*Annabeth*

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Et voila la suite, on voit enfin Annabeth qui n'était pas encore apparut dans cette histoire et qui me manquait un peu je dois l'avouer.

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-L'une des plus grandes douleurs de la vie et d'aimer quelqu'un que tu ne peux pas avoir... 



Annabeth avait toujours travaillé dur, elle s'en était même ses mots d'ordres, un travail dur, acharnée et productifs qui menait à de précieux résultats. Tous dur labeurs menait un jour à une progression. Elle avait travaillé dur toute sa vie et c'était montrer intelligente, talentueuse et douer. Elle était devenue un agent promus et reconnus pour son travail précis et efficace, pas de sentiments, pas d'émotions, pas de doutes, pas de remises en questions. Alors forcement quand on lui avait proposé cette mission de la plus haute importance en Russie, elle avait sautée sur l'occasion et sans réfléchir à son âge ou à ses projets elle avait sauté dans le première avions direction Moscou et son froid mortel. Et maintenant...

Aujourd'hui elle revenait sur sa terre natale, elle retrouvait son petit monde et doucement alors qu'elle se douchait dans son appartement, dans l'appartement qu'elle avait quitté six ans plutôt en partant. Cet appartement blanc. Elle enfila rapidement une robe bordeaux, une robe que l'on lui avait donner, une robe qu'elle n'aimait pas, et se regarda dans la glace, ses yeux gris orageux la fixait et elle frissonna. Elle avait les yeux gris de sa mère, se même regard de glace, dur, froid et cruel qui sans sentiments jugeait le monde inlassablement, elle avait les yeux gris d'Annie Chase, le même regard qui faisait que aujourd'hui son visage lui rappelait que tout se qu'elle était, sa mère l'avait mit au point pour elle. Sa mère était une femme exceptionnelle, compétitive et intelligente, mais surtout elle avait toujours voulut que Annabeth sois un agent remarquable, parfaite, sans aucun défauts. Et petit à petit sous la pression de sa mère, Annabeth commençait à penser qu'elle c'était briser en millier de cristaux.

A six ans, la blonde savait écrire dans dix langues différente, en parlaient couramment huit, savait chanter, jouer de la harpe et du piano, lisait du Victor Hugo et montait à cheval sans problème. Elle savait se battre, était entraîner quotidiennement au judo, karaté et autres arts-martiaux, savait se servir d'un couteau comme d'un fusil et saurait énumère les yeux fermé les différents rois de France. Mais jamais elle n'avait eu de poupée, elle n'avait joué avec sa mère. Annabeth avait toujours été élevé comme cela et ne c'était jamais poser de question, finalement c'était devenue normale. Après tout, si sa mère le voulait alors elle le voulait aussi.

Elle s'en était convaincu, elle devait le vouloir, à tout prit sinon, sinon cela voudrait dire qu'elle avait tout endurée pour rien, que tout cela était une erreur et plus que tout, la blonde voulait le vouloir au moins un peu.

Le temps passait, elle était douer évidemment, elle aimait son métier mais parfois elle avait envie de poser l'ancre, de ne plus courir partout, puis sa mission en Russie était tellement longue, tellement puissante, le genre de mission ou l'on ne sait plus réellement qui on est à la fin. Parfois encore, elle se demandait qui elle était, Annabeth agent spécial Américaine de vingt-deux ans ou bien Natalia, jeune femme Russe et marié au ministre Russe Victor Nikirov. Elle se perdait entre elle et son rôle, entre elle et sa vie russe, fausse il est vrai mais aussi remplis que chose qui manquait à sa vie. Victor était un mafieux oui, il était même un criminel, il était une personne détestable sur papier et elle l'avait connus assez longtemps pour savoir que tuer était une méthode comme une autre. Néanmoins, elle savait qu'il l'aimait vraiment, beaucoup, trop, Natalia était sa plus grande faiblesse, Victor aurait fait n'importe quoi pour elle, il se serait suicidé si elle l'avait voulue.

Sa mission était simple, charmer Victor ou Vladimir les deux héritiés d'un groupe de mafieux russe, un ministre et un colonel, elle devait se faire passer pour une jeune femme de dix-huit ans. Elle devait s'infiltrer et donner le maximum d'information à l'agence. Au fils du temps elle avait été séduite par Victor, par ses boucles russe, par ses yeux noir, par son sourire. Puis elle avait découvert le vrai Victor, celui qu'il ne laissait pas voir au travail, celui de quand dans ses bras il riait.

Annabeth soupira et s'assis au sol, cet appartement n'était le sien que sur papier, il était vide de tous objets personnels et aussi froids et minimalistes que ses yeux. Sa maison en Russie lui manquait, son grand salon au canapé de velours, ses rideau blancs, ses poutres en bois, ses grandes bibliothèques. Elle souffla. La bas elle était aimer, Victor l'aimait et au fond même si cela la dégoutait de le pensée, elle avait fini par l'aimer aussi, pas d'un amour aussi puissant que le siens c'est vrai mais elle l'aimait sans doute plus que n'importe qui sur cette planète. Il était gentil, doux et sensible, elle aimait son sourire, se tenir accrocher à son bras, quand ils lisaient les jambes entremêler dans le canapé. Elle aimait aller à l'opéra le jeudi avec lui, comme elle aimait son odeur, elle aimait Victor et le perdre était un déchirement. Son être était partagé entre ses devoirs, cette mission et l'amour qu'elle portait à l'homme qu'elle avait épousé il y a quatre ans. Six ans. C'était tellement long six ans, en six ans son esprit avait le temps de se perdre. Elle referma ses bras autour de son corps et revis un instant le visage angélique de Victor lui sourire alors que de ses grands yeux noir il la regardait comme la huitième merveille du monde. Elle aimait être avec lui et maintenant, il lui manquait.

Mais Victor ne reviendrait plus jamais, il était partit en fumé avec ses rêves, ses rêves, leurs rêves de famille, d'avenirs au quel elle avait fini par croire. Il ne devait pas mourir, jamais, leurs groupes était surveiller par précaution. Mais quand les agents son arriver pour récupérer Annabeth, il a crue qu'ils l'enlevaient, qu'ils lui faisaient du mal alors sans hésiter, en bon héros tragique qu'il était il c'était jeter devant elle. Avait menacé un des agents qui paniquer avec appuyer sur la détente alors qu'Annabeth criait. Maintenant il était partie, il ne saura jamais combien elle avait pus l'aimer.

Elle fit rouler son alliance autour de son doigts et alors qu'elle revoyait le jour de son mariage, l'église, le prêtre, Victor dans son beau costume noir et son regard qui s'illumine : elle explosa en larme.

Et dans le grand appartement New-Yorkais, une jeune femme blonde, rouler en boule pleurait, elle pleurait sa jeunesse voler, son cœur déchirée entre passion et raison, elle pleurait cette vie si douce que l'on lui avait injustement arraché, elle pleurait toutes ses occasions d'être heureuse. Elle maudissait le ciel de lui avait donné cette mère incapable de tendresse, si dur, si stricte, de l'avoir fait devenir espionne, de l'avoir en voyer en Russie et pire, de lui avoir prit le seul homme qu'elle n'a jamais aimé et qui l'ai un jour aimé pour se qu'elle était vraiment.

"La famille pour les nuls"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant