⚠️attention ce chapitre contient une scène de sexe assez violente âme sensible s'abstenir⚠️
Point de vue de Moon :
Je n'avais pas besoin de me retourner pour reconnaître le propriétaire de cette main. Pourquoi il était là ? Pourquoi il était revenu si vite ? Il devait être parti pour 5 mois et ça ne faisait qu'un mois et demi que j'étais seule. Un éclair me traversa l'esprit il avait vu la vidéo.
Mes muscles s'étaient tétanisé à son contact mais je prenais mon courage, il fallait que je parte le plus vite possible.
- N'essaye même pas de t'enfuir tu ne ferais que te rendre plus ridicule que tu ne l'es déjà et puis tu ne voudras pas attirer l'attention sur toi je me trompe ?
C'est comme si il avait lu dans mes pensées, il fallait que je me fasse à l'idée que je ne pourrais jamais lui échapper. Je fis donc demi-tour en direction de la porte d'entrée le regards baissé, sa main toujours sur mon épaule. J'entrai dans la maison et il refermait la porte à double tour derrière moi.
Je sentais sa présence pesante dans mon dos, j'attendais qu'il parle ou qu'il agisse je ne sais pas mais je ne bougeais pas de ma place, la tête basse.
- Dans ta chambre tout de suite !
J'avançais en direction de celle-ci avec mon père suivant mes pas. Une fois dans cette dernière avec mon géniteur celui-ci verrouilla la porte. Je commençais à paniquer, il n'avait jamais fait ça auparavant.
- Alors que j'étais en voyage d'affaire un collègue m'a montré une vidéo très intéressante tu veux savoir laquelle ?
Je ne répondais pas.
- Il s'agissait d'une vidéo de toi prenant du bon temps. Avec une fille en prime de cela, même quand je suis dans un autre pays tu te débrouilles pour me faire honte. Comment s'appelle cette fille ?
Je ne répondais toujours pas je ne voulais pas qu'il s'en prenne à elle, Sasha n'avait rien à voir là dedans. Il prit mon visage dans sa main, ses longs doigts encerclant le bas de celui-ci.
- Je répète ma question comment s'appelle-t-elle ?!
Je dégageais mon visage de sa main d'un coup sec lui montrant que je ne plierai pas.
- Très bien tu ne veux coopérer je vais te montrer que les hommes sont meilleurs et que tu ne dois pas aimer une traînée.
Je me senti projeté sur mon lit, je vis mon père sortir des menottes, je voulus m'enfuir mais il avait plus de force que moi il attacha mes poignets et mes chevilles à mon lit. Je lui imploré d'arrêter comprenant ce que cet homme avait en tête mais il ne m’écoutait pas.
Il se mit à califourchon sur moi et arracha mes vêtements me laissant nu et attaché. Il commença par mordiller mon cou tant dit que j'hurlais pour qu'il arrête ses gestes. Mais rien n'y faisait il descendit sur mes seins et y fit la même chose que sur mon cou, il mordillait mes bouts de chair. Je n'hurlais plus je pleurais seulement car je savais que le pire était à venir. Il remonta vers mon visage, il releva celui-ci le plus haut qu'il pouvait et me força avec une résistance de ma part à introduire son membre en entier dans bouche et me fit entreprendre une fellation forcée. Des larmes coulés abondamment sur mes joues, comment un père pouvait faire ça à sa propre fille parce qu'elle préfère les femmes aux hommes. Après de longue minutes de fellation sous la contrainte, il se recula et s'enfonça violemment et d'un coup sec sans préparation en moi ce qui m'arracha un hurlement, je me cambrais sous l'effet de la douleur. Il venait de me déchirer de l'intérieur et de me voler ma virginité au passage. Chacun de ses coups se faisait plus violent et plus douloureux que le précédent, il griffait mon corps de ses grandes mains. Je voyais qu'il prenait son pied vu ses gémissements rauque, je sentais sa verge gorgé de sang en moi et ça me répugnait, j'étais sale, j'étais déchiré, j'étais détruite. Je me disais que peut être si je simulais il allait probablement finir par arrêter. Ça faisait bien un moment que je n’exprimais plus aucune émotion donc si je commençais à « prendre du plaisir » il n'y verrait que du feu. Je commençais donc à pousser quelques gémissements de plus en plus fort et il y croyait. Je lui demandai de me détacher pour que je puisse lui donner plus de plaisir, ce qu'il fit. Je l’allongeais sur le dos et pris son membre dans ma main et commença à lécher ses boules de chairs. Avec ma main je commençais de léger va et vient en accélérant le rythme je l'entendais gémir de plaisir. Je soufflais sur le bout de son gland avant de lécher ce qui lui fit lâcher un râle très rauque.
Je mis son membre en entier dans ma bouche et entama une fellation. Il me demanda de me retourner de façon que je sois dos à lui pendant ma fellation. Il commença à donner des coups de langue sur ma fleur détruite par sa faute. Malgré que je ne ressentais aucun plaisir à ça, je ne pouvais m'empêcher de lâcher quelque gémissement. Il finit par mettre sa verge à l'intérieur de moi après plusieurs coup de rein je simulais un orgasme, lui était fière moi beaucoup moins. Quand il senti qu'il allait venir il me demanda de le sucer une dernière fois et il joui dans ma bouche, ne me laissant pas le choix d'avaler.
- Bonne fille ! Tu vois quand tu veux
Sur ces mots il partit, moi je pleurais intérieurement j'étais détruite, j'étais une pute, j'étais sale. J'avais donné mon corps entièrement pour que ça se termine plus vite. J'étais nulle, mon corps n'était que douleur et souffrance autant physiquement que psychologiquement mais au moins il ne connaissait pas le nom de Sasha.
Il fallait que je m'enfui. J'enfila les premières fringues sous ma main et j’ouvris ma fenêtre, j'étais au premier étage donc je pouvais ne pas me blesser d'avantage, quoi que à ce moment là j'avais envie de mourir et de sauter la tête la première sur le bitume. Mais je me résignais et sautais juste pour atterrir sans trop d'encombre. Une fois que je n'étais plus visible depuis la maison je me mise à courir vers la maison de Sasha, l'adrénaline me permettait de courir malgré la douleur intense que je ressentais. Arrivé devant sa porte je frappa avec force j'avais peur que mon père ne soit derrière moi. La porte s'ouvrit sur la mère de ma petite amie, elle avait l'air de s'être réveillé, je ne savais pas l'heure qu'il était et je m'en foutais. Je vu ses yeux s'agrandir elle venait de se rendre compte de mon état pitoyable. Maintenant que j'étais en lieu sûr la pression redescendit et la douleur était si intense que je fis un malaise.
VOUS LISEZ
Homophobia
Tiểu Thuyết ChungQuand ton orientation sexuelle fais de toi une anomalie de la société... Sasha, jeune étudiante, déménage avec sa mère à Busan pour sa dernière année de lycée. Nouvelle vie, nouveau pays, nouveau lycée, nouveaux amis, une année qui va chambouler la...