My child isn't mine [BTS - Jin]

Chapter 26

Vous étiez partit vous couchez après de longues heures de discussion avec le voisin, tout tournait dans ta tête, il était bientôt l'heure de vous lever et tu n'avais pas pu fermer l'œil de la nuit, tu pensais alors que Jin dormait, mais étant de côté et dos à toi tu ne pouvais pas voir les nombreuses larmes qui coulait en silence sur son doux et beau visage, ses yeux remplis de rouge, il n'en pouvais plus de faire l'homme et voulait lui aussi pouvoir se lâcher sans que personne ne vienne lui dire qu'un homme ne pleure pas, mais les homme ont des sentiments, des yeux, c'est bien à cela que ça sert, pleuré !
Alors tu je retourne une centième fois dans le lit et ferme alors les yeux quelque temps, mais c'est à ce moment là que tu sens tes yeux chauffé, et une goûte, une deuxième et encore plusieurs descende à grande échelle tes joues, le visage, le corps, l'âme de votre fille apparaissait dans tes pensées, tu ne voulais pas les rouvrir et de retourner à la réalité, tu voulais profiter des seuls moment de pouvoir voir ta fille, tu aime tout chez elle, quand elle souriait elle vous redonnait le sourire, elle avait le don de faire votre bonheur, c'est quand tu entend un reniflement que tu réouvre les yeux, tu te tourne vers Jin, sachant que ça venait de lui, tu te colle à son torse et passe ton bras autour de sa taille.

- Tu as le droit de pleurer, personne ne te jugera et personne te traitera de lâche tu ais une personne forte mais c'est cas là tu as le droit, alors pleurer ça fait du bien même si ça n'arrange rien, ça réconforte une minimum. Dit tu en caressant son ventre tendrement, et en chuchotant tranquillement en articulant bien tes mots.
- Merci... Il te prend ton bras et entrelace vos doigts pour se retourner vers toi, tu reste sans rien quand tu vois qu'il a du pleurer une bonne partie de la nuit, tu sourit de compatie et te blottit dans son torse. Je voulais pas que tu sache que j'ai pleurer mais... Je ne peut plus faire semblant j'ai toujours voulu te réconforter mais je ne m'aidais pas moi même, j'aurai tellement voulu être là avec vous, je n'aurai jamais dû vous laissez toute les deux seule, j'aurai du...
- T'as fait ce que tu devais faire... Faire vivre ta famille et c'est pour ça que tu as fait ce que tu devais faire et non pas autre chose, je m'en veut encore plus que toi, moi aussi j'aurai dû mais le destin en à décidé autrement et c'est pas beau mais on fera tout pour la retrouver... Dit tu aux bords des larmes c'était dur de voir Jin faible jamais tu ne l'avais vu aussi mal en point mais rien ne pouvais t'empêcher d'être triste et en colère il avais le droit, c'est humain, et puis c'est quand même votre fille.

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Vous vous levez, enfin si vous vous étiez réellement coucher, tu étire tes bras comme si tu avais dormi, mais rien même pas la fatigue ne t'avais laisser fermée les yeux, et Jin c'était lever boire et était rester devant la télé en attendant que le temps passe, tu te lève simplement et tu pars dans la cuisine boire quelque chose mais rien ne te donnais envie, tu pris juste un verre que tu bois assez lentement, tu vas pour aller t'assoir dans le canapé quand tu entend quelqu'un crier dans le couloir tu pensais que c'était juste je dispute de couple mais tu entendais pas qu'une seule voix mais aussi celle d'une petite fille. Tu sors alors en trombe dans le couloir, cette femme tu l'avais déjà vu...

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Cette femme que tu reconnaitrait entre mille, cette qui était passé en coup de vent à âges côtés avec un bébé dans les bras, ce jour là où devait sortir de l'hôpital en bonne santé mais qui, comme par hasard retombe malade en si peut de temps, tu réfléchis vite et fait rapidement le rapprochement.

- Vous ! Tu l'a regarde dans le blanc des yeux quand elle tourne le visage vers toi paniqué. Qui êtes vous ? Tu regarde la petite fille qui était dos à toi, tenue fermement par la femme, elle se retourne et pendant un moment tu aurais tellement voulu que ça sois la tienne.
- Et vous qui êtes vous hein ? Pourquoi vous êtes là ! Tu l'a regarde encore plus surprise.
- C'est vous qui à ma fille non ? C'est vous ce jour là qui avais pris NOTRE fille, c'est vous qui les avez échangé non ? C'est vous qui êtes partit sans rien dire à votre mari ? Alors je vous le dit calmement où est ma fille ! Pendant que tu parlais tu t'approchais lentement vers elle, elle te regardais silencieuse ; elle poussa d'un violent coup sa propre fille vers toi et partit en courant.

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