*Nico*

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Deuxième chapitre et déjà Nico is real! J'adore se personnage et tout son univers, il fait partie de mes préférer.

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-Tomber amoureux c'est facile. Faire l'amour encore plus. Mais trouver quelqu'un qui t'allume l'âme, ça c'est exceptionnel.


Nicolas était un garçon on ne peu plus habituel en extérieur ; il n'était pas particulièrement grand malgré son mètre soixante seize, ses cheveux était un peu long et était d'un brun nuit, ses yeux était noir comme l'abysse. En société il passait inaperçu, se fondant dans l'ombre, discret, silencieux presque invisible et dans sa profession c'était on ne peu plus utile. Effectivement chez Nico, il n'y avait que son physique d'ordinaire ; du haut de ses dix-huit ans, Nicolas Di Angelo était agent secret pour une des plus grandes entreprise du monde : Olympus.

Il avait toujours vécu dans se monde d'espionnage, son père était un des chefs de l'organisation et le petit fils du fondateur originel ; c'était un homme puissant qui avait fait trembler de nombreuse personne durant sa carrière. Et son fils était certain qu'il pouvait encore briser une nuque à une main. C'était d'ailleurs durant une mission qu'il avait rencontrée sa mère ; Maria n'était pas une femme ordinaire et d'ailleurs son physique était tout aussi extraordinaire que ses qualités. Petite fille de mafieux Italiens elle avait hérité de la crinière brune de sa famille mais elle tenait surement ses yeux verts jade et sa peau blanche comme la neige de sa mère d'origine anglaise. Et il été née de ça, d'un amour presque impossible entre une mafieuse et un agent gouvernementale, une mission d'infiltration et deux ans d'amour interdit plus tard, lui et sa sœur aînée Bianca avait vus le jours. Son père avait essayé de convaincre sa mère de venir avec lui à New-York, il lui avait avoué qui il était car au nom de la loi ils étaient mariés. Sa mère avait refusé en disant qu'il valait mieux que lui et sa sœur sois éduquer loin d'elle et de la famille Crispino. Le père de Nico ; Hadès avait accepté en lui faisant jurer de venir le trouver au moindre problème.

Nico avait donc grandit avec son père et sa sœur loin de sa mère mais avec une nourrice Italienne nommée Perséphone par son père quand il l'avait engagé. Elle c'était occuper de lui et de sa sœur comme leur mère et lui avait donné toute son affection. Il avait été entraîné à tuer, à espionner et à se battre depuis son deuxième anniversaire ; c'était une machine de guerre tout comme le reste de l'organisation. Et d'après tous, il était excellent.

Alors tout naturellement c'était à lui qu'on avait demandé d'aller chercher un ingénieur du nom de Léo Valdez que l'on disait incroyable. Il avait lue le dossier de M. Valdez et effectivement il était impressionnant comme garçon ; Nico comprenait pourquoi son père le voulait tellement dans la future équipe qu'il mettait en place avec ses frères. Le brun fut donc désigner pour aller chercher le jeune homme et malheureusement il avait dus faire équipe avec son cousin germain Percy où, son meilleur et presque seul ami dans l'agence.

Ils s'entendaient à merveille ne vous faites pas d'idée et il adorait son cousin ; Percy était quelqu'un de profondément gentil et c'était en outre un de ses plus grand défauts, il n'y avait pas un monstre dont son cousin ne s'attachait pas. Percy était incapable de ne pas s'attacher aux gens et Nico était son parfait opposé, il ne s'attachait pas et repoussait les autres au loin. Et faire équipe dans se genre de mission était compliquer car Percy voulait utiliser la manière douce et Nico foncer sans s'apitoyer sur le sort du pauvre inventeur.

Alors finalement il avait laissé Percy choisir et l'avait regardé assommer Léo avec un petit sourire « la méthode douce » hein ? La bonne blague son ami était aussi violent que lui dans se genre de cas. Alors doucement il lui saisit un bras et une jambe pour le monter sur les épaules de son ami qui avait ouvert la marche à travers les couloirs normalement désert du laboratoire avant qu'il ne tombe sur une silhouette encapuchonné comme eux avec un masque sur le visage. Evidemment ça ne pouvait pas être simple...

"La famille pour les nuls"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant