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ɪᴍᴀɢɪɴᴇ sur Seonghwa, membre du groupe Ateez. ━━━━━━━━ ❞
Part.⁶
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"- papa... souffla la jeune femme.
- ce n'est rien.. répondit doucement le vieil homme fatigué. "
Doucement il prit son enfant dans ses bras tremblant de fatigue, caressant doucement ses cheveux en cachant son visage triste derrière sa tête. Grâce à sa fille, il avait retrouvé la liberté, retrouvé le soleil, sa maison, le calme. Mais pas sa propre fille. À peine une minute hors des barreaux et il devait déjà se retrouver à nouveau seul. Dire au revoir à son enfant pour il ne sait pas combien de temps. Quelques jours, quelques semaines, même peut être plusieurs années ou à jamais.
Des larmes apparaissèrent au bout de ses paupières, le vieil homme était triste. Triste de perdre sa propre fille contre sa liberté. Mais à quoi bon être libre si l'on est seul. Le voilà donc à devoir rentrer avec lui même dans leur vieille maison, laissant derrière lui son propre enfant.
Ses bras ne voulaient pas arrêter l'étreinte et les larmes étaient difficiles à stopper.
"- père. . Souffla doucement une nouvelle la jeune femme, demandant ainsi à son père de la lâcher.
- je sais. . Répondit il la voix tremblante, essayant de retenir du mieux possible ses larmes déjà abondantes.
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Son père retourné chez eux, la jeune femme se fait guider à l'intérieur du palais à travers des couloirs plus long les uns que les autres. Encore triste des étreintes précédentes de son père et elle, elle avance la tête basse jusqu'à ce qu'ils s'arrêtent devant une porte. L'homme qui l'accompagnait lui ouvrit la porte et la laissa entrer avant de fermer derrière son passage et de repartir vaquer à ses occupations.
Enfin seule, elle se retrouva dans une très belle chambre claire. Les murs étaient décorés d'un fond beige accompagné de quelques dorures. Le lit posé au milieu de la pièce était énorme, peut être plus grand à lui seul que la chambre entière de leur vieille cabane, sans oublier les draps blancs semblant aussi doux et confortable qu'un nuage de coton. Les meubles en bois étaient si parfaitement bien sculptés qu'elle n'arrivait pas à croire qu'ils étaient réel. Et c'est sans compté sur les dizaines de robes et d'accessoires rangés dans le couloir plus beaux les uns que les autres. C'est la bonne nouvelle de cette situation, pensa t-elle avant de se laisser tomber sur les draps.
