1. Préfet et préfète.

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Priscillia Fawley était une fille très sage. Aucune retenue, réprimande ou tout autre chose. Alors quand une stupide serpentarde commença à insulter son nom aussi pur que l'or, elle cru qu'elle allait entacher son splendide parcourt scolaire de sang.
La jeune fille fut d'autant plus surprise de voir la personne qui arrêta cette peste dans sa tirade. Il n'était pas commun qu'elle est besoin de quelqu'un. La noiraude avait un caractère très fort, peu de personnes osaient la défier. Ce jour-là, il fallut de peu avant un drame que toute autre personne observant la scène avait imaginé. Le cadavre dans une autre dimension partit accompagné de deux chiens. Un vrai cliché.
Elle soupira avant de se tourner vers le sauveur de cette fille. En effet, le fait que Tom Elvis Jedusor est défendu Priscillia Fawley était une chose irréelle.
De toutes les mémoires présentes à cet instant, aucunes n'avaient le quelconque souvenir d'un contact même visuel entre les deux personnages qui se fixaient aujourd'hui.
En effet, la préfète de Serdaigle et celui de serpentard se jaugeaient devant une multitude de paires d'yeux avides de potins à raconter ce soir dans les dortoirs.
Mais rien d'extraordinaire ne se passait. Priscillia essayait d'analyser quelque chose dans le regard du Tom, pour essayer de comprendre cette acte. La tête légèrement relevé pour mieux voir son visage, elle finit par sourire et lui tendre la main.

— Je te remercie, Tom.

Cette phrase, aussi basique soit-elle, eut l'effet d'un étranglement pour beaucoup. Depuis plusieurs mois, les serdaigle et les serpentard étaient rentrés dans une guerre froide. Depuis un match de Quiddith, le premier à vrai dire, le 2 novembre 1943. Les batteurs de la maison des serpents avaient violemment attaqués leur attraper qui allait lui attraper le vif d'or. Une haine farouche avait donc envahi le cœur des aigles.
Alors, les mots prononcés par la préfète furent comme un enterrement de la hache de guerre.

— De rien, répondit Tom en serrant la main tendue de la jeune fille.

— Qu'est ce que c'est que ce regroupement ! Allez, dispersez-vous ! hurla le concierge de l'école en agitant ces mains follement.

Peu à peu, les gens partirent dans des directions toutes différentes mais les préfets restèrent. Tout deux savaient que leur discussion n'était pas tout à fait terminé.

— Pourquoi ? A ce que je sache, tu ne fais jamais rien sans rien, Jedusor.

Le jeune Jedusor songea au fait qu'elle l'appelle à présent par son nom de famille. Non pas qu'il préférait son prénom, tout deux le répugnait. Mais il nota chez la jeune fille, un manque soudain de vie et d'engouement qui lui était pourtant habituel. Peut être était-ce un profond détachement envers sa personne qui créait cela. Peu importe.

— Ne crois pas que j'ai voulu un jour te défendre, Abraxas voulait te défendre mais l'idée qu'il ne t'aime plus ne tiendrait plus s'il le faisait. J'ai décidé d'arrêter ces états d'âmes d'enfants et d'y aller.

Priscillia ria. Sincèrement et plutôt fort même. La situation était assez comique et elle préférait en rire gentiment que penser à sa stupide malédiction. Une malédiction selon ses amis qui comprenait Abraxas et trois autres garçons. Armand, Armistad et Albert. Tous étaient sortis avec la jeune fille. Chacune de ces relations s'étaient mal terminés.
Armand avait fini accrocher à un lustre dans la salle des serdaigle après avoir insinué la présence de sang de moldu dans ses veines. Aujourd'hui, il baissait la tête chaque fois qu'elle passait près de lui.
Armistad était un garçon de Griffondor, avait lui aussi son sang mais du toute autre manière. Il avait insulté son propre et unique grand frère. La prunelle de ses yeux. Il avait fini, lui, au milieu du lac noir, nu et attaché solidement à un bâton de bois. Elle le haïssait toujours à présent.
Albert était à Poufsouffle, elle se demandait toujours comment un garçon aussi abjecte avait pu atterrir dans une maison aussi douce. Ce garçon était réellement méchant. Il lui avait un jour craché un tas d'obscénités à la figure puis été partis. Puis alors qu'il marchait fier, il se sentit brûler de l'intérieur. Un mauvais sort que Priscillia affectionnait personnellement.
Plus récemment, il y eu Abraxas Malfoy. Un serpentard. Personne qui s'apparentait le plus à un ami pour le jeune Jedusor, car après tout Tom n'avait personne, encore moins d'épaules sur laquelle posait sa tête. Elle était sorti deux mois avec lui. Tout était parfait. Et il la trompa avec une serpentarde sans aucune intérêt. Aucune vengeance ne vint. Elle avait juste pleurer toutes larmes qui avait un jour parcourue son corps. Elle pleurait encore, parfois.

PLUS PUR QUE L'OR | 𝘛𝘖𝘔 𝘑𝘌𝘋𝘜𝘚𝘖𝘙 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant