𝙹𝚎 𝚗𝚎 𝚜𝚞𝚒𝚜 𝚙𝚊𝚜 𝚝𝚊 𝚋𝚘𝚗𝚒𝚌𝚑𝚎 ᶜʰᵃᶰᵇᵃᵉᵏ

일요일 & 월요일

LUNDI & MARDI

Licenciement injuste !

Le soleil rayonne sur toute la ville de Séoul, la chaleur étouffante mélanger à la fumée des pots d'échappement des voitures crée une atmosphère pesante, la boule de feu écrasée ses rayons sur les vitres teinté d'un bâtiment assez moderne, haut de plusieurs étages, mais qui semblé se vidée de la plupart de ses occupent, des salariés la plus part. De nombreux hommes et femmes descendez les marches d'un pas las de l'établissement les bras charger de carton, ils affichaient tous un visage sombre qui contraster avec la journée lumineuse. Le dernier des employer qui sortie de ce lieu, fut moi, Baekhyun 26 ans toujours célibataire et maintenant au chômage.

J'étais extrêmement frustré de quitter cette compagnies, ça fessait à peine 2 ans que j'y travailler et il a fallut qu'elle fasse faillite. J'ai le chiqué pour toujours tomber sur des plans foireux, je pense avoir la poisse. Je traverser la rue en direction de mon véhicule, quelques collègues me fit un signe de main amicale que je leurs rendis, c'était peut être la dernier fois que je l'ai voyaient. J'avais rangé mon seul carton sur la place avant passager, j'avais fermé la portière de ma voiture et je juré intérieurement. Qu'est-ce que j'ai bien pus faire au bon dieu ?

J'appuis sur l'accélérateur de ma voiture et rejoins mon petit appartement de fortune, je me gare négligemment sur une place et ferme violemment la portière fessant échos sur les murs des immeubles qui m'entourais, comme pris en étau par le son. J'avais évidement en mains mon carton et je me suis dirigé vers l'entrée du hall de mon immeuble, je touche les boutons de fer remplis de numéros pour pouvoir m'introduire dans le bâtiment « 3264* » un « bip » retentis et les portes vitrées électroniques s'ouvre, je longe les boîtes aux lettres de mes nombreux voisins. Arrivé devant l'ascenseur, j'appuis sur la touche pour rentré. Devant le poste de contrôle de tous les boutons de l'ascenseur, j'appuis sur le 4 et les portes se referme.

...

Chez moi, je mets en vrac mon carton sur mon canapé... Je m'allonge à même le sol et allume ma télévision, je tombe directement sur les prévisions météo « il fera beau toutes la semaine », je souffle du nez et me relève, la télévision fessait animation dans mon petit studio, comme fessant office de présence ... Je me dirige vers ma table à manger et m'assois pour regardais dans le vide un moment , je grince des dents en tournant en boucle ma journée dans ma tête, Je sentais une certaine frustration monté en moi, perdre mon boulot était la pire chose qui pouvait m'arrivé ! Il fallait absolument que j'en trouve un notre, sinon qui va payer les frais de l'enterrement de mon grand-père certainement pas mes parents criblé de dette, moi qui pensé les aidés avec mon salaire! C'est foutu !

Je m'existé sur la table en tapant du poing tel un enfant qui fais un caprice, je me retourne et hurle, je me comporte vraiment comme un gamin...après mettre un minimum calmé, je saisi mon téléphone qui se trouvé dans la poche droite de mon pantalon pour appeler mon meilleur ami et lui annoncer la nouvelle et pour essayer de négocier un boulot avec lui.

Je compose son numéro et j'attends qu'il décroche après trois sonnerie, je perds espoir quand j'entends enfin sa voix.

- Qu'est-ce qui se passe Baekhyun ? me demande Lay mon vieille ami de collège.

- Hyung, j'ai perdus mon boulot ! Dis-je en simulant une voix tremblante.

- Ah merde, qu'est-ce que t'a foutue ?

- Mais rien, justement, ma boîte à fait faillite, j'ai eu une prime de licenciement... répondis-je tristement.

- Bon, je parie que tu m'as appelé pour que je te trouve un nouveau travaille, n'est-ce pas ?