CHAPITRE 10
SCAR
2 jours sont passés sans que personne ne s'approche de la chambre de Rose, 2 jours qu'elle n'a rien mangé, je m'assurais de son état auprès de Gio, qui m'assurais qu'elle tenait plutôt bien le coup pour une fragile.
J'ai préparé ma salle personnel rien que pour elle, elle ne s'imagine pas ce que je lui ai concocté, je me suis habillé décontracte en vue des circonstances, un jogging et un tee-shirt noir.
Il est 4h00 du matin quand je me poste devant sa porte à cette heure tout le monde dort dans ses appartements respectifs Agnese ne pourra pas s'interférer entre ma jument et moi. Pour je ne sais quelle raison elle s'est attachée à elle, pourtant ma vielle amie partage ma douleur, elle connait mes raisons mais il semble qu'elle est oubliée qui est le véritable méchant de cette histoire.
J'ouvre sans toquer, elle se lève brusquement, et sort de son lit, elle recule le plus loin possible de moi sauf que je suis beaucoup plus rapide et fort qu'elle, je l'attrape par le bras et couvre sa bouche de ma main et la plaque contre l'armoire de la chambre, tremblante son regard est affolé est rivé au miens, et malgré sa panique manifeste elle essaie de garder contenance.
« Crie et tu es meurs dans la seconde c'est clair ? » Dis-je sérieusement.
A mon grand étonnement elle acquiesce de la tête sans tenter quoique ce soit, j'en suis presque déçu.
Je sors un bout de tissu noir de ma poche et lui couvre les yeux avec, puis des cordes avec lesquelles j'attache ses poignets ainsi que ses chevilles.
« Tu es prévenu, un bruit et ta vie prends fin » Dis-je d'un ton sans appel, elle comprends que mes paroles sont plus que sérieuse, car elle ne dit rien, je la soulève et la bascule contre une de mes épaules, je sors de la chambre, une fois au rez-de-chaussée, je passe par une trappe secrète inconnu de tous hors mis mes frères Joseph et Gio.
Une fois arrivé au sous-sol je longe un petit chemin de pierre qui mène à mes appartements personnels. Une fois entré je ferme à double tour derrière moi et garde la clé dans ma poche. Je relâche Rose sur l'un des Sofa du séjour. Elle ne bouge pas et reste muette « Bonne fille ».
« Mes amis vont être content de te voir tu sais ? » Dis-je en souriant, sa respiration est irrégulière debout face à elle je peux apercevoir les battements de son cœur, qui s'apprête à sortir de sa poitrine.
« Pourquoi fais-tu ça ? » Dit-elle tétanisée.
« Parce que tu es mon ennemie, et dans mon monde mes ennemies savent que je n'ai aucune putain de pitié pour eux » Dis-je calmement comme si tout était normal.
« Mais je ne te connais même pas ! » S'énerve-t-elle
« Non mais moi oui, enfait je connais chaque membre de ta famille et surtout ton père. »
Elle se fige à cette dernière phrase, « Nous y voilà ». Elle s'agite sur le Sofa et se met à trembler de plus belle.
« Vois-tu ton géniteur m'a pris quelque chose qui m'étais extrêmement cher, et rien que parce que tu as un lien avec lui je te hais de tout mon être. Alors dès que j'ai découvert ton existence j'ai eu l'impression que les clairons du jugement dernier avaient enfin sonné. Tu t'avères être une bien meilleure vengeance que mon plan initial. J'espère que tu as les nerfs solides ma jolie car vous allez me le payer très cher. »
« Je... Je ne comprends rien... A ce que tu dis, il y'a erreur sur la personne Scar » Bégaie-t-elle.
« Ferme là. »
Agacé de la lève et l'amène dans une de mes pièces favorites, je lui arrache sa robe de chambre et la laisse en culotte, son petit corps bien proportionné et quasi nue me fait bander, mais je reste concentré sur la douleur que je m'apprête à lui infliger.
Je lui prends ses poignets et les attaches avec des cordages hissés au plafond, je tire jusqu'à ce que ce que ses bras soient tendu au-dessus de sa tête et que ses pieds soient à quelques centimètres du sol. Son dos s'est naturellement cambré et sa taille est encore plus marquée. « Bellissima ».
Je relis les cordes et les attache à une grande barre près de moi. Je prends quelques minutes à regarder mon œuvre, son corps envahi de chair de poule me donne envie de la prendre sur le champ mais je n'en fait rien je préfère laisser sa à plus tard
Je deviens le monstre redoutable que je suis en temps de guerre. Beaucoup diront que s'en prendre à une femme est lâche, mais dans mon monde un ennemi est un ennemi.
Je tourne autour d'elle tel un loup près à dévorer sa proie, je prends ma ceinture en cuir noir et l'enroule autour de mon poignet. Je jubile au plaisir que me procureront les traces de morsures sur son corps.
Que la torture commence...
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La vengeance d'un Prince
RomanceJe suis sa prisonnière, Sa vengeance, Si je veux me sortir une nouvelle fois de cet enfer je vais devoir me soumettre à lui, et le laisser assouvir ses désirs les plus fous et les plus sombres sur moi. Tout comme je l'étais pour mon père il y'a 9...