Rivale ฯSansXfriskฯ

Chapitre 41 Ignorer l'handicapé sentimental (première partie)

Eh eh... Il est temps de le dire (parce que j'oublie à CHAQUE FOIS), j'ai commencé à corriger les premiers chapitres de rival et j'en ai profiter pour supprimer la présence de Fresh dans les petits monstres parce que je ne m'étais pas attachée lui (je suis plus attachée à Annie Charlotte pour dire) et que je n'arrivais pas à le faire prendre "vie" entre guillemet. 

Je suis fatiguée, malade et c'est pour cette raison que le chapitre sort si tard. Il sera en deux partie parce qu'il est bien trop long. Si vous trouvez des trucs trop rapide attendez la seconde partie s'il vous plait (elle est pas encore écrite hein). 

Puis sinon voilà. J'espère que vous allez aimer ce chapitre. Moi j'en pense rien même si je suis fan de la fin du chapitre :) 

Sinon bah, question pour un perso' et good reading hein.

QUI SONT HARAN ET ANNIE-CHARLOTTE ?

Sinon... Voilà quoi. Mes chapitres sont de plus en plus long, cela m'énerve mais bon. Go, go, go ! Et ce chapitre n'est évidemment pas relu ! parce que, trop long et que je suis maladeuh ! Complétement maladeuh ! 

Ca suffit...

Lectio bonum...

PDV SANS

J'avais vu l'effroi dans les yeux de Papyrus. Je lui avais fait peur. Il pensait que j'allais le frapper. 

 J'arrivai dans le Grillby's et une alarme se déclencha. Je n'eus aucune réaction. Je mis ma tête dans mes bras. J'en avais vraiment marre de cette vie. Je suis vraiment minable et détestable. Je blesse ceux que j'aime. Je blesse, je blesse, je blesse tout ceux que j'aime et je venais de perdre ma dernière chance de récupérer Frisk. Je ne saurai jamais ce qu'il y avait écrit dans cette foutue lettre. 

Et petit à petit, je perdais tout ceux qui comptait pour moi. 

Grillby descendit à moitié endormi son corps faisait office de lumière. Il s'approcha de moi puis soupira avant de s'asseoir à mes côtés. 

Grillby : Sans, je t'ai déjà dit de m'appeler dans ces cas là. Arrête de venir à l'improviste, je suis fatigué là.

Sans : Toi aussi, tu dors à la même heure qu'un enfant. 

Grillby : C'est le seul jour où le Grillby's est fermé, je fais du 00h00-4h30, alors oui. J'ai besoin de sommeil. 

Sans : Ouais j'ai compris, désolé, je m'en vais. 

Alors que j'allais m'en aller, Grillby me retint par la capuche puis me força à me rasseoir. Il me jeta un regard noir, brûlant de colère. 

Grillby : Tu restes ici. Tu me saoules depuis une semaine, tu pourris mes nuits et mes journées, tu consommes encore plus de ketchup que d'habitude et ce toujours sans payer donc j'en ai assez. Je pense être dans mon bon droit en exigeant des explications de ta part Sans et ce plus vite que ça. 

Sans : C'est bon, j'ai dit que je m'en allais ! Lâche moi la grappe ! 

Grillby : Non fallait y penser avant de me faire chier ! Maintenant tu m'expliques et plus vite que ça ! 

C'est pour ça que j'aimais Grillby ou le détestais. Lui, ne me considère pas comme une petite chose fragile mais je ne pouvais pas lui parler de tout. Cette histoire devait rester entre elle et moi, les autres n'avaient pas à être au courant. Je ne savais pas quoi dire à Grill mais il n'avait pas tort. Il m'avait supporté et méritait maintenant des explications.