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ɪᴍᴀɢɪɴᴇ sur yeosang, membre du groupe Ateez.
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Dans une grande ville, sûrement la plus grande du territoire. Une énorme bâtisse représente le milieu de cette capital, elle regarde de haut toutes les maisons et immeubles qui l'entour.
Le bâtiment à tout les trais d'un château construit lors de l'époque de la renaissance. Où la beauté et l'art pour plaire était le plus important. Chaque détails comptaient, si à peine une pétale de la fleur se trouvant dans l'angle extérieur du balcon était raté, tout était fichu. Car même si le défaut est petit, c'est la seule chose que l'on voit dans un décor de beauté.
Le grand ensemble était construit de plusieurs bâtiments, les couloirs étaient larges et majestueux, les chambres de toutes les tailles se comptait par centaines et le jardin, lui aussi parfaitement entretenue, chaque buissons taillés aux centimètres carrés par des domestiques plus nombreux que les habitants de cette grande maison, s'étendait sur plusieurs kilomètres en entourant le château qui formait lui même un carré, protégeant une petite cours en son milieu.
Le château était construit sur une colline assez haute mais pas trop pour ne pas être considéré comme une montagne. Celle ci lui donner sa hauteur par rapport au reste de la ville. Il était en même temps, le centre de la cité mais il était aussi à l'écart du reste de la population. D'ailleurs considérer comme intouchable par eux.
En haut des huit tours qui augmenter encore la majestuosité du bâtiment, flottait au vent plusieurs drapeaux colorés que tout le monde serait capable de reconnaître dans le pays. Les couleurs de la fameuse famille royale. À la différence de l'époque de la révolution en 1789, celle ci est adoré par son "peuple". La famille est belle, riche, intouchable. Les princes sont les fantasmes de toutes les jeunes filles -ou presque- du pays et les caisses remplis d'or sont les rêves de tous les hommes et femmes d'affaire voulant toujours avoir plus. L'humain est avare et jaloux de nature, l'herbe dans le jardin du voisin et toujours plus vert que celle dans le sien.
Pour atteindre ce musée vivant, il n'y a qu'une seule route. Longue et large qui monte vers le sommet de la richesse, entouré d'arbres changeant de couleurs aux rythmes de la royauté et non pas des saisons. Ce chemin est fermé par un grand portail plus grand et plus précieux que la maison d'un citoyen de la capitale. Celui ne s'ouvre que devant la voiture royal. I l est alors impossible pour n'importe qui d'espérer atteindre ce château représentant de la gloire et de la richesse.
En descendant un peu plus loin du château, on croise dans le coin d'un chemin tout l'inverse. Une petite bâtisse en mauvais état qui tient durement debout. Elle n'a en rien la beauté des sculptures de la renaissance et ne donne pas envie de s'en approcher. Seul une petite phrase en lettre de bois accrocher sur la façade prouve qu'il y a encore de la vie dans la maisonnette.
