23- ❝ Olympe ❞

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— Minute Papillon, s'exclame un des loosers, que je reconnais comme étant Conor

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— Minute Papillon, s'exclame un des loosers, que je reconnais comme étant Conor.

D'un coup brusque et sec, mon dos se retrouve encastré contre le mur.

Conor à les deux bras de chaque côté de mes épaules, m'encadrant par la même occasion le cou.

Je me lèche les lèvres en le regardant, il est aussi canon que les autres - mais sûrement aussi con.

Il porte un débardeur, découvrant parfaitement sa musculature, et je peux déjà imaginer son derrière de folie avec la pantalon qu'il porte. A part le groupe de mon frère, à l'échelle de la beauté, tout le reste est soit banale trop banale pour être regarder, soit horrible à regarder.

C'est bien la première fois que lui, vient m'adresser la parole. J'ai eu le droit à Hunter, Cameron, Black, et Jaden. Ils se sont passés le mot pour venir chacun leur tour me casser les ovaires ?

Je redresse le menton, en me calant contre le mur un peu plus confortablement pour lui faire montrer que je m'en branle. Je ne vais pas gueuler, ni même couiner, ou alors être gêner.

— Que me vaut cette désagréable surprise ? Lui demandé-je, tout en le regardant de haut.

Bien que je ne sois pas plus grande que lui, je ne suis pas non plus "plus petite", grâce à mes louboutins, j'atteint la taille parfaite.

— Tu devrais être contente que je t'adresses la parole.

Encore le même discours, tout le monde n'a que ca à la bouche ? Je roule des yeux.

— Plutôt crever, que d'être contente de parler avec un looser, qui ne sait faire qu'une chose : fourrer sa bite dans la bouche des nanas assez connes pour se faire entuber.

Ils se pensent tellement tous au-dessus qu'ils en oublieraient presque que c'est eux qui devraient être content de m'adresser la parole, et certainement pas le contraire de la chose.

— Tu vas gentiment te taire sur ce que tu viens d'apprendre, dit-il en esquivant ma répartie pourtant bien placée.

Je m'esclaffe d'un rire sans humour, des petits regards indiscrets observent la scène, ce qui ne peut que m'être profitable.

— Aucune chance, il faudrait que je meurs pour que ca ne se sache pas.

Et même morte, j'aurais toujours des sbires pour faire le sale boulot. On dirait presque une dealeuse quand je réfléchis de cette manière.

— Proposition intéressante, souffle-t-il, sa tête s'approche un peu plus de mon visage.

Une lueur lugubre s'installe dans mon regard, moi qui croyait que ce gars n'était pas flippant, c'est raté.

Mais, la peur n'existe pas chez moi, à aucun moment.

— Tu crois pouvoir me dissuader de révéler vos activités malsaines aux gens ?

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 03, 2018 ⏰

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