Chapitre 4: Sombrals et sentiment dégoulinant

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Cela faisait une dizaine de jours qu'Hermione était arrivé à Poudlard, Diane et Jen c'étaient avérées être de fidèles amies.

L'altercation avec Tom Jedusor avait fait très vite le tour de l'école et contrairement à se qu'avaient redouté ses amies il n'y avait pas eu de conséquence. Jedusor avait même compris qu'elle était une excellente élève et ils formaient désormais un parfait duo en potion, tant qu'elle ne lui parlait pas.

C'était donc le meilleur duo mais aussi le plus silencieux, il n'avait pas besoin de parler pour comprendre quand l'autre devait ajouter les ingrédients ou autre manœuvre délicate. C'était agréable d'avoir un coéquipier à son niveau après avoir passé toute sa scolarité avec Ron et Harry qui ne comprenaient rien en potion.

Elle n'avait toute fois pas avancé, Jedusor continué de l'ignorer, elle se sentait de plus en plus perdue n'aillant personne à qui confier ses problèmes et ses doutes. La chambre des secrets n'avait pas encore était ouverte mais cela n'était qu'une question de temps.

Hermione avait fait profil bas dans les cours de métamorphose pour que personne ne se pose trop de question. Elle se contentait de faire le strict minimum.

Je redresse la tête, quelqu'un venait de marcher sur une brindille, aperçue un Sombral à la lisière de la forêt interdite. Je me dirige vers la créature. Je me rappelais avoir prit pour fou Harry quand il disait en voir, je sourit à ce souvenir. Ils avaient même volé avec l'AD, de Poudlard jusqu'au ministère sur ces créatures qui leurs étaient invisibles. Elle avait tellement eu peur se jour là, tout le monde avait l'impression de voler dans les airs, je me mit à rire.

- Pourquoi es-ce que tu ris ? Lui demanda une voix froide derrière elle.

Je porte instinctivement la main à ma baguette. Me détendant en voyant que ce n'était que Tom, puis me giflant intérieurement que non c'était justement TOM JEDUSOR et qu'il lui parlait et qu'elle était seul et plutôt loin de l'école ce qui au final représentait un danger légitime au fait de prendre sa baguette. Ne montrant rien de ma réflexion intérieur je me recomposa mon masque impassible, toute envie de rire c'étant dissipé.

- Je repenser à un souvenir drôle, c'est tout.

- Tu les voix aussi ? Il avait hésité à poser cette question je l'avait sentit dans le timbre de sa voix

pourtant il n'en montra rien conservant sa mine glacial habituel. Une fois de plus je fut éblouit par tant de beauté et de danger que dégageait ce jeune homme de 16 ans.

- Voir quoi ?

Il hausse les épaules et tourne les talons.

Attend ! J'avais lancé ça sans réfléchir, persuadé qu'il ignorerais ma demande. A mon grand étonnement il s'arrêta et se retourna, puis s'approchant à grand pas de moi, il m'attrape le poignet avec violence je ne put retenir un cri de douleur. Il me plaque contre un arbre s'approchant de mon oreille, me chuchotant de sa voix suave qui m'aurait fait tremblé si je n'avait pas un si grand self contrôle.

- Ne t'avise pas de me redonner un ordre Granger, tu pourrais bien le regretter. Puis il me lâcha enfin et recula de quelque pas.

Je me massa mon poignet endolorit.

- Tu m'as posé une question et je souhaiterais y répondre, ce n'était pas un ordre mais une demande, mais toi avise toi de me menacer encore une fois et je.....

Je quoi ? Je n'avais aucune idée de ce que je ferais.

- Tu quoi Granger ? Répondit -il d'un ton glacial.

La lumière verteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant