Chapitre 14

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C'est le moment, celui que j'attends depuis des mois.. 

-C'est beau ici.

-Oui..

-Tu perds patience hien ?

-Carrément même

-Commençons alors, l'orage, ma crise d'angoisse pendant ton histoire, ma vie prendra tout son sens maintenant :

<< Je suis né dans un petite ville, pas très loin d'ailleurs. Ma famille était très riche, elle suivait à rigueur les traditions japonaise [...] Mon père était président d'une grande entreprise dans le Japon tout entiers et une partie de l'Amérique. Ma mère elle était mère au foyer et s'occupait de ses quatres enfants, moi,ma sœur et mes deux autres frères.

J'étais assez bon élève dans l'ensemble, un groupe d'amis, une sœur joviale, et une famille aisée. Que vouloir de plus ? 

Mon père est alors parti en Amerique pendant un moment. J'étais seul avec ma mère et mes frères et soeurs pendant environs 4 mois. Nous avions un peu de problème de moyens sans mon père, mais ça allais.

J'écrivais régulièrement des lettres à mon père à l'encre noire. Je disais comment se comportait ma famille et mes amis. Seulement.. jamais il ne répondait. Ma mère me disais qu'il était énormément prit par le travail. Je comprenais alors.

Il est revenu des mois après, mais il était plus le même. Il frappait ma mère, il buvait. Il semblait différent. 

Mais, mon père à reçu une lettre. Je l'ai ouverte et je suis tombé de plusieurs étages en apprenant que son entreprise allait fermée. Les ouvriers démissionnait les un après les autres et tout tombait petit à petit.

Je l'ai donné à mon père ensuite, il n'a pas parlé pendant 2 semaines, il mangeait dans sa chambre et il restait enfermé nuits et jours.

Deux semaines avant mon anniversaire de mes 18 ans, il nous à proposé une balade en famille pour nous changer les idées. Ma mère lui à dit qu'il pleuvait et qu'ont ne pouvais sortir.

Il à insisté.

Nous sommes alors parti faire une "balade" en voiture. Ce jour là, il pleuvait beaucoup.. on entendais contre les fenêtres en verre le claquement de la pluie et le vent qui soufflait monstrueusement fort. C'est la que j'ai commencer à avoir peur : Le gros bruit imposant de l'orage prit le dessus, il craquait si fort, il résonnait dans ma tête, dans mon corps.

Mon père avait accéléré entre temps, le son du moteur, les flaques d'eau, la pluie, le vent, l'orage. C'était effrayant. Ma sœur prit alors ma main, elle tremblait tant qu'à ma mère, elle hurlait a mon père d'aller moins vite, de s'arrêter.

Je voyais si trouble, j'avais mal à la tête. Mais tout le bruit s'est arrêté d'un coup après une explosion à l'avant. C'étais calme et j'étais allongé. J'avais mal, très mal à la jambe. Alors j'ai regardé, mais elle n'étais plus là, mon bras gauche non plus. Seulement du rouge, il y avait du rouge lugubre dans la voiture. Je regardait ma sœur qui me tenait encore la main. Mais celle-ci était molle et froide... très froide. Ses yeux était ouvert et il lui manquait son buste.. j'ai pas eu la force d'hurler.

Les flammes du moteur me brûlait, j'avais chaud.. mais j'avais aussi de plus en plus froid à l'intérieur et la douleur s'en allait de plus en plus. Alors j'ai fermer les yeux.

Mon père à fait un suicide familiale à cause de la perte de son entreprise.

Quand j'ai repris conscience, j'étais nulle part. Juste dans une pièce noire, j'avais la sensation d'être léger.. très léger. Il y avait un livre au milieu de cette salle, je me suis donc approché de celui-ci, mais il s'éloignait de plus en plus quand je l'approchais.. et c'est la.

C'est la que je t'ai vu pour la première fois. Tu étais sur ton lit en train de pleurer de toutes tes forces et regardant une photo. Et cette pièce qui semblait si noire, était devenue lumineuse, magnifique. Le livre c'est alors ouvert et à laisser échapper des lettres dans les airs, elles formait un nom et un prénom à l'encre noire. Midoriya Izuku.

J'ai fermé les yeux, et je me suis réveillé allongé sur l'herbe humide de la rosée du matin. Avec un livre à mes côtés.

Je l'ai ouvert, et il m'as dis que j'étais un spectre, que j'avais une deuxième chance de te voir. Que j'avais la chance de vivre pendant une année à tes côtés Izuku. "Tu dois le rendre heureux, voir son sourire qui à disparu"

Et c'est dans cette chambre que je t'ai vu, j'ai vu celui qui pleurait sur son lit. Celui qui se lamentait, celui qui était magnifique et qui va faire de ma vie un merveille. Et qui fera un belle fin à la fin de mon histoire, il changera le passé.>>

-Je ne sais pas quoi dire.

-Dis moi que tu m'aimes alors, tu as bien eu le temps qu'il te faut..

-Je t'aime Shoto..

Je m'avance vers lui doucement et dépose mes lèvres sur les siennes, je laisse passer sa langue dans ma bouche, elles se touches tendrement. Ses mains se place en bas de mon dos et les miennes dans ses doux cheveux. Je me retire ensuite, et colle mon front contre le sien.

-Tu as encore ce livre ?

-Il es resté chez toi..

-Je suis désolé d'avoir tant insisté..

-Au moins, tu y gagnes quelques chose.

-C'est vrai. Alors je ne suis plus désolé.

-Petit con va

Je n'ai pas le temps de répliquer qu'il m'enlace. Son souffle me caresse et m'attendrit, je dépose alors ma main sur son cœur et me concentre sur ses battements des cœur. Pendant ce temps celui-ci me serre de toutes ses forces avec ses bras autour de ma taille. C'est si bon d'être à ses côté et de savoir la vérité sur lui. 

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CHAPITRE SUPER COOOOOOOOOOOURT ! Mais intéressant hien !

Vous en pensez quoi de son passé ?

Tododeku- L'amour d'un sacrifice [Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant