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« Imploser, c'est exploser à l'intérieur »










Dans la peau de Lira


C'est le retour à la maison aujourd'hui après 10 jours d'hospitalisation Et je ne sais combien de jour de séquestration, je peux enfin rentrer chez moi. J'étais toujours silencieuse, j'étais toujours détruite à l'intérieur de moi. Je me sentais tellement vide. Jena était morte dans mes bras, elle était morte.

J'entendais toujours rien enfin, un peu mieux que les premiers jours mais à peine.

Fe: Lira ?

Je l'ai entendu crier mais je l'ignore, j'avais pas la force ni l'envie, je voulais juste être dans mon lit à rien faire. Pensant que je ne l'entend pas elle prend une feuille et m'écrit
« Je suis contente que tu rentres, tu m'as énormément manqué et à tes bébés aussi »

Malgré moi j'ai ressenti un pic au coeur, mes bébés, mes trois magnifiques bébés. Mon Dieu qu'ils m'ont manqué et oui que j'avais hâte de les retrouver. De les serrer dans mes bras, peu importe ce qui pourrait bien m'arriver, jamais ça n'entachera l'amour que j'ai pour eux.

Elle pousse la chaise roulante vers la sortie de l'hôpital, je ne pouvais pas marcher, mon pied était dans une attèle et je n'avais pas le droit de m'appuyer dessus.

En partant nous croisons le docteur qui s'occupe de moi, il s'abaisse à mon niveau et me montre une feuille ou il a écrit « prenez soin de vous, votre cousine à tout les traitements que vous devez suivre pour une bonne guérison, on se revoit dans 15 jours madame ElKary »

Je lit mais ne réagis pas, alors il se relève puis nous continuons notre chemin avec Fe.



Dans la peau de Kaylin


J'avais perdu la notion du temps, je ne sais plus depuis combien de temps j'étais ici ni même qu'elle heure il était. Je n'ai pas sommeil, la seule chose que je désire, c'est de la voir souffrir et quitter son corps à petit feu.

Suspendu au plafond par les poignées, elle n'allait pas pouvoir tenir ainsi longtemps alors je devais me dépêcher. Elle pleurait encore, comment peut elle avoir autant d'eau dans son corps, je ne la laisse boire qu'une fois par jour

Moi: ferme la ta gueule
Samia: j'en peut plus 😭😭😭
Moi: tu n'as pas le choix

Je trempe le fouet dans de l'huile pour que les coups glisse sur sa peau puis « PAAF » premier coup de fouet. Elle hurle et pleure encore plus alors j'en remet un autre puis encore. Plus elle hurle plus je veux la fouetter . Plus elle hurle plus je veux qu'elle hurle.

Samia: AAAAH AAAAH 😭😭😭 AAAH

J'allais de plus en plus fort et son dos saignais de plus en plus. Je ne parvenais pas à m'arrêter, c'était trop plaisant de sentir sa peau se déchirer sous les coups de fouet.



Dans la peau de Lira



Arrivée à la maison, ma mère était là ainsi que mon père et mes frères, les 3 et mes sœurs. Tous se dirigent vers moi pour me prendre dans leurs bras. Mes sœurs pleurent avec ma mère et mes frères eux restent froid et stoïque, comme si ils contenaient en eux leurs souffrance.

Tome II: Lira et Aymen: amour forcé ou force de l'amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant