12- ❝ Olympe ❞

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— Tu t'entends vraiment pas bien avec Waren, non ? Me demande Sabrina en s'essuyant les mains à la sortie des toilettes pendant que je me remaquille legerement

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— Tu t'entends vraiment pas bien avec Waren, non ? Me demande Sabrina en s'essuyant les mains à la sortie des toilettes pendant que je me remaquille legerement.

Après l'altercation, j'ai terminée mon repas sans baisser la tête, je ne vais pas non plus montrer mon degré énorme de fébrilité aux autres, ça m'aurait bien trop nuie, et ça aurait trop fait plaisir à mon looser de frère.

Et dire qu'on à le même sang dans les veines, dans un sens, il me ressemble, mais dans un autre sens il est exécrable à mes yeux.

— Vieille rancoeur, réponds-je. Puis c'est un looser, vaut mieux être loin de lui qu'être proche.

Les gens ont l'air d'avoir une relation très particulière dans ce lycée avec mon frère, ces quelques jours d'observation m'ont permis de voir que tout le monde à l'air de le voir comme un Dieu, un sauveur, alors que c'est une merde ambulante. Il n'attire que des problèmes ce con.

— Je te crois sur parole, les footballeurs sont tous des loosers, aboie-t-elle pleine de méchanceté.

Contente qu'elle ne soit pas comme tout ces idiots à ses pieds, je confirme d'un hochement de tête. Mais bon, en vrai, qui pourrais dire non à mon frère sérieusement ? Du moins si on enlève Sabrina et moi, même truc pourrait succomber, surtout les filles, je suis sûre qu'il leur dégaine le septième ciel en une nuit.

J'interroge Sabrina du regard, ne comprenant pourtant pas son élan de méchanceté envers eux. Ne devrait-elle pas les adorer comme tout le monde ? Même être proche d'eux semblablement aux autres cheerleader's.

— Vieille rancoeur, ronchone-t-elle de la même manière que moi. Ce sont des loosers, vaut mieux être loin d'eux que proche d'eux.

À la reprise de ma phrase, je souris, me voilà avec une alliée de taille : Populaire, respectée, qui n'a pas froid aux yeux, parfait.

La porte des toilettes s'ouvre d'une violence sans faille. Devinez qui apparaît ? Truc – manquait plus qu'elle, pour créer le trio du siècle, c'est aussi ironique que quand ma grand-mère appelle les louboutins "chaussures à talons"

— Enfin je te trouve ! S'adresse-t-elle à moi. Une fête est organisée ce soir, et un gars m'a dit de venir te dire que tu étais invitée.

— Quel gars ?

— Hunter ! S'extasie-t-elle.

Encore lui ! Il ne va pas me lâcher avec sa soirée ? Je lui ai dis non, ça ne lui suffit pas ?

Si c'était simple et qu'elle était en sucre, je suis sûre qu'elle fondrait devant moi.

— Hunter Moon, sérieusement ? Me demande Sabrina en levant un sourcil en l'air plutôt écoeuré. C'est le pire, le moins approchable en matière de fille, quoique, enfaite aucun ne devrait être approchable.

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