La vie est parfois capricieuse , rebelle ou magnifique mais elle vaut toujours la peine d'être vécue. J'ai aimée vivre avec mes parents, j'ai aimée être pirate , j'ai aimée être amante ensuite épouse, j'ai aimée être justicière. J'ai conquis ma liberté, j'ai vécu dangereusement pour me sentir vivante. Aujourd'hui je renonce volontiers à ma liberté, je veux juste me reposer dans la chaleur de tes bras .
J'ai cru aimé mon duc , la vérité j'étais fascinée par lui, par sa richesse, sa puissance, sa loyauté, sa gentillesse, sa façon de me toucher . J'ai cru aux livres que je lisais je pensais qu'il devait m'aimer des le premier regard , j'ai cru que si je me montrais passionné il allait m'aimer. Mais l'amour ça se construit chaque jour , c'est le temps qui construit ce lien quand la passion s'apaise c'est au-delà du paraître mais elle peut s'avérer détruite par trop de différence.
Debout nu au milieu de la pièce je sirote mon verre . Je sens un vent glacial , je me retourne lentement , mon muet est la , il enlève son kieffieh, il se déshabille lentement comme pour me faire mourir pour mieux me ramener à la vie .
- Je savais que c'était toi .
- Comment ?
- Il n'y a que toi qui puisse me faire vibrer , il n'y a que toi qui me fais me sentir en vie. Solamente tu. Cela a toujours été toi.
- Je t'aime, tu n'es pas une lady, tu n'a pas le sang bleu , tu es juste une déesse qui consent à devenir mortel pour moi. Je veux passer ma vie à t'adorer.
Il dépose des petits baisers sur ma poitrine . Il prends le bout de mes seins dans sa bouche il enroule sa langue et entreprend un valse langoureux, je gémis, je n'ai jamais ressentie cela au paravent , je me sens aimé, désiré, j'accroche une main dans ces cheveux soyeux je me hisse sur la pointe des pieds comme pour accentuer mon plaisir. Il torture mes deux seins alternant entre morsure et caresse , au bout d'une minute je me crispe en un orgasme ravageur. A ce moment je laisse tomber mon verre qui se casse en milliers de morceaux , pas grave j'ai plus urgent.
Il me prend dans ces bras moi toujours nu il me place au milieu du lit , lui a moitié habillé il me dévore des yeux , je suis une femme magnifique et j'aime le regard de mon homme qui me brûle de désir. Il laisse glisser son pantalon ou apparaît une érection érigé comme le mât de son navire. Tout cela juste pour moi , il glisse sa main sous la plante de mon pied, il remonte sur mon genou , ma cuisse , il titille mon bouton je mouille encore plus , il glisse un doigt à l'intérieur de mon antre, puis deux . Lui debout , mes jambes ouvertes il fait aller et revenir ces doigts , je donne timidement des petits coups de reins pour l'aider , avant de demander plus , il me tourne violemment, il me place à quatre pattes , je cambre automatiquement mon dos. Avant de sentir ces doigts , il plonge d'un seul coup de rein , je laisse échapper un cris de douleur et de joie.
Il place une main au milieu de mon dos comme pour m'apaiser, et me pilonne violemment, comme s'il ne pouvait plus se contrôler, je m'accroche au barreau du lit , je ne vais plus à sa rencontre et me contente de subir . Quand le plaisir se transforme en douleur il s'arrête vivement et se déverse sur mon dos , m'empêchant de changer de position il plonge de nouveau en moi , je hurle et essaie de me soustraire il se penche pour titiller mon clito il ralenti ces coup de rein, quand je commence à bouger et mieux me cambrer il s'enfonce jusqu'à la garde en moi . Je sens ces bourre frapper mes fesses , je me contracte autour de sa hampe quand il se libère aussi en un râle puissant.
Coucher à bout de souffle je rejoins rapidement le cabinet d'aisance évitant les morceaux de verres . Mon homme ne tarde pas à me retrouver, dans notre baignoire nous recommençons à nous aimer. Cette fois je cris de plaisir lui demandant d'aller plus vite, je ne suis pas une lady. Je peux enfin être moi même.
Il ne pouvait pas m'aimer puisque je me connaissais pas moi moi-même, il avait raison. J'ai choisi les voies illégales parce que je voulais me sentir vivante , j'ai envié les riches parce que j'ai vécu dans la pauvreté, j'ai voulu faire le tour du monde parce que je n'avais pas de chez moi , maintenant je suis une femme je sais ce que je veux.
Tout ce que je suis c'est grâce à lui. J'ai aimée me surpasser, j'ai pu trouver un domaine dans lequel j'étais bon et je me suis accroché, j'ai eu de la chance aussi , mon duc m'a mis sur le droit chemin en m'apprenant les bases, j'avais de l'argent gagner malhonnêtement. Je me suis juste contenté de briller . J'ai une maison que je me suis construite, un enfant , un homme qui m'aime , mon muet.
- Tresoro , merci de m'avoir attendue, merci de m'avoir appris à aimer. Merci d'être toi.
- Je ne vais pas te mentir la deuxième fois que tu m'as fait l'amour sur le bateau , j'ai su que c'était toi , je me forçais à croire que c'était quelqu'un d'autre mais mon coeur ne pouvait pas me tromper, j'ai aimé te voir te battre pour cacher ton identité, mon duc bien-aimé.
- Je voulais apprendre à te connaître à voir le monde comme tu le vois, je t'aime pour ta loyauté envers ton frère, j'ai aimé te voir au commandes , j'ai aimé te voir être cette femme que je t'empechais d'être, j'ai renoncé à mon titre et ma fortune , je ne possède plus rien , je suis heureux d'être ton esclave. Si tu veux de moi marions nous de nouveau, tu n'as plus à te cacher derrière un titre.
- Je t'aime Alessandro, je t'aime , reste près de moi pour l'éternité.
- Et même au-delà si possible. Je t'aime ma femme , mon trésor.
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Pour ton pardon ( En Réécriture)
Historical Fiction1734 Nessa vit une vie pleine d'aventures en Amerique sous la gardes de son frère William après la mort de ces parents son goût pour la liberté la pousses a agir de manière inconsidérée mettant sa vie et celle de son frère en danger elle n'as plus l...