*Percy*

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Décidément je lui file vraiment toujours le mauvais rôle à se garçon; Néanmoins pour moi c'est un personnage adorable que j'aime beaucoup. J'adore écrire sur lui et sur ses émotions car j'imagine toujours un bazars monstre. J'espère que vous aimerez cette partie.

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-Il n'y pas un monstre auquel tu ne t'attache pas...

J.R ; Les animaux fantastiques 2


Percy n'avait que rarement été étonné depuis que son père l'avait amené pour la première fois à l'agence. Il avait neuf ans et se souvenait encore quand derrière son père il avait traversé l'entrée, les colonnes en marbres, les moulures et l'accueille aux portes en verres. C'était majestueux, grand et tellement impressionnant comme lieu qu'il se souvient avoir été scotché face à tout cela.

Son père et sa mère l'avait élevé loin de tout se monde jusqu'à et il n'avait jamais eu de contact avec le monde et la famille de son père. Ils vivaient dans une grande maison loin de la ville avec un lac privé dans lequel il passait ses étés et il n'avait jamais pensé qu'il arriverait un jour dans une agence secrète. Comme dans les films en noir et blanc de sa mère. Percy se souvenait qu'ils avaient été dans un dojo où un grand homme brun qui ressemblait étrangement à son propre père entraînait deux enfants au corps à corps avec un couteau.

Pour sûr, sa première rencontre avec son cousin et sa cousine avait laissé un souvenir indélébile dans sa mémoire. Après tout, Nicolas Di Angelo avait l'incroyable regard d'un soldat à six ans. Pourtant Nico était plus petit et plus maigre que lui ; leurs seule similitudes était leurs cheveux brun nuit onduler, mais Percy avait des yeux bleu lagon et son cousin noir comme une nuit sans étoile. Puis se regard de tueur, cette prestance, le brun avait tout de suite été attaché à se petit garçon tellement grand. Bianca avait un an de moins que lui et l'avait mit au tapis en trente seconde d'après son père.

Si Nico était un tueur, Bianca était aussi agile qu'un chat et forte qu'un titan, elle était imprévisible et extraordinaire, après tout c'était elle l'héritière d'Hadès Di Angelo. Puis c'était l'héroïne de son petit frère. Et Percy avait tout de suite aimé cette fille aussi forte que son père. Par la suite, il avait toujours vécu dans l'immeuble de l'agence avec eux, entrainement avec eux, grandissant avec eux ; il avait l'impression d'avoir toujours vécu avec eux et jamais rien ne serait plus important que sa famille. Puis vers ses quinze ans alors qu'il s'entrainait, Zeus le frère de son père était arrivé dans leur dojo avec un garçon aux yeux aussi bleus que le ciel et aux cheveux aussi blonds que le soleil, il était plus grand que Percy et plus fort que Bianca, il s'appelait Jason comme le héros grec, il était le fils de Zeus et accessoirement leur cousin germain. Le blond était un peu comme superman, invincible et super-naturel. Jamais personne n'avait fait autant d'effet à Percy, son cousin de quatorze ans était devenu en quelque jours son rival par excellence ; ils se lançaient des défis absurde et était clairement les meilleur ennemis-amis du monde.

Et durant toute son adolescence il avait grandit avec un blond têtu et qui dégageait une auras de danger alors quand la personne masquée arriva devant eux il sue immédiatement que cette personne ne dégageait pas un gramme de danger. Pourtant, quand elle fonça vers lui en courant presque plus vite que Bianca il eu un mouvement de recule et presque aussi vite, Nico se plaça devant lui et bloqua la lame de leur adversaire avec son sabre. Percy l'entendit jurée et il croisa le regard noir abyme de Nicolas quand il lui hurla en anglais de se barrer d'ici avec Valdez.

Percy se souvient soudainement qu'il portait toujours leur ingénieur sur le dos et que contrairement à Nico il n'avait pas les mains libres pour se battre. Mais bon sang il détestait l'idée de l'abandonner ici sans personne pire avec un adversaire en face. Néanmoins il tourna le dos à son ami et serrant les dents courut aussi vite que possible vers la sortie en espérant que Nico sois rapide et le rejoigne rapidement. Il hurla cependant un ordre en tournant dans un couloir.

« Ne t'avise pas de mourir ! »

"La famille pour les nuls"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant