Chapitre 37 Trust and Love is Real

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... And Complexes is /almost/ Next !

Je m'éclate avec mes titres à rallongeeeeeee :)) 

HOLAAAA EVERY BODY ! Merci de vos messages de soutient pour le brevet, ça m'a fait du bien. Ca m'a vraiment beaucoup aidé à de-stresser. j'en ai fini du brevet blanc et même si je suis normalement une très bonne élève, je suis sûre d'avoir foiré X( mais bon...Bref.

C'est un chapitre que j'ai vraiment adoré écrire. 

/!\ Juste pour prévenir, ce chapitre aborde des thèmes qui ne sont peut-être pas adapté à tout type de personne. Je voudrai surtout prévenir les plus jeunes et ceux qui sont gênés lorsque ça évoque la sexualité de s'arrêter ici (Pas de lemon, vous emballer pas... A moins que..) 

Bref. Je n'interdirai rien en mode les moins de 10 ans blablabla, parce que j'ai qu'à dix ans, j'étais  déjà sur Wattpad et c'est attention ne m'atteignais pas donc faites comme vous voulez et prenez vos responsabilités. Voilà.

Après je suis moi même très jeune, j'ai commencé à écrire lorsque j'avais 12 ans et j'écrivais des trucs de ce style (c'était super mal écrit et ça brûlait les yeux) mais tout ça pour dire que je laisse chacun se connaître et que l'âge ne veut rien dire (Si ça veut dire beaucoup ) 

Mais BREF x2.

N'attendez pas un chapitre avant un petite long moment les gars. J'en suis qu'à 1000 mots sachant que celui là (je ne sais d'ailleurs pas pourquoi) en fait 13 500. 

IT'S TOO LONG ! Sur ce... 

GOEIE LEES ! 

PDV FRISK 

Je me réveillai, seule dans mon lit pour la première fois de la semaine. Je ne saurai dire si j'avais bien ou mal dormi. Je me remémorais ce qui c'était passé avant que je m'endorme et me souvins que j'écoutai de la musique tout en écrivant. 
J'avais également versé quelques larmes mais ça allait beaucoup mieux. Ecrire m'aidait à me sentir mieux, que je sois heureuse ou triste j'aimais ça. 

Je rangeais soigneusement mon cahier. Ce serait désastreux si quelqu'un tombait dessus, exposer mes sentiments, mes pensés et mes complexes. Je frissonnai de peur rien qu'en y pensant.

Je me levai en direction du salon mais ne trouvai personne, je remontai et vis Sans dans son lit endormi. Je retournai dans mon lit puis regardai mon téléphone, j'avais reçu un message d'Araria. Je ne savais pas quoi en dire ou quoi en penser et préférai ne pas y répondre. Elle avait été très gentille mais le sera-t-elle encore en apprenant notre mise-en-couple ?

Je vis Sans apparaître soudainement à côté de moi. 

Frisk : Sans on t'a déjà dit que tu devais te reposer et te ménager ! Arrête d'utiliser ta magie ! 

Sans : C'est pas toi qui me dit toujours le matin de saluer ? Toi même tu le fais pas ! 

Frisk : Mais c'est toi aussi ! Tu veux guérir mais tu n'écoutes pas ce que te dis le médecin. 

Sans : Un bisou magique alors ! 

Il fondit sur mes lèvres. J'avais voulu le repousser mais perdit dans ce "petit bisou". Petit bisou du matin qui se transforma vite en une autre chose que je ne saurai nommer. Nos lèvres se mouvèrent ensemble, doucement et tendrement. Je sentis quelque chose chatouiller les lippes et les entrouvrit. Sa langue se fraya un chemin jusqu'à trouva sa jumelle. Un ballet sensuel débuta entre elles. Sans me surplombait et m'embrassait toujours aussi furieusement, se stoppant le temps de rependre respiration, me regardant amoureusement puis reprenant la où on s'était arrêter. On était incapable de s'arrêter, l'excitation montait d'un cran, son torse était collé contre ma poitrine et ses mains passaient caressait ma joue, ma nuque puis mes épaules. Mes yeux étaient fermés, j'avais l'impression de brûler et de fondre de l'intérieur. Je me sentais belle, désiré et désirable. Toujours aussi rougissante, j'écarquillai soudainement les yeux lorsque je sentis un renflement au niveau de son aine. Et ce baiser avait beau être parfois maladroit et inexpérimenté, ça ne changeait rien au niveau de ce que je pouvais ressentir. Un tourbillon d'émotion, un tourbillon de nouveau sentiment et de sensation troublante et jamais éprouvé auparavant. Une de ses mains était sur ma joue tandis que  l'autre était passée sous mon débardeur et caresser mon ventre. Les miennes caressaient ses côtes, je le vis bleuir violemment, des petits couinement sortaient de sa bouche. C'était bien trop rapide mais nous étions dans notre lancé et rien ne pouvait nous arrêter. 

Rivale  ฯSansXfriskฯOù les histoires vivent. Découvrez maintenant