a pas le choix tu dois être forte...

- Alors je viens avec toi

- Si tu viens avec moi t'auras faim, t'auras froid il faudra alors que je m'occupe de toi je pourrai pas secourir Sarah. Tu veux qu'elle revienne il faut me laisser partir

- Promets moi que tu vas revenir

- Je te promets! Jamais je te laisserai seule princesse je te le promets

Willy après m'avoir pris dans ces bras me déposa à l'orphelinat, pire que chez moi ce lieu sinistre faisait toujours froid régenter par une soeur stricte comme ma mère elle me frappait à tout bout de champ mais plus que les autres elle ne supportait pas ma chevelure elle disait que j'étais maudite. Je pleurais toute les larmes de mon corp priant toute les nuits pour le retour de ma soeur et de mon frère au bout d'un an j'ai compris que Dieu avait autre choses a faire que de prêter attention a moi alors j'ai su que je ne pouvais compter que sur moi jusqu'à ce que Willy sois la, au bout de deux ans j'ai pu enfin séché mes larmes il était de retour. Ma soeur était morte notre domaine nous as été arraché nous nous sommes retrouvé à la rue sans ressources, on s'est enfuit et on à commencé une vie totalement différente en jurant de ne jamais nous sentir faible.

Revenant a la réalité le duc c'était arrêté devant un bâtisse simple a première vue

- Duchesse Wickam si on se reposait à l'auberge que voici.

- Mon cher époux cette idée me ravie.

Le duc cueillit un baiser sur les lèvres de Nessa elle était si belle sous le clair de lune il pourrait passer des heures a l'embrasser. Il descendit du cheval et la fit glisser doucement contre son torse. Il prit une chambre pour deux quoiqu'il mourrait d'envie de la faire à nouveau sienne il ne put ignorer sa fatigue maintenant il se rendait compte qu'il avait mis en danger la vie de son enfant en voulant a tout prix rejoindre sa demeure familial il avait oublié sa fragilité. Pas une fois elle ne s'est plainte il avait oublié sa grossesse agissant comme un égoïste

- Quel crétin je suis
J'ai mis en danger la vie de notre bébé mon Dieu! Ma chérie pardonne moi

Voyant le visage du duc ravagé par les remords Nessa sentit une pointe de culpabilité l'envahir

- My love calme toi! je vais bien le bébé aussi va bien. C'est pas une petite chevaucher qui va nous faire du tort, pour ta gouverne j'ai aussi mis en danger la vie de notre bébé pas plus tard qu'aujourd'hui

- Ah oui quand ça

- Quand j'ai mis une claque si violente au duc de Vost j'ai failli perdre équilibre et m'etaler par terre

Le duc sourit de la manière elle pinçait ces lèvres en disant cela

- Figures toi qu'il a essayé de m'embrasser lorsque je lui ai dit que je ne voulais pas de lui , il m'as pris par surprise avant que je puisses l'informer de notre mariage

- Il a du penser que t'embrasser te ferais changer d'avis

- Sauf que j'ai déjà l'homme qui embrasse d'une manière qui vient exclusivement de royaume des cieux.

Le Duc sentit un fulgurant désir l'envahir, il s'empressa de laisser la chambre avant de céder a se désir incandescent. Il rencontra l'aubergiste au milieu des escaliers.

- Faites monter un plateau à ma femme, envoie lui une femme de chambre pour l'aider je veux que son bain sois placer devant la cheminée pour l'empêcher de prendre froid. Je veux de l'avoine pour mon cheval et je prendrai mon bain dans une autre pièce pas besoin d'eau chaude

- Tout sera selon votre désir

Satisfait le duc se dirigea vers les écuries son cheval ne laissait pas s'approcher facilement les étrangers.

Quand le duc revint dans sa chambre Nessa dormait à point fermé elle c'était faite  deux nattes qui reposait sur son épaule comme pour l'inciter a les défaire le duc voulait cueillir ces lèvres rouge pulpeuse il ne regrettait pas de s'être marié il voulait la rendre heureuse. En soupirant il nicha sa femme au creux de ces bras en ignorant ostensiblement son désir. En ouvrant les yeux il vit les yeux de sa femme fixé sur lui de manière sévère

- Je ne t'ai pas entendue entré hier soir. Tu m'as laissé seule notre première nuit

- Je me suis occupé de Perséphone je voulais pas la laissé entre les mains des palefreniers négligent

- Donc tu as préféré ton cheval a ma compagnie. Mon cher époux se prends pour Hadès devrais je être jalouse puisque tu as déjà ta reine

Le duc ne put s'empêcher d'éclater de rire

- Ainsi tu connais la mythologie grec

- A force de fréquenter des ports je connais beaucoup d'histoire et j'ai toujours eu un faible pour les mythes ils recèlent tous une part de vérité

- T'a raison ma douce. En vrai Perséphone n'est pas un cheval grec c'est un cheval qui viens de je ne sais où j'étais en Espagne lorsque je l'ai vu pour la première fois au marché du coin elle était blessé mais gardait une allure fière comme perséphone elle avait traversé l'enfer alors je l'ai acheté a force de patience elle a fini par me récompenser.

- Je suis toujours jalouse d'elle

- Et que dois je faire pour que tu ne le sois plus ma douce?

- Un ou deux bisou pour commencer

Le duc sourit et commença a embrasser sa belle sans étonnement leur corp s'embrasèrent instamment le duc dans un grognement sourd repoussa Nessa.

- Ma douce on a jamais fait les choses correctement je veux attendre qu'on soit chez nous pas dans un lit ou d'autre on dormit pour notre première fois en tant que mari et femme ça doit être spécial

Nessa se sentit ému son mari faisait preuve d'une telle prévenance qu'elle devait surveiller a ne pas tomber amoureuse de lui. Elle s'accrocha à lui pour le taquiner

- Allez mon époux tu vas pas me laisser ainsi. Je me languis de toi depuis hier soir

- Femme éloignes toi de moi, je me laisserai pas corrompre

- Ah bon!

Nessa enleva sa chemise. Le duc s'empressa de sortir torse nu sous le rire moqueur de sa femme.

Pour ton pardon ( En Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant