Couché sur le torse de mon mari, je me sentais merveilleusement bien je suis définitivement, éperdument amoureuse de lui. Quoi faire? Il reste tant de chemin à parcourir.
- Le chemin qui paraît plus simple peut-être une leurre. J'avais pas réaliser que je faisais des victimes . C'est vrai que je suis pas une sainte il m'est arrivé de blesser quelqu'un volontairement lorsque ça tourne mal mais je ne savais pas que je faisais du mal aux gens de ma condition. Désolée d'avoir salie ta réputation mis en tâche ta lignée, si jamais on a des enfants ils ne seront pas noble je m'excuse pour, ça non plus je ne l'avais pas réaliser.
- On aurait pas dû se laisser aller.
- Je suis désolée!
- Arrête de t'excuser ça change rien , tu as toujours été égoïste ne fais pas semblant de respecter le pauvre pion que je suis. Dans tes plans mes sentiments n'ont jamais été pris en compte.
- Alessandro je t'aime. J'avais pas prévu ça mais je t'aime donnes moi une chance je te jure que je saurai me faire pardonner.
- Tu vois toujours ce moi et mes sentiments à moi , qu'est-ce qui te fais croire que je veux de toi? J'aurais aimé te jamais rencontré.
- Arrête ne dis pas tout ça , tu me blesse. J'ai fais des erreurs mais l'avenir est a nous on peut tout arranger.
- Ah oui et moi alors, je suis censé dire quoi à ma famille, je me suis fais piégé la mère de mes enfants est une criminelle notoire mais ne vous en faites pas elle ne risque pas de s'envoler un jour pour partir je ne sais où , en me laissant la charge des enfants parce que je crois qu'elle ne ment plus lorsqu'elle me dit je t'aime enfin je crois. L'avenir tu parles comment te faire confiance quand ton passé est un bazar, le présent un mensonge sur quel base dis moi je dois te faire confiance?
- Je t'aime!
- Sors de ma chambre.
- Je t'aime Alessandro, c'est pas suffisant?
- Non cela ne l'est pas.
Lui aussi tu l'aimes, je partage pas ce qui est à moi.J'ai l'impression d'avancer et pof retour en arrière. Il est redevenu froid et distant un vrai courant d'air, mais pas question d'abandonner surtout après cette nuit que nous avons passé. je sais que mon morceau de paradis est entre ces bras. Je dois me libérer du passé pour pouvoir vivre mon amour je le ferai .
- Bonsoir je t'ai fait coulé un bain.
- Arrête !
- qu'est ce que je dois arrêter de faire?
Elle porte une chemise de nuit transparente, je vois son triangle et aussi l'auréole de ces seins, elle veut ma perte, elle commence à faire glisser les manches de sa chemise, mon cœur loupe un battement, je suis à l'étroit dans mon pantalon. J'y résiste plus, je l'embrasse sauvagement à quoi bon elle a toujours été plus forte, sa bouche est un vrai délice, mon Dieu je n'arriverai jamais à me libérer, pourquoi le voudrais-je d'ailleurs.
Je la plaque contre le mur, je me baisse un peu pour appuyer ma bosse sur son entre jambe la ou elle est sensible, elle lâche un cri qui a pour résultat de faire gonfler un peu plus mon sexe, elle hondule des hanches pour faire plus de pression sur son clito , je mordille la lobe de son oreille, sa respiration s'accélère, je prends l'un de ces seins dans ma bouche la pointe s'érige aussitôt, ça me procure un plaisir inouïe, sa façon de s'offrir de s'abandonner dans mes bras me rends dingue, j'ai envie de la mordre je n'y résiste pas je marque sa peau en plantant mes dents dans sa chaire doucereuse.
Son cri de douleur brise quelque chose en moi je me sens puissant, excité en colère, je descends mon pantalon, je tape mon membre puissant sur son clito, elle me regarde un regard de désir et de peur, je me délecte de cette frayeur je soulève une de ces jambes , je le place sur mon épaule et je la pénètre profondément, je suis au chaud au fond d'elle , je me sens si bien son antre palpite ce qui me donne des sensations enivrante, elle est si étroite. Une main au creux de ces reins je commence à bouger. Ces cris de douleurs sont aphrodisiaque plus elle cris plus j'augmente la cadence, je veux la possédée entièrement, la marquer à tout jamais.
je la pilonne à fond je fais des va et vient j'ai jamais été aussi profondément en elle j'ai toujours essayer de faire passer son désir avant le mien, la je suis égoïste et c'est divin. Elle est si bonne je perds complètement la raison tout ce que je sens c'est sa chaleur autour de moi, sa féminité qui m'ensère, à un moment je sens son pied glisser de mon épaule, cette fois-ci je l'attrape sous les fesses je plaque ces deux jambes au mur je l'etire encore plus, son antre exposer à mon bon plaisir, mes coups de reins sont désordonnées, puissante, lorsqu'elle se resserre encore plus autour de moi. J'explose avec plus de violence que je n'ai l'ai jamais fait avant.
Je la tiens à bout de bras pour l'empêcher de tomber , elle rejoint mon lit fatiguée, les membres flageolantes.
Je passe paresseusement une main sur son épaule, son sein, son ventre , sa cuisse je remonte et je pince l'un de ces seins.
- Arrête je suis trop sensible!
Elle repousse ma main elle ne supporte jamais que je la touche après son orgasme ça veut dire qu'elle a eu du plaisir tout comme moi , je sens ma virilité se réveiller, j'ai encore plus envie d'elle, je n'arrive jamais à me rassasier d'elle , avant je la laissais volontier se reposer pas ce soir, maintenant j'ai trop envie d'elle.
- J'ai envie de toi, tourne toi.
Elle me Jette un autre de ces regards effrayé mais elle s'exécute, je caresse son dos , palpe ces fesses, passe ma langue au creux de ces reins je l'ai jamais prise ainsi je voulais pas l'effrayer avant, ce soir semble être le moment, je soulève son corp pour la mettre à quatre pattes.
- Je vais te prendre ainsi, tu es tellement belle.
La cambrure de son dos, ces boucles folle , ces fesses arrondie, j'ai jamais vu un tableau plus magnifique, je fouille son clito, sensible elle se dérobe, je n'y fais pas attention je continue mes petits cercles , elle commence à mouillé instinctivement elle écarte un peu plus ces jambes, j'enfonce un de mes doigts en elle tout en faisant des petits cercles, sa voix s'élève, une voix capable de me faire perdre le contrôle , j'enfonce encore un doigt , puis un autre elle commence à bouger ces fesses sur ma main , hypnotiser par ce merveilleux tableau, je m'ensère en elle petit à petit. Si elle savait le pouvoir qu'elle a sur moi.
- ohww oui, mmhh
Je place mes deux mains sur ces fesses et commence à me mouvoir en elle petit à petit, elle vient à ma rencontre de tant à autre , à chaque poussée je gagne un centimètre, mais je veux plus beaucoup plus. D'une poussée je fiche mon dard profondément en elle, et ce cris qu'elle lâche me galvanise à chaque fois,
je la pilonne violemment, elle essaie de se dérober mais je la tiens fermement, je bouge franchement en elle, mes boules claque ces fesses de manière régulière, elle reste immobile comme pour appréhender mes coups de reins pris de remords. Je me penche pour caresser son clito tout en continuant mes coup de reins de manière plus douce,a près une bonne minute exciter elle commence à aller à la rencontre de ma bite, je laisse son clito pour augmenter la cadence, je vais franchement en elle, haletante elle vient à ma rencontre et je lui réponds ,elle crie mon nom à chaque coup de rein son Alessandro me fais bander dur, galvanisé je lui donne des coup de buttoir plus franche, plus violent. Dans un dernier hommage elle se laisse aller en même temps que moi.
Je la prends dans mes bras toujours à l'intérieur d'elle je l'appuie sur mon torse, j'embrasse son cou.
- Merci, tu as été fantastique.
Apaisée elle finit par s'endormir dans mes bras ,je me glisse hors d'elle , je la laisse se reposer la nuit ne fais que commencer.
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Pour ton pardon ( En Réécriture)
Ficción histórica1734 Nessa vit une vie pleine d'aventures en Amerique sous la gardes de son frère William après la mort de ces parents son goût pour la liberté la pousses a agir de manière inconsidérée mettant sa vie et celle de son frère en danger elle n'as plus l...