Chapitre 20

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Toc ! Toc ! Toc !

Draco se réveilla en sursaut. Il regarda doù venait le bruit qui lavait réveillé. Le bruit venait de sa fenêtre. Le jeune homme sortit de son lit, ouvrit les rideaux. Un hibou Grand-Duc était à sa fenêtre. Draco aurait reconnu ses plumes grises, presque quargentées, et se regard noir entre mille, cétait celui de son géniteur. Il ouvrit la fenêtre, prit la lettre et la referma. Il regarda loiseau senvoler. Il savait que si son père lui envoyait un lettre cest parce que Voldemort le lui avait demandé.

Le jeune Malfoy retourna sur son lit et lu la lettre avec laide de la magie.

« Tu es convié dès que possible au Manoir. Ne nous fait pas attendre, ni nous, ni le Maître. »

Le Serpentard savait ce qui lui restait à faire : ses valises. Le « ne nous fait pas attendre » voulait dire « rentre immédiatement », donc il fit ses valises et alla à la rencontre de son professeur de Potion pour transplaner au Manoir.

-Draco, mon chéri, vas finir ta nuit dans ta chambre nous texpliquerons tout demain matin.

Lhéritier prit aux mots sa mère et monta dans sa chambre. Il ne lui fallut que quelques minutes pour sendormir.

Le lendemain matin, le jeune Malfoy fit réveiller par un des elfes du Manoir. Il se prépara et descendit prendre son petit déjeuner.

A table, son géniteur et sa mère ne pipèrent mots. Le premier lisant la Gazette du Sorcier, la deuxième fixant son bol de café. Un peu trop à lidée de Draco.

-Puis-je me permettre de vous demander le pourquoi de ma venue ? demanda-t-il à ses parents.

Sa mère leva sa tête pour le regarder dans les yeux. Lucius plia son journal et demanda à son fils de la suivre. Ils marchèrent dans les couloirs du manoir sans un mot jusquaux cachots. Lhéritier naimait que son père lemmène ici vu ce qui sest passé la dernière fois. Devant une cellule fermée, Lucius sarrêta et sadressa à son fils :

-Demain, le Maître viendra parce quune cérémonie se fera en ton honneur. Celle qui fera de toi un missionnaire du Lord. Pour cela tu devras exécuter devant lui et ses disciples une Sang-de-Bourbe

A ce mot le cur de Draco sarrêta. « Une Sang-de-Bourbe », il pensa tout de suite à Hermione et la peur sempara de lui. Puis il se dit quelle était en sécurité à Poudlard. Là-haut personne ne viendrait lui faire du mal, les deux seuls personnes portant la marque étaient son parrain et lui et il connaissait bien les intentions de Rogue. Donc pas de quoi sinquiéter, un poids senleva de lui, mais il restait encore la peur de tuer un innocent.

- Cest pour cela que je tai préparé en avance avec une vulgaire moldu. Derrière cette porte il y a lêtre abjecte que tu devras exécuter. Si tu veux voir son visage tu le peux.

Sur ces mots il remonta laissant Draco seul devant cette porte. Ce dernier était encore abasourdit par la nouvelle, il lui fit du temps pour sen remettre. Il ne comprenait pas. Pourquoi son père lui avait dit tout ça alors que le Maître aurait pu le faire lui-même le lendemain ? Pourquoi était-il partie avec ce sourire que seul quelquun devenu maître dans lillusion de masquer ses sentiments aurait pu voir ? Pourquoi encore tuer ? Pourquoi lui comme missionnaire alors quil y en avait tant dautre ? Mais si ce nétait que ça peut-être que ça aurait pu le faire. Mais le beau blond hésitait à regarder la personne présente dans la cellule. Regarder ou ne pas regarder ?

Puis dans une révélation il sapprocha de la porte. Si cétait quelquun quil connaissait il ne voulait pas offrir son expression surprise à Voldemort. Draco était certain que cela lui ferait trop plaisir. Il tourna la poignet et poussa la porte

It is a Real Love or is it Juste a Joke ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant