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. 0.02 ➥ You'll believe God is a woman •
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Dans une grande salle lumineuse où les meubles ne jetaient qu'une image de richesse et de pouvoir. Ils étaient d'un tel luxe qu'ils semblaient dessiner de la main d'un professionnel, qu'ils semblaient émaner une drôle de présence imposante, lourde et trop parfaite. Aucune poussière ne faisait tâche dans le décor.
C'est sur la grande table centrale grandement habillé de plusieurs couverts et faïences bien emplis que trois femmes prenaient calmement leur déjeuner, faisant légèrement grincer la fourchette à chaque contact avec l'assiette.
Le choix était pour tous les goûts, salé comme sucré, passant d'une jolie corbeille de fruits colorés à quelques pancakes encore chauds émanant une douce odeur jusqu'à même un bol d'oeufs brouillés accompagné d'une viande fumé. Les trois femmes installées autour de la table ronde ne parlaient, plutôt concentrées sur leur repas. Mais le silence n'était pas désagréable, pas pesant, c'était plutôt comme si chacune l'appréciait. C'était un calme apaisant, prisable et sensible.
Elles étaient chacune habillées de tenue légère, équivalant à des habits de nuit mais eux aussi semblait d'une qualité luxueuse. La longue robe blanchâtre de l'une était virevoltante, légèrement transparente et décorée de quelques froufrous bombants. Les longs cheveux bruns clairs d'une autre étaient parfaitement lisses, doux comme un tissu de satin tout en tombant en cascade dans son dos. Ainsi que le parfum de la dernière ressemblait à un mélange de vanille et de miel. Ajoutant leurs peaux parfaites, pas fatigué par le travail, pas ridé par les attaques du temps qui passe et leurs mains semblant aussi douces que la peau d'un bébé, aucunement abîmé par le labeur.
Une chose était sûre, ces trois femmes ne venaient sûrement pas d'un district. Et il n'y avait qu'un seul endroit où la vie permettait autant d'attention physique et la possibilité de vivre dans des bâtiments réellement construit de pierres : Metropolis.
Metropolis, la capitale et la ville centrale du royaume. Une cité où il faisait bon vivre, où la pauvreté n'était qu'un mythe et les difficultés n'existaient pas. Cette ville était à la pointe de la technologie, tous les bâtiments, les transports et chemins étaient alimentés grâce aux techniques les plus avancés. Mais ça n'obligeait les rues à ressembler à un film de science fiction, avec des buildings grisâtres imposants et des panneaux lumineux à tous les coins. Non, Metropolis se permettait de ressembler plus à un jardin à la française mélangeant nature et Homme. Les maisons étaient longues, dans les tons clairs similaires à des châteaux de la renaissances. Et tout autour de chacun d'entre eux la nature s'amusait : arbres, buissons, parterre de fleur, lierres ou encore rosiers. Tout ce vert si apaisant et accueillant cachait en vérité sous sa terre un boîtier géant qui alimentait toute cette ville. M
etropolis était la ville toujours à la dernière pointe de la mode, ses habitants n'avaient évidemment aucun mal à répondre à leurs besoins et envies et leurs personnalités comme goûts étaient vu comme farfelu, presque fous, par les habitants de district. Ils les trouvaient abracadabrants mais ils auraient aussi souhaité pouvoir être à leur place, car la vie entre Metropolis et les districts étaient bien différentes, et l'un des deux avaient assurément plus de facilité.
La capitale était aussi incroyablement habité par une majorité de femmes. Évidemment il y avait nombreux hommes, mais par le pourcentage les femmes étaient légèrement supérieures. Car celles ci semblaient mieux réussir leur vie et leur carrière. Mais un second facteur pouvait aussi être une possibilité de la sur-présence de femmes : les personnes à la tête de la capitale étaient elles même des femmes.
Trois femmes, trois soeurs, trois cousines qui se tenaient à la tête du territoire, qui contrôlaient les affaires de celui ci grâce à leurs intelligences que l'on disait imbattable. C'était trois femmes, intouchables, presque considérées comme des légendes, des divinités, qui avait permis au Royaume de retrouver le calme. Les habitants de Metropolis les adulaient comme des stars à chacune de leurs rares apparitions et ceux des districts les haïssaient ou n'en avaient que faire d'elles. Les haïr. Car si elles avaient offert à la capitale tout ce qu'elle souhaitait, elles avaient abandonnés les districts, elles les rabaissement et les faisaient souffrir. Pour beaucoup, ces trois femmes étaient la raison de leur rude vie, ces trois femmes étaient les personnes à abattre pour le prix de la liberté. Mais certains en doutaient. Dans les districts, avoir des images de Metropolis et des nouvelles de celle ci était très difficile, alors beaucoup n'avait même jamais vu ces trois femmes et pensaient même qu'elles n'existaient. Comment. Comment trois jeunes femmes pouvaient être à la tête d'un territoire entier ? Se disaient certains, ne pouvant pas croire à leurs existences.
Pourtant elles existaient bien, Metropolis les connaissaient elle.
"- l'homme du district ouest n'a toujours pas été retrouvé. Souffla la plus âgée des trois en posant ses couverts à côté de son assiette.
- il n'est pas une menace, nous ne devrions pas nous en inquiéter. Ajouta la brune.
- sauf qu'il peut pousser les autres d'en faire de même. Nous ne pouvons pas laisser les districts rêver à la révolte. Augmentons les soldats autour de ceux ci, pour calmer les ardeurs des possible révolutionnaires. Lança sérieusement la dernière."
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Les femmes méritent les meilleurs rôles.
● une recherche scientifiquement a prouvé que les commentaires permettent aux auteurs d'être 90% plus déterminé à écrire les chapitres suivant.
