❝ Quand Olympe Brown, star en vogue de tous les magazines de beauté débarque dans une cambrousse, où son simple nom écorche les lèvres de chaque élève, qui ne la connaissent ni d'Adam ni d'Eve, elle se doit de recouvrer sa popularité déchue.
Son ob...
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— Chérie ton frère a invité des amis ! Descends leur dire bonjour, me crie ma grand-mère plus sur le ton de l'ordre que de la prévention.
Non, mais dites-moi que c'est une blague ? Depuis quand Waren ramène ses loosers de pote à la maison, surtout quand grand-mère est là pour faire le flic, ce qui veut dire pas d'alcool, pas de fête, pas de fille, et encore moins de match de foot ou de partie de play devant la télé.
En gros, ils ne peuvent pas faire grand-chose, à part me casser les pieds, ou squatter la piscine. Où j'allais moi-même me rendre avant qu'ils n'arrivent.
— Olympe descends, et montre que tu es bien elevée ! Rajoute-t-elle.
Si me foutre la honte est un des principal défaut de ma grand-mère, me forcer à faire ce dont je n'ai clairement pas envie en est un autre.
— Quoi ?! Hurlé-je lui faisant croire que je n'ai pas bien entendue.
— Tu vas bouger ton cul de devergondé et venir saluer ces garçons, sinon je détruis ton dressing en fesant la pyromane ! Rétorque-t-elle désormais plus menaçante qu'au début.
Ah qu'est-ce que je la déteste ! Elle serait parfaitement capable de mettre sa menace à exécution, parce qu'elle est aussi folle que moi, et quand je dis un truc, je le fais.
Alors que je n'ai aucune envie de voir leur gueule de débile, ils m'attendent tous en bas dans le salon de jardin.
Bien entendue, j'ai pris le temps de choisir le maillot de bain le plus provocateur que je possède, car je compte bien profiter de ma fin de journée après cette épuisante rentrée devant un bon bain de soleil, et ce n'est pas des têtes de con qui vont m'en empêché.
Des sifflements arrivent à mes oreilles quand j'arrive à leur taille.
— Calmez vos hormones, grogné-je en leur passant littéralement sous le nez serviette à la main.
Toute l'équipe de looser – ULTRA canon de mon frère se présente dans mon putain de jardin.
Je ne les aime pas, ils ne m'aiment pas, mais ils sont pas mal à regarder.
Je dois avouer que normalement leurs regards devraient me faire peur, surtout avec l'attitude salace qu'ils portent dans ma direction, mais moi ça m'amuse. C'est drôle de voir à quel point un corps comme le mien peut leur faire autant d'effet.
Ils vont regrettés d'être du côté de mon frère, croyez-moi.
— Bouge, dis-je à une fille qui se tient sur MON fauteuil.
Je pourrais certainement avoir plus de tact, mais pour une meuf à moitié à poil, et surtout quand ca concerne mes affaires ça ne risque pas.
Puis, déjà depuis quand ma grand-mère accepte les putes de Waren ici ?
