Maman détestait lorsque Jay fumait à la maison, il était toujours obliger de fumer à la fenêtre pour éviter que l'odeur n'envahisse la maison. Elle ne voulait pas que je respire ce poison alors elle m'enfermait souvent dans le couloir de la maison pour que je ne respire pas ce qu'inspirait si souvent l'ami de la famille. Je me rappelle qu'elle lui passait toujours un savon et qu'elle finissait par jeter ses briquets et son paquet à la poubelle malgré qu'il insiste pour au moins les donner à quelqu'un au lieu de gaspiller son argent ainsi. Elle répondait toujours la même chose : "Tu n'avais qu'à réfléchir avant de te lancer dans cette merde, comment tu vas sortir de là maintenant hein ?" Quand j'y repense, ces mots pourraient m'être destiné désormais.
•
- Alors mon frère m'a amené ici ?, demanda finalement le blond en laissant son regard brun parcourir le visage du brun. Il aurait pu m'emmener mon ordi au moins ... histoire que je me fasse du pognon ...
Le brun était assis en tailleur sur son seul et unique fauteuil de la même couleur sombre que son jumeau le sofa. En face du blond qui rouseptait. Ces petites plaintes agacèrent assez rapidement le brun qui éleva doucement la voix pour se faire entendre déçu de cette réaction si peu positive.
- Si tu n'es pas content tu peux toujours sortir. Je te préviens il fait un peu froids dehors. Tch.
Llan se rendit bien vite compte qu'il venait de faire un mauvais pas suite au ton agressif qu'avait pris son adorable hôte. Il se mit à agiter les mains comme il avait l'habitude de le faire lorsqu'il était gêné, qu'il cherchait ces mots ou bien une excuse simplement.
- Je ne m'ennuie pas ici ce n'est pas ce que je voulais dire.. simplement c'est pour pouvoir m'avancer dans le quota mensuel qu'il réclame ... Tu le sais bien.. il est pointilleux comme pas possible.
Malgré cette parfaite argumentation, Llan n'obtint absolument pas le pardon de son cher ami qui ne prit même pas la peine de lui répondre, plongé dans un tapotement intensif du clavier de son téléphone. Le silence était en train de peu à peu prendre place en même temps que son cousin le malaise.
Noham décida de finalement prendre la parole après cette petite minute muette.
- Laisse tomber. En plus je pensais que tu étais malade, tu ne devrais pas faire des écrans avec au tant de fièvre, tu risquerais d'attraper un mal de crâne horrible crois moi.
- Hm ... Sûrement mais il ne me reste plus beaucoup de temps., Conclua avec un soupir peu sur de lui le malade. Son regard se risqua à se poser sur le brun un instant simplement pour le décrire.
Il était plutôt fin, son corps était adapté à son métier au sein de la grande entreprise de M.Sonnas. Llan se permit alors d'admirer les traits de son visage ainsi que ses yeux qu'il discernait déjà puissant et dévorant malgré la distance de leurs deux fauteuils.
Llan ne se sentait pas spécialement intimidé par ce gigolo, mais il avait quelque chose qui lui disait de le craindre d'une manière ou d'une autre. Justement cette façon qu'il avait de regarder avec dedain son invité était surprenante. Dire qu'ils avaient passé une partie de la nuit ensemble il y a seulement quelque jours.
Peut-être a-il ses raisons réfléchissait intérieurement le blond.
- Noham ?, Il marqua un temps de pause le temps de voir le visage adorable du brun se relever dans sa direction. Pourquoi travailles-tu pour M.Sonnas ?
VOUS LISEZ
Les seuls désastres de nos vies.
RomanceOn dit souvent que le destin est un connard, qu'il n'a de pitié pour personne. Qu'il s'amuse avec son ami le karma à détruire la vie de certaines personnes. Pourtant tout cela est faux. Je suis le premier à le savoir. Ce n'est pas le destin, le karm...