L'histoire avance bien, on retrouve Annabeth et je pense franchement que ça va devenir très drole.________________________________________________________________________________
-Il y a des moments que l'on ne voudrait jamais oublier.
Annabeth entra dans l'imposant bâtiment, les plafonds hauts, les miroirs de l'entrée, cette entrée qu'elle avait par mille fois traverser en allant travailler, cette entré, celle de sa seule maison. Elle se regarda un instant dans le miroir, ses cheveux blond était dans un chignon soigné et son tailleur pantalon mettait en valeurs ses longes jambes, elle n'était plus habituer à se genre de vêtements sombre et carré, sans saveur, ni odeur en dehors de celle de l'assouplissant. Elle regretta ses longues robe en soie ou en flanelle, légères et colorée, ses robes que Victor aimait tant, ses robes qu'elle avait fini par adorée. Ses robes qui reposait dans un des cartons de son appartement, ces robes qui sentaient encore l'odeur de sa maison, de Victor et de tous se qu'elle avait perdue. Elle secoua la tête, elle devait être forte, juste cinq petites minutes, cinq minuscules petites minutes et elle pourrait partir d'ici. Annabeth souffla et s'engouffra dans l'ascenseur montant directement aux trente-deuxièmes étages.
Elle descendu de l'ascenseur et respira un grand coup avant d'aller directement dans le bureau de son directeur. Le couloir au sol noir et les immenses bée vitrée n'avait jamais semblé aussi long à la jolie blonde. Il était sombre, un peu comme l'homme qui occupait dans ses souvenirs, il ne souriait pas souvent et il lui avait toujours fait peur, sans doute car il était une menace qu'elle ne pouvait contrer. Soufflant, Annabeth lissa son pantalon, réajustant sa chemise parfaitement blanche.
Son anneaux tournait autour de son doigt, elle le regarda avec tendresse, une tendresse nouvelle, celle de ceux qui avait refusé de mener cette vie plus heureuse, celle de ceux qui en peine de cœur attendait patiemment que la mort vienne. Elle l'embrassa du bout des lèvres et murmura le prénom de son mari avant de regarder la porte. Elle toqua finalement à l'imposante porte en bois vernie et entendit la voix grave d'Hadès s'élever, lui disant d'entrée. Elle poussa la porte et pénétra le bureau dans le bruit de ses talons frappant à rythme régulier le sol.
L'homme, grand, brun, ténébreux se tenait assis sur le coin de son bureau, un autre homme tout aussi grand, plus muscler et aux cheveux grisonnant se tenait debout à côté. Ils étaient comme plonger dans la lumière, la blonde compris pourquoi partout on les appelait les trois grands. C'était de ses géants que rien n'arrêtent, qui marche sur le monde, transforme la planète. Personne ne peut réellement avoir rencontré des dieux mais en les voyants dans leurs costume noir, leurs cheveux jeter en arrière et se regard incroyable de soldat, Annabeth se dit que si Dieu existait, il devait ressembler à cela. Ils étaient charismatiques, séducteur, puissant, impressionnant et divins. Ils avaient cette grandeur que seul certain arrivait à dégager. Elle les regarda et se sentit happée dans le regard bleu électrique de Zeus avant de sombrer dans celui abyssal.
La blonde les salua de la tête avant de remarquer la sublime femme qui assise dans des fauteuils dans un tailleur crème flatteur la regardait en souriant doucement. Se sourire dénuer de tendresse, se sourire creux et que personne ne connaissait mieux qu'elle et Malcolm. Elle se pinça les lèvres en la voyant balancer ses boucles brunes en arrière et avec sa grande bouche rouge et blanche sourire de toutes ses dents. Sa mère était une belle femme, n'importe qui aurait été d'accord, elle n'avait rien perdu en beauté depuis toutes ses années et cela serra le cœur de sa fille ; elle qui avait tellement vieillie se retrouvait face à une des plus belles femmes que le monde n'est jamais porter.
Annabeth regarda sa mère se lever et avec une démarche de femme assurée elle vient la serrer brièvement contre elle, il n'y avait aucune tendresse, elle sentait tout juste que sa mère avait pensé à elle parfois. La brune regarda sa fille, détaillant son visage ovale, ses pommettes, sa petite fille qui avait maintenant le vissage d'une femme mure.
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"La famille pour les nuls"
FanfictionPercy avait un jours tenu une grenade à mains nues, il avait sauté d'un avions en chute libre et déjà dit à son cousin germain Nicolas que cette années ils ne mangeraient pas leurs traditionnel Mcdo du vendredi en rentrant de missions. Bref, il avai...